Subject : Communiqué de presse
Le Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, Cédric O, a introduit l’évènement de restitution d’une étude inédite sur les territoires intelligents en France réalisée à la demande de la Direction Générale des Entreprises et du Comité Stratégique de Filière « Infrastructures numériques ». À cette occasion, un appel à projets « territoires intelligents et durables » doté de 30 millions d’euros dans le cadre du 4ème programme d’investissements d’avenir a également été lancé.
Une étude d’une ampleur inédite sur le territoire intelligent
De janvier à septembre 2021, une grande étude sur les outils et les méthodes de « territoire intelligent » en France a été menée par un consortium d’entreprises spécialistes (alliance Data Publica regroupant les cabinets Civiteo, Datactivist, Innopublica, Parme Avocats et KPMG secteur public) à la demande de l’État (Direction générale des entreprises – Ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance) et des fédérations professionnelles constitutives du Comité Stratégique de Filière des Infrastructures numériques (AFNUM, FFTélécoms, INFRANUM et SYCABEL).
L’objectif principal de cette étude est d’élaborer un diagnostic des initiatives existantes et de construire une vision commune des territoires intelligents. Cette étude a permis d’esquisser les contours d’un modèle français possible et de formuler des recommandations dans ce cens.
Si quelques projets occupent le devant de la scène et font parfois figure de modèles, les concepts de smart city ou de territoire intelligent recoupent aujourd’hui en France des réalités très différentes. Malgré l’existence de nombreux lieux d’échanges et de valorisation, il n’y a guère d’espace de capitalisation et de consolidation des expériences et il est difficile de structurer des démarches collectives de coopération associant, à l’échelle nationale, l’État, les associations de collectivités et le monde économique.
53 recommandations sont formulées par l’étude, issues d’échanges avec plus de 150 parties prenantes ayant permis de définir concrètement ce que l’on entend par « territoire intelligent », d’analyser les cas d’usages existants et de définir un possible modèle français. Elles s’adressent aux collectivités territoriales, aux entreprises qui les accompagnent, aux institutions qui conçoivent des dispositifs d’aide et de mutualisation d’outils et enfin aux acteurs locaux partie prenante de projets, notamment les citoyens.
Le Comité Stratégique de Filière (CSF) « Infrastructures numériques » va désormais, sur la base des travaux menés dans le cadre de cette étude, s’attacher à renforcer la concertation qu’il a engagée avec les collectivités territoriales, notamment en organisant plusieurs groupes de travail thématiques.
Nicolas Guérin, Président du CSF Infrastructures numériques :
« Je salue la publication de l’étude relative aux territoires intelligents et aux données publiques et remercie le Gouvernement pour son engagement aux côtés du comité de filière infrastructures numériques. Le travail considérable qui a été réalisé permet d’identifier les potentialités de développement pour la filière et offre des pistes pour définir les contours d’un modèle français.
Par ailleurs, je me félicite de l’annonce d’un appel à projets inédit qui va être lancé par le Gouvernement et qui vise à soutenir les projets de territoires intelligents et durables. En effet, le numérique est un élément indispensable pour accompagner l’ensemble des politiques publiques dans leur mue environnementale.
Désormais, notre filière va poursuivre et approfondir le travail de concertation engagé avec les collectivités locales dans nos territoires et avec leurs associations représentatives afin de mettre nos compétences et notre savoir-faire à leur service. »
À propos du CSF Infrastructures numériques :
Le 22 novembre 2018, le Conseil national de l’industrie a labellisé le Comité Stratégique de Filière « Infrastructures numériques ». Le Comité a identifié 4 projets structurants, dont les feuilles de route sont détaillées dans le contrat de filière. Tous font l’objet d’engagements réciproques industrie/État. La signature du contrat par l’industrie, les organisations syndicales, Régions de France et le Gouvernement en décembre 2019 a constitué un moment fort pour cette filière qui est un maillon essentiel de la numérisation de notre pays et dont le potentiel économique est considérable.
La filière des infrastructures numériques rassemble les fabricants de composants et d’équipements réseaux, les opérateurs d’infrastructures fixe et mobile et de services de communications électroniques, les fabricants de matériels et câbles de communication/très haut débit et les industriels des réseaux d’initiative publique. Enfin, elle peut compter sur de nombreux centres de recherche et pôles de compétitivité pour favoriser son essor économique et développer les activités de Recherche et Développement (R&D).
Subject : Communiqué de presse
La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) et ses membres saluent la concertation engagée par le gouvernement avec les associations représentant les personnes sourdes et malentendantes, sourdaveugles et aphasiques, et les représentants des entreprises et des services publics. Cette concertation doit permettre de simplifier les dispositifs actuels de mise en accessibilité des appels téléphoniques en application de l’article 105 de la loi pour une République numérique, dont le centre relais téléphonique mis en œuvre depuis octobre 2018 par les membres de la Fédération Française des Télécoms avec Rogervoice fait partie.
Afin de garantir la qualité de service du centre relais opéré par les opérateurs membres de la Fédération, et notamment le temps d’attente, des mesures de filtrage des appels vers les grandes entreprises et services publics, qui doivent disposer de services accessibles en propre, étaient envisagées à compter du 1er juillet 2021. Tenant compte des inquiétudes exprimées par les associations représentant les personnes sourdes et malentendantes, sourdaveugles et aphasiques, et, par ailleurs, au vu de la volonté du gouvernement de mener une grande concertation visant à simplifier le dispositif actuel, d’en équilibrer les coûts, et d’engager un plan métier, les opérateurs membres de la FFTélécoms ont décidé de suspendre ces mesures de filtrage.
Conformément à la loi, le centre relais téléphonique opéré par les opérateurs de la FFTélécoms et Rogervoice devait être mis en œuvre en parallèle de la mise en accessibilité téléphonique des grandes entreprises et services publics. Par ailleurs, afin de permettre à l’ensemble de ces services de fonctionner, le gouvernement devait initier un plan de formation permettant de mettre suffisamment d’interprètes en langues des signes française à disposition des centres relais.
Depuis le lancement du service, la Fédération et ses membres ont plusieurs fois alerté les pouvoirs publics sur la pénurie grandissante d’interprètes, l’absence de plan métiers et sur l’absence de mise en conformité d’un nombre important d’entreprises et services publics assujettis. Ces facteurs combinés ont mené à une saturation grandissante du service des opérateurs membres de la Fédération Française des Télécoms : plus de 65% (données de Rogervoice) des appels passés depuis le lancement du service sont aujourd’hui à destination d’entités qui devraient être accessibles par leurs propres moyens, comme le prévoit initialement la loi, et qui ne le sont toujours pas. Ainsi, les clients disposent actuellement d’un forfait d’une heure, offert par les opérateurs télécoms. Or ce forfait est aujourd’hui en grande partie consommé par des appels vers les entreprises normalement assujetties, ce qui cause un préjudice à la fois au client qui perd une partie du volume offert, comme aux opérateurs qui prennent à leur charge des communications qui ne devraient pas l’être.
Une mobilisation collective est essentielle pour parvenir rapidement à une solution plus simple pour les utilisateurs et qui engagerait l’ensemble des acteurs assujettis à respecter leurs obligations, afin de faire de l’accessibilité téléphonique une réalité. Les opérateurs se sont investis de longue date en faveur de l’accessibilité. Cet engagement s’est traduit par de nombreuses initiatives dont la mise en œuvre d’une charte d’engagements volontaires pour l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques.
Leur détermination à permettre au plus grand nombre d’accéder au numérique se poursuit avec le passage prochainement à 3 heures offertes et à une extension des horaires et jours d’ouverture du service. Un objectif ambitieux qui ne pourra être atteint sans la mise en place d’une mobilisation collective des acteurs privés et publics visant à mutualiser le service entre les assujettis, la juste participation financière de chacun d’eux et la formation d’interprètes dont le nombre est aujourd’hui insuffisant.
Subject : Communiqué de presse
La Fédération Française des Télécoms et ses membres Bouygues Telecom, Orange, SFR, saluent l’importance et la richesse du travail mené par l’ANSES dans son avis « Exposition aux champs électromagnétiques liée au déploiement de la technologie de communication 5G et effets sanitaires associés ».
Nous retenons que l’ANSES confirme que la 5G ne présente pas de risque spécifique pour la santé, dans les fréquences actuellement utilisées.
Nous soulignons par ailleurs que le comité d’experts de l’Agence se prononce de manière claire sur les principales questions biologiques et sanitaires posées par le déploiement de cette nouvelle technologie.
Ces conclusions rejoignent celles des vingt autres autorités sanitaires internationales qui ont déjà pris position positivement sur le sujet (ICNIRP, OMS, Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni, etc.).
S’agissant du déploiement dans la bande 3,5 GHz, la conclusion de l’Agence est tout aussi rassurante. « Il est peu vraisemblable, à ce stade, que le déploiement dans cette bande de fréquences constitue un nouveau risque pour la santé. »
Concernant la bande de fréquences autour de 26 GHz, la Fédération et ses membres souscrivent également aux recommandations de l’Agence pour des études complémentaires visant à améliorer la caractérisation des expositions.
Notre industrie se félicite aussi que le rapport de l’ANSES* pointe l’utilité sociale et économique du déploiement de la 5G : « le déploiement des infrastructures de communication 5G a pour objectif de favoriser le développement de services innovants, à l’attention à la fois des particuliers et des entreprises utilisatrices, dans des domaines variés comme la santé, les médias, les transports ou encore les industries du futur. »
Enfin, conscients que le progrès peut générer des interrogations, nous tenons à rappeler que les opérateurs télécoms se sont toujours basés sur les études et avis scientifiques avant tout lancement de nouvelles technologies, et ce, par souci de transparence et esprit de responsabilité.
Nicolas Guérin, président de la Fédération Française des Télécoms, déclare :
« Les conclusions de l’ANSES sont nécessaires et rassurantes, elles doivent désormais être largement et rapidement relayées auprès des élus et citoyens pour un déploiement, dans un climat apaisé, de cette technologie au service du développement de notre pays. La 5G n’est pas un danger ! Ce n’est pas moi qui le dis mais l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire. »
* Cet avis de l’ANSES fait suite à la saisine du 9 janvier 2019 par les ministères en charge de la Santé, de l’Environnement et de l’Économie. Cette saisine a inclus dans l’expertise « certaines études clés » les plus récentes, « parues de juillet 2020 à mars 2021 lorsqu’elles ont été jugées pertinentes et de qualité satisfaisante ».
Subject : Communiqué de presse
Les opérateurs de téléphonie mobile se sont engagés depuis plus de trois ans dans l’accord du New Deal Mobile afin d’apporter la 4G à l’ensemble des Français.
Les opérateurs ont basculé 2148 sites zones blanches centres bourgs en 4G, ce qui correspond en mars 2021 à 82 % de l’ensemble des sites à migrer d’ici fin 2022, dépassant largement l’objectif assigné par le Gouvernement qui était de 75% à fin 2020.
Les opérateurs sont pleinement impliqués dans cet ambitieux programme de construction de nouveaux pylônes mutualisés au travers du dispositif de couverture ciblée qui permet aux élus locaux d’identifier les zones prioritaires à couvrir. Ils ont ainsi construit et mis en service 762 nouveaux pylônes au 31 mars 2021 au titre du dispositif de couverture ciblée.
Par ailleurs, la couverture est améliorée sur les axes routiers prioritaires et l’objectif de généraliser la 4G hors zones blanches, a été atteint fin 2020.
Le New Deal Mobile est devenu une réalité sur le terrain. Il a certes été ralenti pendant la crise sanitaire mondiale mais il n’a pas empêché les opérateurs et leurs techniciens de continuer, dans toute la mesure du possible, à déployer notamment durant les périodes de confinement. Des sites mobiles ont ainsi été construits et, contrairement à d’autres secteurs économiques complètement à l’arrêt, l’industrie des télécoms a démontré, et démontre encore plus ces dernières semaines, sa capacité à maintenir l’activité pour atteindre les objectifs fixés.
La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) et ses membres ont organisé plusieurs inaugurations de sites mobiles 4G ces dernières semaines dans les départements du Tarn-et-Garonne, Jura, Haute-Savoie, Côtes-d’Armor… qui illustrent la réalité des déploiements. L’implication des collectivités et des élus locaux, des équipes projet sur le terrain, en lien avec l’ensemble des acteurs, est l’une des clés de la réussite de ce programme.
Les réseaux télécoms ont joué un rôle majeur dans la résilience économique et sociale du pays depuis la crise sanitaire et ses conséquences en termes de restrictions des déplacements et des rassemblements. C’est en effet grâce aux réseaux télécoms que, depuis plus d’un an, les Français peuvent communiquer, télétravailler, poursuivre l’éducation à la maison, consulter leur soignant, s’informer, se divertir et tout simplement garder le lien.
Au regard de leur rôle, les réseaux et les infrastructures télécoms sont des biens sensibles qui doivent être préservés. Les opérateurs de téléphonie mobile déplorent ces derniers mois, des actes de vandalisme à l’encontre de leurs infrastructures dans différents lieux du territoire. Dans ce contexte la FFTélécoms travaille depuis plusieurs mois pour renforcer la coopération entre les services de l’État et les opérateurs de communications électroniques afin de lutter contre toutes les formes de malveillance. Il s’agit de prévenir ces actes grâce à la mise en place d’une convention nationale qui sera déclinée au niveau local. Sous l’égide des préfets, les actions à mener pour appréhender les personnes qui portent atteinte à l’ordre public en empêchant l’acheminement des communications d’urgence et en privant habitants, entreprises et administrations de l’accès aux réseaux de communications électroniques pourront être identifiées et mises en œuvre.
Avec ce nouveau confinement, notre industrie démontre une nouvelle fois son aptitude à réagir rapidement en poursuivant les déploiements des réseaux fixes et mobiles. Notre détermination à accompagner les Français s’illustre également avec le maintien de nos boutiques qui restent ouvertes durant cette période compliquée.
La mobilisation exceptionnelle des opérateurs s’est faite aussi en solidarité avec la filière industrielle, les sous-traitants et fournisseurs. La FFTélécoms souligne cette solidarité exemplaire des opérateurs et rappelle le rôle fondamental de l’industrie des télécoms dans la relance économique de notre pays. Notre secteur investit plus de 10 milliards par an pour déployer ses réseaux fixes et mobiles.
Nicolas Guérin, Président de la FFTélécoms a déclaré :
« La FFTélécoms et les opérateurs multiplient les actions de terrain pour accompagner les maires dans l’arrivée de leur pylône 4G. Nous avons inauguré par exemple dans le Jura un pylône pour les 21 habitants de la zone concernée ! C’est un record et une illustration de notre engagement à connecter le plus grand nombre, partout en France. En 4 mois nous avons construit et activé 300 nouveaux pylônes, le rythme s’accélère malgré un contexte sanitaire compliqué. Pour ce nouveau point d’étape des déploiements mobiles, je veux saluer l’implication exemplaire des techniciens de l’ensemble des opérateurs. Depuis plus d’un an, ils sont sur le pont, ainsi que toute la chaîne des télécoms : nos sous-traitants, nos fournisseurs, nos vendeurs, nos ingénieurs. »
Subject : Communiqué de presse
À la suite de la conférence citoyenne organisée par la Ville de Paris fin 2020 sur le déploiement de la 5G, une nouvelle charte parisienne de la téléphonie mobile sera soumise au conseil de Paris du mois de mars. Limitation de l’exposition aux ondes, information et transparence sur l’installation des antennes, suivi de l’impact environnemental, développement du recyclage, inclusion numérique : la signature de cette charte par la Ville de Paris et les opérateurs de téléphonie mobile – Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR – rendra possible le lancement commercial de la 5G dans la capitale dans les prochaines semaines.
Nicolas Guérin, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) :
« Je me réjouis de cet accord au nom des opérateurs membres de la FFTélécoms. Paris sans la 5G, c’était un peu l’imaginer sans la Tour Eiffel, tant la capitale a toujours été, au travers de son histoire, au rendez-vous du monde de demain. La capitale, qui va accueillir les Jeux Olympiques dans 3 ans, sera donc bien à cette occasion la vitrine planétaire des nouveaux usages rendus possibles grâce à la 5G.
Par cet accord, les opérateurs montrent, une fois de plus, leur volonté et leur capacité à dialoguer avec les élus locaux de manière constructive, et au bénéfice de tous. Au-delà de déployer les infrastructures, ils s’engagent aussi pour l’inclusion numérique et pour démontrer que le numérique est indispensable à l’atteinte des objectifs environnementaux.
La 5G doit être accueillie, sans crainte, et avec enthousiasme puisque les autorités sanitaires et de contrôle concluent de manière concordante à une absence d’effets sanitaires spécifiques de la 5G en dessous des valeurs limites d’exposition.
La 5G, tout comme la 4G et la fibre étendues à l’ensemble du territoire, se déploient pour la compétitivité de notre pays et de nos entreprises. »
La charte parisienne de téléphonie mobile : un cadre protecteur, depuis 2003
La première charte a été adoptée en 2003 et régulièrement mise à jour depuis. Avec cette nouvelle charte, Paris reste la capitale la plus attentive d’Europe à l’exposition aux radiofréquences, en maintenant l’objectif de sobriété pour les antennes relais de téléphonie mobile à une valeur d’attention de 5 V/m.
Une concertation citoyenne indispensable
Cette nouvelle charte est le fruit d’un travail engagé à l’automne avec l’organisation d’une conférence citoyenne métropolitaine sur la 5G. Ses 21 recommandations ont été présentées lors du conseil de Paris de décembre. Elles vont dans le sens d’une meilleure information des citoyens sur les impacts de la 5G et des différents usages du numérique, de meilleures pratiques de récupération et recyclage des terminaux, d’une réflexion sur les usages « intelligents » de la 5G, d’une meilleure information sur les règles de gestion des données personnelles, de politiques d’innovation industrielle liées aux nouveaux usages créés par la 5G, de politiques éducatives pour un bon usage du numérique et de la 5G.
Des auditions par les élus parisiens
La Ville a travaillé à la mise à jour de la charte de téléphonie mobile sur la base de ces recommandations, avec deux objectifs : conserver son cadre transparent et protecteur et lui donner un rôle élargi en termes de suivi des impacts de la téléphonie mobile. Pour ce faire, des élus parisiens, représentant l’ensemble des groupes politiques, ont auditionné ces dernières semaines les opérateurs, les associations de consommateurs et d’usagers, la Fédération française des télécoms, ainsi que les agences nationales (ARCEP, ANFR, ANSES et CNIL). Ces auditions ont ainsi permis d’éclairer le débat et de prendre en compte toutes les dimensions de cette transition technologique.
Des engagements des opérateurs de téléphonie mobile et de la Ville de Paris
L’accord entre la Ville et les opérateurs permet des avancées notables :
- Optimiser le recyclage et la réutilisation des équipements de téléphonie : les opérateurs s’engagent à ouvrir des points de collecte universels dans toutes leurs boutiques parisiennes, à développer les points de collecte lors des grands événements publics, soutenir les actions menées à Paris dans le domaine de l’économie circulaire et du réemploi, au-delà de leur adhésion à des éco-organismes agréés pour les DEEE (déchets d’équipements électriques et électroniques). Les opérateurs informeront régulièrement la Ville de Paris des taux de recyclage et réemploi des terminaux.
- Contribuer au respect de l’Accord de Paris et du plan Climat de la Ville de Paris : les opérateurs informeront régulièrement la Ville de Paris de leur trajectoire vers la neutralité carbone et de leurs actions pour compenser les émissions résiduelles. La Ville de Paris et les opérateurs travailleront à l’application des méthodologies proposées par l’ADEME et l’Arcep pour suivre l’impact environnemental de la téléphonie mobile.
- Protection des données à caractère personnel et libertés publiques : les opérateurs s’engagent auprès de la Ville de Paris au respect le plus strict de leurs obligations en matière de protection des données à caractère personnel. La Ville de Paris réaffirme par ailleurs son opposition aux expérimentations de reconnaissance faciale dans l’espace public.
- Faciliter l’accès pour tous aux services de téléphonie et l’inclusion numérique : les opérateurs informeront régulièrement la Ville de Paris sur leurs tarifs et différents dispositifs sociaux. Les opérateurs s’engagent à l’inclusion numérique, au travers du Fonds de solidarité logement (FSL) ou tout autre dispositif.
- Informer les citoyens : la sobriété numérique, la consommation responsable, la vigilance sur l’utilisation des données personnelles feront l’objet de campagnes d’information qui pourront être déclinées, en lien avec l’Éducation nationale, dans les établissements scolaires, afin de promouvoir la consommation responsable et prévenir les conduites à risque chez les populations jeunes. La Ville de Paris s’engage à mettre à disposition des Parisiens une information complète et transparente sur les impacts de la téléphonie mobile et de la 5G en publiant les rapports des agences nationales compétentes ainsi que les éléments fournis par les opérateurs dans le cadre de la charte.
Un observatoire parisien de la téléphonie mobile garant de la bonne exécution de la charte.
Un Observatoire parisien de la téléphonie mobile, instance de suivi est mis en place par la Ville de Paris. Il sera composé d’élus représentant les groupes politiques du Conseil de Paris, des opérateurs, d’associations de consommateurs et de locataires, d’associations de protection de l’environnement, de 2 participants à la conférence citoyenne et des agences nationales et régionales concernées et d’experts scientifiques. Il aura pour mission de contrôler le respect de la charte et de suivre les actions menées en réponse aux recommandations de la conférence citoyenne, mais aussi de partager l’état des connaissances sur la téléphonie mobile et des enjeux liés aux prochaines évolutions technologiques.
Contact presse : Gisèle Chidiac – 01 42 76 49 61 – presse[at]paris[.]fr
Contact presse Free : Isabelle Audap – presse[at]iliad[.]fr
Subject : Communiqué de presse
La Feuille de Route pour l’Économie Circulaire (FREC) a fixé en avril 2018 le cap visant à mieux produire, mieux consommer et mieux gérer les déchets en mobilisant tous les acteurs. L’une des 50 mesures présentées vise à favoriser en particulier la reprise des anciens téléphones mobiles, afin qu’ils soient réemployés ou recyclés.
Dans ce contexte, les constructeurs de l’Alliance Française des Industries du Numérique (AFNUM) et les éco-organismes ecosystem et Ecologic ont pris une initiative jusqu’alors inédite: celle de rassembler tous les acteurs de la filière concernée et plus spécifiquement les opérateurs de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), les acteurs du réemploi dont la Fédération du Réemploi et de la Réparation (RCube), les entreprises Remade et Cordon Electronics, avec la participation de l’ADEME, afin de déterminer quels leviers d’action permettraient de répondre à cet enjeu national.
Comprendre pour mieux agir.
La première étape définie par ce collectif a été de réaliser une cartographie de la filière française des téléphones usagés tenant notamment compte du développement du marché de l’occasion, pour mieux appréhender les comportements des Français face au recyclage de leurs téléphones mobiles et pour identifier les stratégies de collecte mises en place dans d’autres pays.
Les principaux constats qui découlent de l’étude sont les suivants :
- Le gisement de téléphones dormants est important : entre 54 et 113 millions, selon les acteurs et les flux pris en considération ;
- Le réemploi des téléphones monte en puissance : 5 à 9 millions d’appareils d’occasion sont reconditionnés et revendus chaque année ;
- Les filières agréées de recyclage réalisent une collecte faible, entre 0,3 et 0,5 million d’appareils par an uniquement ;
- Il n’existe pas de système unique et efficace de collecte qui permettrait d’atteindre un taux de collecte significatif des téléphones usagés. À ce titre, l’analyse des dispositifs mis en place dans d’autres pays montre qu’un système de consigne, qui a notamment été déployé puis suspendu en Corée du Sud et en Autriche, se révélerait très onéreux et non adapté aux enjeux du déstockage des téléphones dormant dans les tiroirs.
Le parc en hibernation dans les tiroirs des Français constitue donc un gisement important de téléphones à récupérer tant pour le réemploi que pour le recyclage. Ce parc serait composé pour plus de deux tiers d’appareils encore fonctionnels (gardés essentiellement comme solution de rechange, pour soi ou pour ses proches). Le potentiel de réemploi et la valeur marchande associée de ce parc en hibernation sur le marché de 2ème main est donc très variable et difficile à estimer. Les mesures proposées par le collectif visent en priorité à « vider les tiroirs » mais également à mieux structurer la filière du réemploi.
Un système de mesures complémentaires pour favoriser la reprise et la collecte.
Pour atteindre les objectifs définis par la FREC, la mise en place de mécanismes incitatifs ne peut suffire. Seule une approche intégrée et systémique permettra d’accroître le taux de collecte à l’échelle nationale, en actionnant simultanément les leviers suivants :
- Sensibiliser le grand public à l’enjeu environnemental : les téléphones mobiles doivent être collectés pour être mieux réemployés ou recyclés afin de faire re-circuler au maximum les équipements et les matériaux contenus, et ainsi s’inscrire dans un schéma d’économie circulaire.
- Mieux communiquer sur les dispositifs de collecte : les Français souhaitent être davantage informés des dispositifs de collecte mis à leur disposition pour donner une seconde vie à leur(s) téléphone(s) mobile(s) ou les recycler. Deux actions sont d’ores et déjà à l’étude pour répondre à cette attente :
-
- Mise en ligne d’un annuaire national des lieux et acteurs de la collecte et de la reprise des mobiles pour regrouper et centraliser l’ensemble des informations pertinentes pour les consommateurs ;
- Campagne de communication à l’occasion des Jeux Olympiques Paris 2024, valorisant la fabrication des médailles olympiques à partir des matériaux recyclés issus des équipements collectés. Cette campagne s’inscrit dans la continuité des initiatives menées pour les JO de Rio en 2016 et de Tokyo en 2020.
- Créer une meilleure confiance dans les différents acteurs de l’écosystème, et rassurer les consommateurs sur le devenir de leur équipement et notamment sur le traitement des données stockées dans leurs téléphones : il subsiste notamment aujourd’hui une crainte du consommateur quant à l’accès potentiel aux données stockées dans un téléphone après sa prise en charge par les filières de réemploi ou de recyclage. Une plus grande transparence et une standardisation de la filière devraient lever ce frein à la collecte à travers par exemple la mise en place d’un label volontaire.
- Afin d’actualiser la cartographie des acteurs et des flux, de mesurer la performance des mesures proposées et d’être force de propositions sur d’éventuels ajustements, le collectif propose la création d’un Observatoire français de la téléphonie mobile qui pourrait – entre autres – mesurer le taux de circularité des téléphones mobiles. Ce nouvel indicateur rapporterait le nombre de téléphones réemployés et recyclés au nombre de téléphones neufs mis sur le marché chaque année. Il est estimé aujourd’hui entre 22 et 40%.
Consulter le rapport de l’étude
Contact presse principal : Caroline Marcouyoux – cmarcouyoux[at]afnum[.]fr.
À propos de l’AFNUM
L’AFNUM (Alliance Française des industries du Numérique) est le syndicat professionnel qui regroupe, en France, les industriels des réseaux, du traitement de l’information, des terminaux, du traitement du document, de l’électronique grand public, de la photographie, des systèmes d’impression et des objets connectés. Il regroupe une soixantaine d’entreprises et représente un secteur d’activité employant 80 000 personnes générant un chiffre d’affaires de 15 milliards d’euros en France.
www.afnum.fr Contact presse : Caroline Marcouyoux – cmarcouyoux[at]afnum[.]fr.
À propos d’Ecologic
Ecologic est un éco-organisme, entreprise à but non lucratif investie par l’Etat d’une mission d’intérêt général consistant à prévenir, collecter, dépolluer et valoriser les Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques, ménagers et professionnels (filière DEEE). Depuis 2006, il accompagne ses producteurs-adhérents, dont une part importante du secteur des technologies de l’information, dans la mise en oeuvre de leur responsabilité élargie (REP), contribuant ainsi au développement d’une économie circulaire.
Contact presse : Elisabeth Steffann – esteffann[at]ecologic-france[.]com.
À propos d’ecosystem
ecosystem est un éco-organisme c’est-à-dire une entreprise à but non lucratif d’intérêt général, agréée par les pouvoirs publics pour gérer les appareils ménagers et professionnels complexes usagés et prolonger leur durée de vie sous forme d’appareils rénovés ou réutilisés ou sous forme de nouvelles matières premières recyclées et dépolluées.
Contact presse : Mélissa Bire – mbire[at]ecosystem[.]eco.
À propos de la Fédération Française des Télécoms
La Fédération Française des Télécoms réunit les opérateurs de communications électroniques en France. Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.
À propos de Rcube
RCube.org est la Fédération des Acteurs Professionnels du Réemploi et de la Réparation, avec pour but de prolonger la durée de vie des équipements. RCube.org anime des événements et construit des projets pour contribuer au développement du Réemploi de tous types de produits et professionnaliser les pratiques des acteurs. Plus de 100 membres sont membres de la Fédération allant de ressourceries, de reconditionneurs, d’artistes, d’acteurs spécialisés dans la réduction des déchets, d’acteurs faisant de l’éducation, de l’autoréparation, du don, de la réparation, de la formation de réparateurs, etc… – www.rcube.org. Contact presse : Benoit Varin – benoit.varin[at]rcube[.]org.
Subject : Communiqué de presse
Objectif fibre, dont la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est membre, a présenté le 12 novembre 2018 son nouveau guide pratique dédié au raccordement des services généraux des immeubles neufs à un réseau en fibre optique mutualisé.
Une fois encore, le travail de nombreux acteurs permettra d’accélérer et de faciliter le déploiement du Très Haut Débit (THD) fixe.
En savoir plus sur Objectif-fibre.fr
Document | Objectif Fibre | Fascicule complémentaire 2018 (8ème guide) :
Document | Objectif Fibre | Communiqué de presse 8ème guide pratique (2018) :
Subject : Communiqué de presse
Bouygues Telecom, Euro-Information Télécom, Orange et SFR ont sélectionné au terme d’une procédure d’appel d’offres, la start-up Rogervoice pour assurer l’accessibilité de leurs services de téléphonie de communications interpersonnelles aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques.
Grâce à ce nouveau partenariat, ces publics seront en mesure de passer des appels téléphoniques traduits de manière adaptée à leur handicap vers leurs correspondants. Cette décision des opérateurs de la FFTélécoms s’inscrit dans leur tradition qui allie l’humain à l’innovation. Elle propose un service qui associe les services de traduction classiques en Langue des Signes Française (LSF) et en Langage Parlé-Complété (LPC) via un interprète diplômé, à un service principalement fondé sur un usage adapté des nouvelles technologies d’intelligence artificielle*, permettant de transcrire quasi-automatiquement la parole en texte. Ainsi, l’utilisateur aura une solution globale pour communiquer.
Ce choix des opérateurs traduit une volonté de proposer une solution inédite pour les communications interpersonnelles. L’obligation d’accessibilité posée par la Loi pour une République Numérique est tout d’abord unique au monde en raison de son ambition affichée de bénéficier à tous ces publics. Mais la solution retenue est également remarquable par son choix de mettre en oeuvre une solution d’Intelligence Artificielle à l’échelle nationale.
Cette ambition, impulsée par les opérateurs membres de la FFTélécoms, ne pourra cependant être concrétisée qu’à raison d’un effort coordonné avec la société civile d’une part, porteuse de connaissances et d’expériences, mais également avec les services publics et les entreprises qui doivent aussi rendre accessibles leurs services d’accueil au public ou de relation client, d’autre part. En effet, le succès de l’opération dépend notamment de la bonne coordination entre les services des opérateurs, et celui de l’ensemble des acteurs concernés. La Fédération Française des Télécoms s’engage en ce sens à poursuivre ses travaux de dialogue et d’échange de bonnes pratiques avec tous les acteurs de l’écosystème, dans le but de favoriser les meilleures conditions possibles au lancement du service, prévu pour le 8 octobre 2018.
Pour rappel, ce nouveau projet s’inscrit dans la continuité du suivi par la FFTélécoms dès 2015 de l’expérimentation mise en place par l’État du centre relais téléphonique de communications interpersonnelles. Les opérateurs se sont engagés de longue date, et avant toute obligation légale, dans une démarche de mise en accessibilité de leurs services clients. La Loi pour une République Numérique inscrit désormais cette obligation de rendre leurs services de téléphonie et de service client accessibles à tous, pour les opérateurs de communications électroniques, mais également aux services publics et grandes entreprises.
Document | Communiqué de presse FFTélécoms :
* la visio interprétation avec des interprètes diplômés, supervisés et formés via une interface intuitive et multi-devices texte en temps réel.
Subject : Communiqué de presse
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), proposent chaque année un appel à projets innovants sur des thématiques sociétales majeures, comme l’accessibilité en 2016, et les jeunes et l’accès aux contenus en ligne en 2017.
Conscients des nombreux enjeux qui se jouent autour du numérique, les opérateurs s’engagent et remplissent leur mission d’acteur numérique responsable en soutenant des projets innovants et variés.
Vidéo | Appel à projets – Prix Télécoms Innovations 2018 :
Pour cette troisième édition, la Fédération a choisi le thème de « l’initiation responsable au numérique », en partenariat avec l’ANSA, Google et TECH IN France.
C’est autour de ce sujet, devenu essentiel pour notre société, que l’ensemble des acteurs du numérique souhaite cette année mobiliser le plus grand nombre pour faire émerger de nouvelles solutions.
Les candidats – entreprises, associations, chercheurs ou laboratoires – devront présenter un projet qui met en valeur des applications et services numériques ou des actions pédagogiques visant à accompagner les publics et les intervenants qui les aident, par exemple les travailleurs sociaux, à l’occasion de leur transition vers le numérique.
Les lauréats bénéficieront non seulement d’une dotation financière pour poursuivre le développement de leur projet innovant et aussi d’une visibilité accrue auprès de l’ensemble des acteurs de leur écosystème.
Quels types de projets sont attendus ?
Le projet peut :
- Être destiné à l’ensemble des publics et leurs accompagnants ou ne s’adresser qu’à un public défini ;
- Introduire un nouvel outil numérique ou, au contraire, proposer une approche innovante en matière d’accompagnement des publics.
Le projet doit :
- Apporter une solution pédagogique à la problématique de l’initiation responsable au numérique ;
- Être structuré, clair et innovant ;
- Être reproductible ou diffusable au travers d’une démarche d’essaimage dans plusieurs territoires.
Sur quels critères seront jugés les projets ?
Sur 5 critères, qui comptent chacun pour 20% de la note finale :
- Adéquation aux objectifs ;
- Pertinence technologique et industrielle ;
- Adéquation aux attentes, usages et goûts du public visé ;
- Impact social ;
- Pérennité du projet.
Comment s’effectue la sélection ?
Elle s’effectuera sur dossier par un jury composé de professionnels des télécoms, du numérique, des médias spécialisés et des milieux solidaires. La démonstration d’un prototype ou d’un concept défini est l’un des points clefs de la sélection.
Comment participer ?
- Les dossiers sont à envoyer par e-mail à telecomsinnovations2018@fftelecoms.org avant le 15 juillet 2018.
- Le règlement de l’appel à projets est consultable ici et à la fin de cet article.
Les éditions précédentes :
En 2017, trois projets innovants sur le thème des jeunes et de l’accès aux contenus en ligne :
- Une solution de codage en ligne avec le projet COOD pour LES PETITS CODEURS ;
- Une solution de médiation avec le projet OPEN LINE ;
- Une ressource pédagogique de lutte contre les fausses informations avec le projet INFO HUNTER pour TRALALERE.
En 2016, trois projets innovants sur le thème de l’accessibilité des personnes sourdes et malentendantes :
- Une application « speech-to-text » avec le projet ROGERVOICE ;
- Une solution d’aide auditive basée sur la reconnaissance vocale avec le projet IVES ;
- Une solution de détecteur de mouvements 2D/3D pour la traduction de la langue des signes avec le projet SEQUERIS.
Présentation des partenaires :
L’Ansa est une association sans but lucratif dont l’objet social est la lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion, par l’incitation, la promotion et l’accompagnement de l’innovation et l’expérimentation sociale. Depuis douze ans, l’Ansa travaille sur des projets impliquant des acteurs publics et privés. Elle accompagne l’amélioration des conditions de vie des personnes les plus fragiles au travers de projets visant à l’autonomie et l’insertion économique et sociale, l’hébergement et le logement des personnes défavorisées, la lutte contre les précarités alimentaire, énergétique et financière, l’accès aux soins, l’inclusion numérique de
tous… www.solidarites-actives.com
La mission de Google est d’organiser les informations à l’échelle mondiale pour les rendre accessibles et utiles à tous. Avec des produits et des plateformes tels que le moteur de recherche, Google Maps, Gmail, Android, Google Play, le navigateur Chrome ou YouTube, Google joue un rôle dans le quotidien de milliards de personnes et est devenue l’une des entreprises les plus connues au monde. Google est une filiale d’Alphabet Inc. Google opère en France depuis plus de quatorze ans. www.google.com/intl/fr/about
TECH IN France, une association professionnelle créée en 2005 qui a pour but de rassembler et de représenter les éditeurs de logiciels et solutions internet en France. Porte-parole de l’industrie numérique, TECH IN France compte 400 entreprises adhérentes, de la startup à la multinationale en passant par la PME et les grands groupes français et contribue par ses travaux à leur développement. www.techinfrance.fr