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Contrastes

Étude économique 2021 | Les Télécoms : premiers acteurs du numérique

Sommaire

Étude économique 2021 | Les Télécoms : premiers acteurs du numérique (PDF, 3 MO)

Créée en 2007, la Fédération Française des Télécoms réunit les opérateurs de communications électroniques en France.

Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises du secteur, en défendant les intérêts économiques de ses adhérents et en participant à la valorisation de la profession au niveau national et international. Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la régulation ouverte.

Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.


1. L’essor des usages dans le contexte de l’arrivée de la 5G

L’essor des usages :

Évolution de la consommation voix mobile ;
France, T2 2018 – T2 2021, milliards de minutes.

+2% entre le T2 2018 et le T2 2019 soit 43 milliards puis 44 milliards, l'impact de la crise covid 19 : +24% pour le T2 2020

Consommation de données 4G[1] ;
Moyenne mensuelle

Une augmentation moyenne mensuelle de 26%, passant de 4,6GO au T2 2017 à 11,6GO au T2 2021

Temps moyen passé sur Internet par jour ;
Fixe et mobile, Avril 2018 – Avril 2021, en minutes/jour ;

L'impact de la crise covid provoque une augmentation de 29% , d'une année à l'autre, soit le temps moyen passant de 123 minutes par jour en avril 2019 à 180 minutes par jour en avril 2020

À titre illustratif, 15h sur Netflix qualité standard (ou 3,5h Haute Définition) ou 1h20 d’appel vidéo via WhatsApp par jour.

Source : Arcep, Données Médiamétrie, analyse Arthur D. Little.
[1] Consommation par carte active 4G.

La progression constante de la 4G et l’essor de la 5G :

Taux de pénétration du téléphone mobile ;

Une stagnation du téléphone mobile, qui équipe 94% des foyers depuis 2017, sans progression jusqu'en 2020. Mais une hausse du smartphone, de 11% depuis 2017. Un passage de 73% à 84%.

 

Cartes actives 4G ;
Millions de cartes actives, hors M2M.

Une augmentation des cartes actives 4G, de 14% par an, soit un passage de 37 Millions de cartes actives à 63 millions de cartes actives.

 

Ventes de terminaux 5G
France, 2020 et T1 2021.

  • 2020 : 1,2 million de smartphones 5G vendus ;
  • T1 2021 : 1 million de smartphones 5G vendus soit 33 % des smartphones vendus, 50% de ventes en valeur.

Source : Arcep, analyse Arthur D. Little.


2. Des investissements toujours plus élevés

Record historique de 11,5 Mds€ en 2020 :

Investissements dans les réseaux télécoms[1];
France, 2011-2020, milliards d’euros.

Une hausse constante des investissements dans les réseaux télécoms, passant de 7,3 milliards d'euros en 2011 à 11,5 milliards en 2020.

Plus 9,1 milliards d’euros d’achats de fréquences sur la période 0,9 en 2011 ; 2,6 en 2012 ; 2,8 en 2015 ; 2,8 en 2020.

Source : Arcep (données 2020 provisoires), analyse Arthur D. Little.
[1] Investissement hors achats de fréquences mobiles de l’ensemble du secteur des télécoms dans les réseaux (opérateurs de services de télécommunications et autres acteurs).

Le champion des investissements privés :

Poids des investissements[1] du secteur télécoms vs autres secteurs ;
France, 2016-2020, moyenne annuelle sur 5 ans, milliards d’euros

Pour la seconde année consécutive, les investissements dans les infrastructures télécoms ont franchi le seuil des 10 Milliards d'euros

11,5 milliards d’euros en 2020
Pour la seconde année consécutive, les investissements dans les infrastructures télécoms ont franchi le seuil des 10 milliards d’euros équivalents aux investissements suivants, chaque année…

  • 126 Hôpitaux ;
  • 89 Airbus A 320 Neo (prix catalogue) ;
  • 2 236 éoliennes (x 2 vs. parc actuel) ;
  • 800 écoles ;
  • 4 millions de Vélibs en service (x190 vs. parc actuel France).

Source : Entreprises, Recherches documentaires, analyse Arthur D. Little.
[1] Télécoms : chiffres Arcep (hors achat de fréquences) ; Électricité : ERDF ; RFF; Autoroutes : ASFA (Sanef, SAPN, ASF, …).

Un effort des opérateurs français inédit en Europe :

Taux d’effort d’investissement par pays (CAPEX1/Chiffre d’affaires[1]) ;
Royaume-Uni, France, Espagne, Allemagne, Italie, 2020.

La France est le pays ayant le taux d'effort d'investissement le plus important, comparé au Royaume-Uni, l'Espagne, l'Allemagne et l'Italie en 2020.

 

Source : Rapport annuel, analyse Arthur D. Little.
[1] Chiffre d’affaires, CAPEX et EBITDA des opérateurs télécoms ayant une part de marché fixe ou mobile supérieur à 10 %.

Nombre de locaux raccordés en FttH/B sur 12 mois[2] ;
Sélection de pays européens, septembre 2019 à septembre 2020, millions de locaux.

La France est le pays européen ayant la plus grosse progression du nombre de locaux raccordés au Ftth

 

Source : Panorama 2021 du FttH Council of Europe, analyse Arthur D. Little.
[2] Locaux déployés entre Sept 2019 et Sept 2020.


3. Des réseaux de qualité déployés à un rythme accéléré

Le déploiement des réseaux fixes :

Déploiement du très haut débit ;
Locaux éligibles à une offre très haut débit[1] en millions de locaux

Le nombre de locaux éligibles à une offre très haut débit à augmenter de 19% entre le T2 2020 et le T2 2021, soit une progression de 18% par an entre le T2 2018 et le T2 2021

Raccordement des territoires
Un déploiement de la fibre FttH x3/en 3 ans dans les zones moins denses.

Une augmentation de 32% par an, du déploiement de la fibre FttH dans les zones moins denses.

Source : Arcep, opérateurs, Analyse Arthur D. Little
[1] Très Haut Débit, THD : débit supérieur ou égale à 30 mégabits.

Le déploiement des réseaux mobiles :

Déploiement des réseaux mobiles 4G et 5G (tous opérateurs – métropole).

Une augmentation du nombre de déploiement des réseaux mobiles 4G et 5G.

 

Source : Observatoire des réseaux mobiles de l’ANFR.
[1] Expérimentations.


4. Des prix historiquement bas

La France, parmi les prix les plus bas des grands pays occidentaux :

Comparaison des offres fixe et mobile d’opérateurs leaders
Sélection de pays, Octobre 2021, toute taxe comprise par mois

Une offre fixe triple play coute en moyenne 22 euros en France, 25 euros en Italie, 31 euros en Espagne, 35 euros au Royaume-Uni, 45 euros en Allemagne, et 108 euros aux Etats-Unis.Le prix d'un abonnement mobile est d'environs 10 euros en France, 13 euros en France, 19 euros au Royaume-Unis, 25 euros en Espagne, 47 euros en Allemagne et 63 euros aux Etats-unis

Hors promotions, hors frais de raccordement,
Par pays, sélection du forfait le plus compétitif en termes de prix au sein des opérateurs avec une PDM supérieur à 10 %.

Source : Sites opérateurs, analyse Arthur D. Little.
[1] Offres triple play uniquement ; téléphonie illimitée au moins vers les fixe ; Internet haut débit illimité via xDSL ou fibre ; télévision incluse, hors packs additionnels ; opérateurs dont la part de marché > 10 % hors promotions.
[2] Appels illimités (quand disponible sinon > 500 minutes), SMS/MMS illimités, Internet au moins 50 Go ; offres sans terminal, offres sans engagement quand disponible ; opérateurs dont la part de marché > 10 %.

Les télécoms sont le seul secteur régulé à avoir baissé ses prix depuis 10 ans :

Évolution des indices de prix à la consommation d’un échantillon de services ;
France, 2011 – 2020, Base 100 en 2011.

L'indice des la consommation d'un échantillon de services montre que les services de télécommunications sur une base 100 en 2011, montre une diminution pour arriver à 54 en 2020.

 

Source : INSEE, analyse Arthur D. Little.


5. Une fiscalité pénalisante

Des conditions de concurrence inéquitables avec les géants de l’Internet :

Niveau d’imposition[1] en pourcentage des revenus[2],[3] ;
pour les principaux acteurs de l’écosystème numérique en France, 2020.

Les opérateurs télécoms sont imposés en pourcentage de revenus à 5,6%, pour comparaison, les fabricants de terminaux sont à 0,2%, les équipementiers réseaux à 2,8%, les fournisseurs de contenus à 3,7% et les acteurs internet comme Google, Amazon à 0,2%.

Source : Diane, rapports annuels, Analyse Arthur D. Little.
[1] Impôt sur les sociétés et impôts, taxes et versements assimilés hors amendes/accord/redressements payés par les acteurs Internet entre 2018 et 2020.
[2] CA déclaré en France ou recherche documentaire.
[3] Données redressées pour prendre en compte le CA effectif estimé des acteurs internationaux en France.

Le poids de la fiscalité spécifique :

Fiscalité spécifique (en millions d’euros) ;
Consolidation des taxes et redevances sectorielles payées par les cinq principaux opérateurs (Bouygues Telecom, EuroInfo Telecom, Free, Orange et SFR).

Source : consolidation FFTélécoms.


6. Les télécoms françaises toujours sous tension

Une pression continue sur les revenus malgré un effort d’investissement croissant :

Emplois, revenus et investissements des opérateurs télécoms en France ;
France, 2011-2020, base 100 en 2011.

Croissance annuelle moyenne 2011-2020 : +5,2 % pour l'Effort d’investissement, + 7,4 % pour les investissements opérateurs (hors achats de fréquences), -2,1 % du Chiffre d’affaires, -2,7 % des emplois directs opérateurs, -2,4 % des Emplois secteur. La croissance annuelle moyenne 2019-2020 est de +8,1 % pour l'effort d’investissement, +8,6 % les investissements opérateurs (hors achats de fréquences), -0,4 % du chiffre d’affaires, -3,2 % des emplois directs opérateurs, -2,1 % des emplois secteur

Croissance annuelle moyenne 2011-2020 :

  • +5,2 % | Effort d’investissement[1] ;
  • + 7,4 % | Investissements opérateurs[2] (hors achats de fréquences) ;
  • -2,1 % | Chiffre d’affaires[5] ;
  • -2,7 % | Emplois directs opérateurs[3] ;
  • -2,4 % | Emplois secteur[4].

Croissance annuelle moyenne 2019-2020 :

  • +8,1 % | Effort d’investissement[1] ;
  • +8,6 % | Investissements opérateurs[2] (hors achats de fréquences) ;
  • -0,4 % | Chiffre d’affaires[5] ;
  • -3,2 % | Emplois directs opérateurs[3] ;
  • -2,1 % | Emplois secteur[4].

Source : Arcep, DARES, Insee, analyse Arthur D. Little.
[1] Effort d’investissement : investissements des opérateurs (hors achat de fréquences) / revenus des opérateurs.
[2] Chiffres Arcep provisoires pour l’année 2020.
[3] Chiffres Arcep.
[4] Chiffre Arcep comprenant une partie des emplois indirects.
[5] Chiffres Arcep provisoires pour l’année 2018 correspondant au revenu perçu auprès du client final.


7. L’Europe numérique stagne dans un marché mondial en pleine croissance

L’Europe distancée par les champions américains et asiatiques :

Revenus de l’écosystème numérique[1] ;
Monde, 2011-2020, milliards d’euros constants[2].

Les revenus de l'écosystème numérique ont globalement augmentés de 6,6 % par dans le monde depuis 2011.

 

Croissance annuelle 2011-2020 :

  • +3 % | Autres[3] ;
  • +7 % | Asie ;
  • +8 % | Amérique du Nord ;
  • +1 % | Europe.

Croissance annuelle 2019-2020 :

  • +3 % | Autres[3] ;
  • +6 % | Asie ;
  • +8 % | Amérique du Nord ;
  • +3 % | Europe.

Source : Thomson Reuters Eikon, analyse Arthur D. Little.
[1] Panel de 180 entreprises: Par secteur, sélection par leur CA des entreprises du top 30 en 2020.
[2] Euros constants 2020.
[3] Inclut les acteurs des top 30 hors Asie, Amérique du Nord et Europe (uniquement Océanie, Moyen Orient, Afrique et Amérique du Sud).

Une capitalisation boursière des opérateurs télécoms en berne en 2020, faute de croissance :

Capitalisation boursière des opérateurs télécoms par région[1],[2] ;
Monde, 2011-2020, milliards d’euros constants[3].

La capitalisation boursière des opérateurs télécoms à mondialement augmenter de 7% par an entre 2011 et 2015, perdu 2% entre 2015 et 2019, puis perdu 11% entre 2019 et 2020

Croissance annuelle 2011-2015 :

  • +7 % | Autres[4] ;
  • +6 % | Asie ;
  • +11 % | Amérique du Nord ;
  • +4 % | Europe.

Croissance annuelle 2016-2020 :

  • 0 % | Autres[4] ;
  • -5 % | Asie ;
  • +2 % | Amérique du Nord ;
  • -9 % | Europe.

Croissance annuelle 2019-2020 :

  • -1 % | Autres[4] ;
  • +21 % | Asie ;
  • -4 % | Amérique du Nord ;
  • -17 % | Europe.

Source : Thomson Reuters Eikon, Arthur D. Little
[1] Nationalité selon la localisation du siège social.
[2] Panel de 180 entreprises : par secteur, sélection par leur CA des entreprises du top 30 en 2020.
[3] Euros constants 2020.
[4] Inclut les acteurs des top 30 hors Asie, Amérique du Nord et Europe (uniquement Océanie, Moyen Orient, Afrique et Amérique du Sud).


8. Les télécoms et l’environnement

Un impact environnemental maîtrisé des réseaux télécoms :

Émissions de GES[1] des opérateurs français et trafic Internet ;
Émissions liées aux réseaux télécoms (hors émissions liées aux contenus Internet et aux terminaux).

Les gaz à effet de serre (GES) des réseaux des opérateurs représentent 0,4 % des émissions de GES totales en France

Les gaz à effet de serre (GES) des réseaux des opérateurs représentent 0,4 % des émissions de GES totales en France.

Source : Observatoire T2 2020 de l’Arcep, Arcep Note n° 5 « L’empreinte carbone du numérique » : Cisco VNI, analyse Arthur D. Little.
[1] GES : gaz à effet de serre (dioxyde de carbone CO2, méthane CH4, oxyde nitreux N2O, hexafluorure de soufre SF6, hydrofluocarbures (HFC) et perfluocarbures (PFC)).
[2] Estimation de trafic fixe selon les données de CISCO VNI et extrapolation de la tendance 2015-2017 sur 2018 et 2019 ; Trafic Internet mobile selon les données de l’Arcep ; Estimation des émissions GES des opérateurs selon l’Arcep et des données RSE opérateurs pour 2018 et 2019.
[3] D’après les émissions directes en GES déclarées par les quatre opérateurs télécoms nationaux français.

Évolution de l’efficacité énergétique par secteur ;
France, base 100, 2015–2021E1.

Les réseaux télécoms comptent pour 0,8 % de la consommation d’électricité en France en 2020.

 

Les réseaux télécoms comptent pour 0,8 % de la consommation d’électricité en France en 2020[5].

Source : Rapport 2019 du Comité des constructeurs français d’automobiles, Baromètre Observatair 2019 de la FNAM, analyse Arthur D. Little.
[1] Estimation sur 2020-2030 en projetant, de façon linéaire, la tendance 2015-2020 sur 2020-2025.
[2] D’après CCFA : 6,5 L/100 km en 2019 vs 6,6 L/100 km en 2014 (voitures particulières, tout type de carburant).
[3] D’après CCFA : estimations à partir des données de consommation / 100 km par poids lourd et de la charge moyenne par poids lourd.
[4] d’après Observatair : 3,4 L pour 100 km par passager en 2019 contre 3,5 L en 2014. (5) RTE, rapport du CGE, 2019, “Réduire la consommation énergétique du numérique”.

Des actions concrètes prises par les opérateurs :

Le passage à la fibre optique divise par 3
la consommation énergétique des réseaux fixes.

La consommation électrique par an par ligne et par technologie est de 2,1 Watt pour le RTC, 1,8 Watt pour l'ADSL, et 0,5W pour la fibre.

Consommation électrique par an par ligne[1] par technologie

 

Le passage à la 5G augmente de 90 % l’efficacité énergétique
des communications mobiles.

Le passage de la 5G augmente de 90% de l'efficacité énergétique des communications mobiles par rapport à la 4G.

Consommation énergétique par unité de donnée transportée.

Source : APCC, Haut Conseil Climat, étude TeamViewer, ADEME, Arcep, Nokia, Arthur D. Little.
[1] Consommation des câbles et des équipements nécessaires.

Les télécoms sont l’une des solutions aux défis environnementaux :

  • 1 utilisateur en visioconférence réduit en moyenne son empreinte carbone annuelle de 4 tonnes de CO2 ;
    1 trajet en train de 100 000 km, soit 2,5 fois le tour du monde.
  • 1 jour de télétravail par semaine permet d’économiser 200 kg CO2 par an par travailleur ;
    1 075 km en avion soit 1 aller retour Paris Toulouse.

Source : APCC, Haut Conseil Climat, étude TeamViewer, ADEME, Arcep, Nokia, Arthur D. Little

L’effort soutenu des télécoms doit être amplifié par les autres acteurs de l’écosystème numérique :

Empreinte carbone du numérique en France ;
sur la base des estimations du scénario central du rapport du Sénat – Juin 2020.

La hausse de 60 % des émissions du secteur numérique d’ici 2040 est essentiellement liée aux data centers et aux terminaux (86 % des émissions des équipements connectés sont dus à leur production)

 

  • Équipements connectés[2] ;
  • Data centers ;
  • Réseaux télécoms.

La hausse de 60 % des émissions du secteur numérique d’ici 2040 est essentiellement liée aux data centers et aux terminaux (86 % des émissions des équipements connectés[2] sont dus à leur production[2]).

Source : Rapport 2019/2020 de la mission d’information sur l’empreinte environnementale du numérique au Sénat, analyse Arthur D. Little.
[1] Production des équipements connectés majoritairement en Asie du Sud-Est, avec une haute intensité carbone de l’électricité (213,8 g CO2eq/kWh en moyenne vs 57,1 g CO2eq/kWh en France).
[2] Smartphones, ordinateurs, imprimantes, écrans d’ordinateur, tablettes, téléviseurs, box, consoles de jeux, casques de réalité virtuelle, enceintes connectées, écrans publicitaires et modules de
connexion IoT.

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