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Face à la crise sanitaire sans précédent que connaît notre pays, des millions de Français sont contraints à rester chez eux pour une durée indéterminée.

Le télétravail a été multiplié par 7 ces derniers jours. Le trafic voix par 2 et par 3 à certains moments de la journée. Avec le confinement, nous pouvons communiquer avec l’extérieur, nos collègues, nos professeurs, nos proches grâce aux outils numériques, smartphone, téléphone, ordinateur… Les opérateurs télécoms qui installent, maintiennent, nos infrastructures ont un rôle essentiel au bon fonctionnement du pays et de l’économie.

Le Ministre en charge du Numérique Cédric O l’a souligné lors d’un message sur Twitter le 18 mars :

« En ces heures où nous suivons avec une grande vigilance la situation des réseaux télécoms, je veux dire ma reconnaissance à l’ensemble des équipes des opérateurs qui en assurent la maintenance dans des conditions difficiles. Grâce à eux cette infrastructure essentielle fonctionne. »

Arthur Dreyfuss, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), rappelle que :

« Plus de 15 000 techniciens et ingénieurs s’activent durant cette période inédite pour veiller au bon fonctionnement des réseaux (…) L’ensemble des opérateurs français restent en permanence en lien avec les pouvoirs publics pour nous assurer que tout cela fonctionne bien. »

Mais dans cette période exceptionnelle, chaque Français doit faire preuve de civisme numérique.

Adoptons ensemble les bons réflexes sur Internet pour permettre à tous de continuer à communiquer, travailler, étudier et s’informer, notamment en suivant nos recommandations suivantes :

  • Privilégiez les réseaux fixes et le Wi-Fi, pour la voix et la data – #TousEnWifi ;
  • Optez pour la qualité « SD » pour tous les contenus vidéos (par exemple : sur YouTube, dans les paramètres, passez de la qualité 1080p à 480p) ;
  • Choisissez les heures creuses de la nuit pour les téléchargements volumineux (films, mises à jour).

Vidéo | #SolidaritéNumérique · Adoptons les bons réflexes sur Internet :

Transcription de la vidéo (MS Word, 139 KB)

Document | Mon mobile Ma santé – Brochure 2020 :

https://www.slideshare.net/fftelecoms/mon-mobile-masantefftelecoms2020/fftelecoms/mon-mobile-masantefftelecoms2020

Principaux faits :

L’usage du téléphone portable est généralisé et on estime à 7,7 milliards le nombre des abonnés dans le monde.

Les champs électromagnétiques produits par les téléphones portables sont classés par le Centre international de Recherche sur le Cancer dans la catégorie des cancérogènes possibles pour l’Homme.

Des études visant à évaluer plus complètement les effets potentiels à long terme de l’utilisation des téléphones portables sont toujours en cours.

L’OMS procède régulièrement à une évaluation formelle du risque pour tous les effets sur la santé dus à une exposition à des champs de radiofréquences.

Que dit l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ? Y-a-t-il des effets sur la santé ?

Un grand nombre d’études a été mené au cours des deux dernières décennies pour déterminer si les téléphones portables représentent un risque potentiel pour la santé. À ce jour, il n’a jamais été établi que le téléphone portable puisse être à l’origine d’un effet nocif pour la santé.

Aide-mémoire n°193 de l’OMS sur le téléphone mobile, octobre 2014 dont sont extraites ces citations.

En France, que disent l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES) et le ministère de la Santé ?

« L’ANSES souligne dans un avis du 21 octobre 2019 que certains éléments d’expertise, bien que limités, mettent en évidence des effets biologiques sur l’activité cérébrale en cas d’exposition à un niveau de DAS [Débit d’Absorption Spécifique] supérieur à 2 W/kg. Ils ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets sur d’autres fonctions biologiques spécifiquement associées à de telles expositions au niveau du tronc. »

Communiqué du ministère de la Santé du 19 novembre 2019.

« Les travaux d’expertise menés par l’Agence sur la base des données actuelles issues de la littérature scientifique internationale ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets des radiofréquences chez l’enfant sur le comportement, les fonctions auditives, le développement, le système reproducteur mâle et femelle, le système immunitaire et la toxicité systémique, ni d’effets cancérogènes ou tératogènes. En revanche, l’Agence conclut à un effet possible de l’exposition aux radiofréquences sur le bien-être des enfants et leurs fonctions cognitives (mémoire, fonctions exécutives, attention). Les effets observés sur le bien-être pourraient toutefois davantage être liés à l’usage des téléphones mobiles plutôt qu’aux radiofréquences qu’ils émettent. »

Communiqué de l’ANSES du 8 juillet 2016 sur l’exposition des enfants aux radiofréquences.

« L’évaluation des risques liés à l’exposition aux radiofréquences ne met pas en évidence d’effet sanitaire avéré et ne conduit pas à proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population. Elle pointe toutefois, avec des niveaux de preuve limités, différents effets biologiques chez l’Homme ou chez l’animal. Par ailleurs, certaines publications évoquent une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables. Compte tenu de ces éléments, dans un contexte de développement rapide des technologies et des usages, l’ANSES recommande de limiter les expositions de la population aux radiofréquences en particulier des téléphones mobiles, notamment pour les enfants et les utilisateurs intensifs, et de maîtriser l’exposition générale résultant des antennes-relais. »

Communiqué de l’ANSES relatif à son avis du 15 octobre 2013 sur les radiofréquences.

Réglementation – Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique).

Il quantifie le niveau d’exposition maximal aux ondes radio quand l’appareil fonctionne à puissance maximale et s’exprime en watts par kg. Trois types de DAS sont définis :

  • le « DAS tête » qui reflète l’usage du téléphone à l’oreille, en conversation ;
  • le « DAS tronc » associé aux usages d’un téléphone, d’une tablette … qui sont portés près du tronc ;
  • le « DAS membre » qui correspond à un usage d’un téléphone, d’une tablette, d’une montre connectée plaqués contre un membre, comme par exemple lorsqu’ils sont tenus à la main, portés dans un brassard, sur le bras ou dans la poche d’un pantalon.

En Europe, 2 W/kg est la limite de DAS qui ne doit jamais être dépassée pour l’exposition aux ondes radio de la tête et du tronc et 4W/kg pour les membres.

En France, tous les mobiles commercialisés ont ainsi l’obligation réglementaire d’avoir des DAS inférieurs à 2 W/kg pour la tête et tronc et 4W/kg (arrêté du 8 octobre 2003 tel que modifié par l’arrêté du 15 novembre 2019 « fixant les spécifications techniques applicables aux équipements radioélectriques »).

Ces limites de 2 W/kg et 4W/kg, recommandées par l’OMS, ont été confirmées par l’ANSES dans son avis d’octobre 2013 sur les radiofréquences.

Ces DAS figurent sur différents supports et en boutique (notice du fabricant, catalogue commercial, sur toutes publicités de ces équipements, sites web…), ainsi que sur l’application Open Barres de l’ANFR pour les mobiles Android.

En termes d’exposition aux ondes radio, les terminaux pour la 5G sont soumis aux mêmes limites réglementaires de DAS que les terminaux pour les précédentes technologies (2G, 3G et 4G).

Mise à jour 02/07/2020 | Équipements radioélectriques : à partir du 1er juillet 2020, l’affichage du DAS est renforcé pour une meilleure information du public.

En savoir plus sur le site de l’ANFR

Recommandations – Ce que vous pouvez faire pour limiter l’exposition aux ondes radio émises par le téléphone mobile.

Utilisez un kit oreillette (ou kit piéton) pendant les appels téléphoniques.

Vous réduisez votre exposition dès que vous éloignez le mobile de votre corps (tête et tronc). Téléphoner avec un kit oreillette permet ainsi de diviser l’exposition au téléphone mobile d’un facteur allant jusqu’à 400. Ce conseil vaut particulièrement pour les utilisateurs les plus intensifs. Il est conseillé aux femmes enceintes qui utilisent un kit oreillette d’éloigner le mobile du ventre et aux adolescents de l’éloigner du bas ventre. Il convient également de respecter les conditions d’usage qui sont fixées par le fabricant dans la notice de l’appareil. Celle-ci peut indiquer une distance à maintenir entre le tronc et le mobile en communication.

Téléphonez de préférence dans les zones où la réception radio est de bonne qualité.

Votre mobile ajuste automatiquement sa puissance d’émission en fonction des signaux radio qu’il reçoit du réseau de votre opérateur. Quand la réception radio est de bonne qualité (4 ou 5 barrettes sur l’écran de votre téléphone), votre mobile émet plus faiblement – ce qui réduit d’autant votre exposition aux ondes radio.

Incitez vos enfants et adolescents à faire une utilisation modérée et raisonnée du téléphone mobile si vous décidez de les équiper

Veillez également à les informer des moyens permettant de réduire l’exposition quand ils communiquent avec leur mobile. Si des effets sanitaires étaient mis en évidence, les enfants et adolescents pourraient être plus sensibles, étant donné que leur organisme est en cours de développement. Les inciter à un usage raisonné du téléphone mobile, par exemple, en évitant les communications nocturnes et en limitant la fréquence et la durée des appels.

À savoir en plus sur l’exposition aux ondes radio.

Lors du choix de votre terminal, consultez la valeur et les mentions relatives au DAS mises à disposition. L’ANSES recommande, de « privilégier l’acquisition de téléphones affichant les DAS les plus faibles » (communiqué du 15 octobre 2013).

Quand j’envoie un SMS, un e-mail ou surfe sur Internet, mon exposition aux ondes radio est bien plus faible qu’avec le téléphone à l’oreille. En effet, ces usages nécessitent que l’on regarde l’écran du téléphone mobile et par conséquent que l’on tienne le mobile éloigné de sa tête et de son tronc – ce qui réduit l’exposition par rapport à un téléphone tenu contre l’oreille.

Quelle efficacité pour les dispositifs « anti-ondes » ? Dans son rapport 2013, l’ANSES indique que l’étude « conduite sur 13 dispositifs et 3 téléphones mobiles GSM900 et 1800 MHz ne montre aucun effet probant de ces dispositifs sans une altération des performances du téléphone mobile. » La Direction Générale de la Concurrence, de la consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) à la suite de son enquête de 2015 sur les conditions de commercialisation des dispositifs « anti-ondes » pour les téléphones mobiles, précise que la plupart des argumentaires pour vendre ces produits sont sans fondement, basés sur des études « non reconnues officiellement » et usent d’un vocabulaire « fantaisiste ou entièrement inventé ».

Sécurité et restrictions d’usage.

Comme tous les appareils électriques, n’utilisez pas votre smartphone branché au secteur dans votre bain, ou dans un milieu humide.

Respectez les restrictions d’usage spécifiques à certains lieux (hôpital, avion, station- service, établissements scolaires …). Respectez les consignes de sécurité propres à certains lieux et éteigniez votre téléphone mobile chaque fois que cela vous est demandé.

N’utilisez pas votre mobile en conduisant. Utiliser un mobile en conduisant, avec ou sans kit mains-libres, constitue un réel facteur d’accident grave et est passible de sanctions pénales.

N’écoutez pas de la musique avec votre téléphone mobile à un niveau sonore élevé pendant une longue durée. Cela peut dégrader l’audition de façon irrémédiable.

Si vous portez un implant électronique (pacemaker, pompe à insuline, neuro-stimulateur…), éloignez le téléphone mobile d’au moins 15 cm de cet implant et utilisez le téléphone mobile uniquement du côté opposé à celui de l’implant. Il vous est recommandé de parler de ce sujet avec votre médecin car celui-ci connaît les caractéristiques de votre appareil médical.

Consultez la notice d’emploi élaborée par le fabricant.

Pour en savoir plus :

La Fédération Française des Télécoms est une association, régie par la loi de 1901, qui a pour objet de promouvoir le développement durable et responsable du secteur des communications électroniques et des entreprises qui le composent, en favorisant l’innovation, l’emploi et la qualité du service rendue aux utilisateurs.

Fédération Française des Télécoms
11-17 rue de l’Amiral Hamelin
75116 Paris

Membres de la FFTélécoms : Altice-SFR ; Arteria ; Bouygues Telecom ; Colt Technology Services ; Euro-Information Telecom ; Hub One ; IP Directions ; La Poste Mobile ; Legos ; Manifone ; Odigo ; Orange ; Prixtel ; RATP Connect ; Syma ; Verizon France ; Worldline.

Conception, réalisation : Cithéa. – www.cithea.com.

La Fédération Française des Télécoms et ses opérateurs membres ont présenté le 8 octobre 2019 le 7ème bilan de la Charte d’engagements volontaires pour l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques lors de l’événement « Les Télécommunications accessibles à tous, bilan et perspectives pour 2020 ».

Document | 7ème Bilan de la Charte d’engagements volontaires :

CONSULTER LE 7ème Bilan de la Charte d’engagements volontaires (PDF – 2 PAGES)


Transcription du document | 7ème Bilan de la Charte d’engagements volontaires pour l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques.

1. Les opérateurs s’engagent pour l’accessibilité.

  • 13 279 heures de communication LSF (Langue des Signes Française) / LPC (Langage Parlé Complété). Texte à destination des personnes sourdes et malentendantes en service après-vente soit +64%.
  • Plus de 9 000 vendeurs formés. Sensibilisation des salariés des opérateurs au handicap et à l’accessibilité et mobilisation soutenue des opérateurs pour rendre l’ensemble des pages web de leurs sites accessibles.
  • Plus de 95% des points de vente sont adaptés aux personnes handicapées dont l’intégralité des points de vente nouveaux ou rénovés.
  • 14 344 factures adaptées en papier pour plus de services personnalisés + 9%. Par ailleurs, les opérateurs proposent également aux clients de consulter leurs factures en ligne, qui sont accessibles à toutes et à tous.
  • 64 659 factures disponibles en version adaptée. Les opérateurs communiquent auprès de leurs clients sur les options d’accessibilité qui­ s’offrent à eux et les accompagnent tant que de besoin.

2. Une offre toujours plus riche adaptée 2 aux différents types de handicap.

50 services mobiles ou applications adaptées librement téléchargeables. Ces applications sont :

  • mises à disposition par les opérateurs en libre-service. Certains opérateurs proposent toujours des installations gratuites sur terminaux mobiles ;
  • en open source pour certaines, afin de garantir une amélioration continue du service ;
  • souvent proposées nativement sur les terminaux de nombreux constructeurs et opérateurs de systèmes d’exploitation.

53 terminaux fixes et mobiles retenus par les opérateurs.

Hausse des terminaux mobiles. Cette hausse prend en compte les changements d’usage en matière de téléphonie mobile.

Essor des télécommandes ou applications smartphones pour contrôler des interfaces TV par la voix.

Les nouveaux décodeurs mis en circulation sont compatibles avec l’accès à l’audiodescription.

3. Les opérateurs toujours plus attentifs aux besoins des utilisateurs.

Lancement en 2018 du service de télécommunications interpersonnelles ouvert aux personnes sourdes et malentendantes, opéré par Rogervoice.

1 850 heures de téléphonie accessibles aux personnes sourdes et malentendantes entre octobre et décembre 2018.

La Fédération Française des Télécoms :

  • s’engage auprès de la Fédération Nationale des Aphasiques de France (FNAF) pour créer le premier diplôme universitaire de formation des accompagnants chargés d’assister les personnes aphasiques lors de leurs conversations téléphoniques ;
  • poursuit une concertation active avec l’ensemble des associations afin d’améliorer le service et de le rendre accessible à tous ;
  • développe ses informations grand public en version FALC (Facile À Lire et à Comprendre).

Fédération Française des Télécoms
11-17 rue de l’Amiral Hamelin, 75116 Paris
www.fftelecoms.orgTél. : 01 47 27 72 69.
Retrouver-nous sur les réseaux sociaux : Facebook – Twitter – YouTube – LinkedIn.

La Fédération Française des Télécoms continue d’agir sur le terrain contre le cyberharcèlement en organisant le 22 mars 2019 un atelier de sensibilisation avec des jeunes de 10 à 15 ans au centre social d’Ostricourt (5 367 habitants) dans le département du Nord en région Hauts de France.

Cet atelier autour d’un serious game a permis de sensibiliser ces jeunes au cyberharcèlement et plus généralement aux bonnes conduites à respecter sur Internet, notamment sur les réseaux sociaux Snapchat, Twitter, Facebook…

Cet atelier, en partenariat avec l’association deci-dela.org, est le résultat d’un engagement de longue date de la Fédération auprès des jeunes publics, afin de les initier à la citoyenneté numérique dès le plus jeune âge.

Retrouvez ci-dessous un résumé de cet atelier et l’avis des jeunes :

Vidéo | Atelier de sensibilisation au cyberharcèlement à Ostricourt (Nord) :

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est intervenue le 18 mars 2019 dans le collège Charles de Gaulle à Guilherand-Granges, en Ardèche près de Valence, auprès de 150 élèves en 4ème, dans le cadre de la Semaine de la Presse et des Médias dans l’école.

Les opérateurs télécoms agissent concrètement pour accompagner les adolescents aux bons usages d’Internet en organisant des ateliers pédagogiques. La FFTélécoms a pu rappeler lors de cette rencontre, la démarche d’accompagnement à l’éducation numérique des opérateurs membres de la Fédération.

Il s’agissait à partir d’un faux reportage conspirationniste de comprendre comment décrypter le vrai du faux et d’inciter les ados à exercer leur esprit critique. Les élèves, tous très actifs lors de cet atelier, ont fait part de leur satisfaction à apprendre les bons réflexes grâce à cette ressource adaptée à leur âge.

Vidéo | Atelier de sensibilisation aux fake news dans un collège près de Valence :

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Consultez ci-dessous le guide pratique « Internet : comment accompagner & protéger votre enfant » (version 2018) :

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) et ses opérateurs membres ont remis le 14 décembre 2018 à Sophie Cluzel, Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées, le 6ème bilan de la Charte d’engagements volontaires pour l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques.

Vidéo | Les opérateurs s’engagent pour l’accessibilité (6ème bilan Charte) :

Document | 6ème bilan de la Charte d’engagements volontaires :

Document | 6ème bilan de la Charte d’engagements volontaires en version FALC (Facile À Lire et à Comprendre) :


Transcription :

1. Les opérateurs s’engagent pour l’accessibilité

  • Plus de 8 000 vendeurs formés : une politique soutenue de formation et de sensibilisation des salariés des opérateurs au handicap et à l’accessibilité : 1. Sensibilisation de la totalité des collaborateurs à la problématique du handicap 2. Croissance des achats en ligne / usages d’achat 3. Les pages des sites internet des opérateurs sont rendues accessibles à tous.
  • 61 947 brochures imprimées en version papier adapté ;
  • Plus de dialogue entre les associations, les pouvoirs publics et la Fédération ;
  • 8 102 heures de communication LSF (Langue des Signes Française) et LPC (Langue française Parlée Complétée) ;
  • Texte à destination des personnes sourdes et malentendantes en relation clientèle (soit + 38%).

2. Une offre toujours plus riche adaptée aux différents types de handicap

  • 38 services mobiles ou applications adaptés librement téléchargeables ;
  • 36 terminaux fixes et mobiles labellisés par les opérateurs (+ 38%) ;
  • 1 100 téléphones mobiles adaptés ;
  • Essor des télécommandes ou applications smartphones pour contrôler des interfaces TV par la voix.

3. Les opérateurs toujours plus attentifs aux besoins des utilisateurs

  • Lancement du service de communications interpersonnelles dédié aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques, opéré par RogerVoice, le 8 octobre 2018 ;
  • 3 semaines après la mise en service : + de 3 200 personnes ont activé l’offre opérateur ;
  • Les applications pour les personnes concernées par le handicap visuel sont à présent mises à disposition par la plupart des opérateurs en libre-service dans les points de vente ;
  • Plus de 90 % des points de vente sont accessibles aux personnes handicapées ;
  • 13 146 factures en papier (braille, caractères agrandis) ou version électronique accessible. Dématérialisation des factures lisibles grâce à des applications adaptées.

La Fédération Française des Télécoms est intervenue le 21 novembre 2018 à l’EspaceLudo dans le 19ème arrondissement de Paris auprès de jeunes de 10 à 12 ans en partenariat avec deci-dela.org.

Les opérateurs télécoms agissent concrètement pour accompagner les adolescents aux bons usages d’internet en organisant des ateliers pédagogiques. La FFTélécoms a pu rappeler lors de cette rencontre, la démarche d’accompagnement à l’éducation numérique des opérateurs membres de la Fédération.

Il s’agissait à partir d’une photo postée sur les réseaux sociaux de comprendre comment décrypter le vrai du faux et d’inciter les ados à exercer leur esprit critique. Les élèves, tous très actifs lors de cet atelier, ont fait part de leur satisfaction à apprendre les bons réflexes grâce à cette ressource adaptée à leur âge.

Vidéo | Atelier de sensibilisation aux « fake news » à l’EspaceLudo Paris 19e :

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Consultez ci-dessous le guide pratique « Internet : comment accompagner & protéger votre enfant » (version 2018) :

À l’occasion de la remise des prix « Télécoms Innovations 2018 » sur le thème de l’inclusion numérique, le 15 novembre 2018 à Rennes, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) publie une enquête réalisée avec Harris Interactive sur les pratiques et perceptions des Français.

Accès à l’internet, préférences entre pratiques numériques ou traditionnelles, difficultés et solutions face aux outils numériques… découvrez tous les chiffres-clés dans l’infographie et l’étude complète ci-dessous.

Document | Inclusion numérique – Pratiques et perceptions (infographie)

https://www.slideshare.net/fftelecoms/acculturation-numerique-infographieharrisfftelecoms/fftelecoms/acculturation-numerique-infographieharrisfftelecoms

Transcription de l’infographie (MS Word, 15 KB)

Transcription de l’infographie

Logo de la Fédération Française des Télécoms.

Titre : Inclusion numérique, pratiques et perceptions.

  • 88% des Français estiment indispensable d’avoir accès à Internet (95% des 18/24 ans) ;
  • 16% des Français apparaissent comme distants des outils numériques (ils sont à l’aise avec 2 outils ou moins), davantage chez les femmes (20%) que les hommes (11%).

Et ils se sentent à l’aise quand ils utilisent :

  • 91% Télévision ;
  • 82% Internet ;
  • 81% Ordinateur ;
  • 73% Smartphone ;
  • 67% GPS ;
  • 67% Tablette tactile.

Pratiques numériques ou traditionnelles, quelles préférences ?

  • Écrire un email (64%) / Écrire une lettre papier (33%) ;
  • Déclarer ses impôts en ligne (63%) / Déclarer ses impôts par papier (32%) ;
  • Réserver des billets sur Internet (62%) / Réserver des billets en agence de voyage ou au guichet (30%) ;
  • Écouter la musique en format numérique (52%) / Écouter de la musique sur CD, cassette, vinyle (40%) ;
  • Lire les journaux sur Internet (34%) / Lire la presse papier (60%) ;
  • Lire un livre sur une liseuse (5%) / Lire un livre papier (89%).
  • 43% des internautes indiquent avoir besoin d’aide de temps en temps lorsqu’ils utilisent Internet (64% des 65 ans et +) ;
  • 44% des Français estiment que les outils numériques sont aujourd’hui trop compliqués à utiliser (67% des 65 ans et +).

Et le plus souvent ils cherchent alors de l’information :

  • 77% auprès de leurs proches ;
  • 48% sur Internet ;
  • 16% auprès d’un informaticien professionnel.

Pour les Français, l’accès aux outils numériques des personnes qui éprouvent des difficultés va plutôt :

  • 60% s’améliorer ;
  • 18% se dégrader ;
  • 20% ni s’améliorer, ni se dégrader.

Quels acteurs pour aider les Français qui ont des difficultés avec le numérique ?

  • 82% Les associations ;
  • 89% Les proches, familles, amis ;
  • 79% Les collectivités locales.

Quelles solutions sont perçues comme étant les plus efficaces ?

  • 46% une plus grande transmission des connaissances des proches ou des jeunes générations ;
  • 40% l’organisation d’ateliers de prise en main d’outils numériques ;
  • 35% le développement d’outils numériques plus simples à utiliser.

Enquête Harris Interactive pour la Fédération Française des Télécoms réalisée par téléphone du 3 au 8 septembre 2018. Échantillon de 1 008 personnes, représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e).

Document | Inclusion numérique – Pratiques et perceptions (étude)

https://www.slideshare.net/fftelecoms/fftelecoms-inclusion-numerique-etude

Transcription de l’étude (MS Word, 41 KB)

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est intervenue dans un collège de Franconville le 18 juin 2018 en partenariat avec deci-dela.org et en présence de Naïma Moutchou, Députée du Val-d’Oise.

La FFTélécoms a pu rappeler, la démarche d’accompagnement à l’éducation numérique des opérateurs membres de la Fédération. L’atelier autour du parcours pédagogique Info Hunter a été mis en pratique avec des collégiens de 6ème.

Il s’agissait à partir d’une photo postée sur les réseaux sociaux de comprendre comment décrypter le vrai du faux. Les élèves, tous très actifs pendant cette séance, ont pu exercer leur sens critique grâce à cette ressource adaptée à leur âge.

Vidéo | Atelier de sensibilisation aux fake news avec Info Hunter à Franconville :

Tweet :

Document | Guide « Internet : comment accompagner & protéger votre enfant » :