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Le Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) Nicolas Guérin est intervenu à l’édition 2020 de Ruralitic le 25 août à Aurillac à la table ronde « Très Haut débit pour tous ! », séquence « France Très Haut Débit, où en sommes-nous sur les territoires ruraux ? ». Extraits de son intervention :

Il y a énormément d’attente sur le secteur des télécommunications, le Covid-19 l’a montré, on en avait déjà énormément conscience avant. Tous les hommes et les femmes des réseaux sont mobilisés pour faire face à ces attentes et ces défis. Ça fait 27 ans que je suis dans ce secteur et c’est la 1ère fois que je vois une mobilisation aussi énorme et complète de la chaîne des acteurs du secteur des télécoms pour faire face à tout ce qui nous est arrivé. Pendant le confinement, la priorité numéro 1 a été de maintenir les réseaux et de permettre qu’ils fonctionnent. Le télétravail a été multiplié par 7. Il a fallu y faire face. Il a fallu que le réseau résiste à cela.

Cette priorité du maintien des réseaux a été rendue possible grâce à des milliers de salariés des télécommunications qui sont restés sur le terrain pour faire des réparations. Ils l’ont fait discrètement mais avec beaucoup d’efficacité. On a bien conscience que l’industrie des télécoms sera un des piliers de la relance économique. On verra ce que Bruno Le Maire va annoncer. On espère qu’il y aura des ambitions aussi fortes que ce que l’on a pu voir en Allemagne. On espère qu’il y aura des ambitions aussi fortes que ce que l’on a pu voir en Allemagne : sur 130 milliards d’euros consacrés aux plans d’investissements, il y a 7 milliards qui sont consacrés à un « petit sujet » qu’on appelle la 5G !

On a beaucoup travaillé pour maintenir cet outil industriel tous ensemble. Début mars 2020, on était dans une dynamique de déploiement de 15 000 à 20 000 prises fibre par jour. Pendant le confinement on était à 40-50% de maintien d’activité. 2021 va être l’année de toutes les réussites et va nous permettre de rattraper le retard engendré par le Covid-19 et en gardant un objectif qui est majeur, celui de 2022. L’objectif est 100% de couverture fibre en 2022. La FFTélécoms et ses opérateurs restent persuadés qu’il faut aller sur un déploiement de masse notamment au bénéfice des territoires ruraux, déploiement qui a été un peu décalé dans le temps et qui arrive maintenant.

On sera au rendez-vous, tous opérateurs confondus, des engagements qui ont été pris dans le cadre du New Deal Mobile. Au 24 juillet 2020, on a 81% des 449 sites qui sont en service. Fin septembre, 95% des sites seront ouverts. Il y avait un 2ème volet dans le New Deal Mobile qui était le passage en 4G des anciens sites de zones blanches, là encore on sera au rendez-vous avant le 31 décembre 2020. Les engagements pris sont respectés !

Sur la partie fibre, il y aura du retard. On accélère, on est mobilisé pour rattraper ce retard, mais on fait face, il faut en être conscient à des difficultés majeures notamment à un manque de main d’œuvre qualifiée. Les gestes barrières, qui vont être maintenus pendant des mois, ralentissent la productivité. On estime qu’on a à peu près 30% de baisse de productivité sur nos chantiers, donc il faut en tenir compte aussi.

Replay de l’intervention du Président FFTélécoms Nicolas Guérin à Ruralitic 2020 (début à 50:33) :

Les autres intervenants de la séquence :

  • Étienne Dugas, Président d’Infranum ;
  • Régis Banquet, Président du Syaden, membre de la FNCCR (Fédération nationale des collectivités concédantes et régies) ;
  • Pierre Camani, Secrétaire général de l’AVICCA, Président de Lot-et-Garonne Numérique ;
  • Juliette Jarry, Vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, déléguée aux infrastructures et à l’économie numériques.

EN SAVOIR PLUS SUR LE SITE DE RURALItic

Cette année pour le Prix Télécoms Innovations, la Fédération Française des Télécoms et ses membres, Bouygues Telecom, Euro-Information Telecom, La Poste Mobile, Orange et SFR, ont décidé de récompenser des projets novateurs pour valoriser des initiatives numériques innovantes dans les territoires qui favorisent la transition écologique pour un monde plus responsable et durable.

Vidéo | Appel à projets – Prix Télécoms Innovations 2020 :

Lire la transcription (Word – 140 KB)

La crise pandémique que nous avons vécue a montré que le numérique est désormais un pilier de notre quotidien et qu’il peut être une formidable opportunité pour développer des initiatives solidaires au bénéfice de tous ; initiatives qui nous permettent d’adopter les bons usages dans un contexte où le développement d’une économie durable, fondée sur l’économie circulaire, l’écoconception et les circuits courts est plus que jamais d’actualité.

L’heure n’est plus aux constats, elle est aux solutions !

Cette année pour le Prix Télécoms Innovations, la Fédération Française des Télécoms et ses membres, Bouygues Telecom, Euro-Information Telecom, La Poste Mobile, Orange et SFR, ont décidé de récompenser des projets novateurs pour valoriser des initiatives numériques innovantes dans les territoires qui favorisent la transition écologique pour un monde plus responsable et durable.

Pour cette cinquième édition, les partenaires de la Fédération sont mobilisés pour participer à cet appel à projets : le Ministère de la Transition écologique et solidaire, l’ADEME, l’AFNUM, France Active, SECIMAVI, SOFIES, TECH IN France et 01TV.

Les candidats – entreprises, développeurs, associations, chercheurs ou laboratoires – devront présenter un projet, une solution, un prototype ou un service abouti qui présente une innovation qui valorise les solutions environnementales apportées par le numérique. Chaque candidature contiendra obligatoirement un pitch vidéo de présentation de 3 minutes, une synthèse du projet en 3 500 signes, ainsi qu’un dossier visant à prouver la pertinence du projet et sa pérennité dans le temps.

Les lauréats bénéficieront d’une dotation financière pour poursuivre le développement de leur projet innovant et aussi d’une visibilité accrue auprès de l’ensemble des acteurs de leur écosystème.

La Fédération Française des Télécoms prévoit, comme chaque année, de faire réaliser un sondage par un institut de sondage sur cette thématique du numérique et de l’environnement. Ses résultats seront dévoilés lors de l’événement de la remise des prix et permettront de faire un état des lieux des attentes en la matière.

Les membres de la Fédération Française des Télécoms organisent en effet tous les ans un appel à projets innovants sur des thématiques sociétales majeures, comme l’accès à la culture par le numérique en 2019, l’inclusion numérique en 2018, l’accès des jeunes aux contenus en ligne en 2017 ou encore l’accessibilité en 2016. En tant qu’acteurs numériques responsables, les opérateurs se mobilisent et s’engagent en soutenant des projets innovants pour répondre à des enjeux majeurs de notre société.

#PrixTelecoms

Comment participer ?

Les éditions précédentes :

La Fédération Française des Télécoms et ses partenaires ont déjà récompensé 13 projets innovants :

En 2019, quatre projets innovants sur le thème de l’accès à la culture et au patrimoine par le numérique :

  • Une solution numérique pour valoriser les langues rares et le patrimoine avec le projet CALFA ;
  • Une appli de jeux de piste pour découvrir le patrimoine de façon ludique avec le projet GRANAQUEST ;
  • Un kit d’illumination architecturale mobile permettant de créer des installations artistiques éphémères sur des façades extérieures de bâtiments avec le projet ARBALET FRONTAGE ;
  • Un dispositif sonore pour des visites immersives et créatives avec le projet VOYAGE SONORE 3D.

En 2018, trois projets innovants sur le thème de l’inclusion numérique :

  • Un kit numérique qui recense qui recense l’ensemble des éléments nécessaires à la réalisation des démarches administratives par SIILAB – projet KIND ;
  • Un parcours digitalisé et ludique, associant du jeu vidéo, une application et un système de badge numérique, pour accompagner les personnes éloignées de l’emploi par ID6 – projet PRACTICE 3.0 ;
  • Le premier serious game de l’éducation budgétaire et financière par FACE – projet MONEY DEAL.

 En 2017, trois projets innovants sur le thème des jeunes et de l’accès aux contenus en ligne :

  • Une solution de codage en ligne avec le projet COOD pour LES PETITS CODEURS ;
  • Une solution de médiation avec le projet OPEN LINE ;
  • Une ressource pédagogique de lutte contre les fausses informations avec le projet INFO HUNTER pour TRALALERE.

En 2016, trois projets innovants sur le thème de l’accessibilité des personnes sourdes et malentendantes :

  • Une application « speech-to-text » avec le projet ROGERVOICE ;
  • Une solution d’aide auditive basée sur la reconnaissance vocale avec le projet IVES ;
  • Une solution de détecteur de mouvements 2D/3D pour la traduction de la langue des signes avec le projet SEQUERIS.

Ils nous accompagnent cette année :

Le ministère de la Transition écologique et solidaire met en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du développement durable et de l’environnement (protection et valorisation de la nature et de la biodiversité, développement de la transition énergétique et solidaire, prévention des risques naturels et technologiques, développement des transports propres et de leurs infrastructures, lutte contre la pollution atmosphérique, …)

Il élabore et met en œuvre la politique de lutte contre le réchauffement climatique. Il promeut une gestion durable des ressources rares. Il est chargé de la promotion et du développement de l’économie sociale et solidaire. Il participe à l’élaboration des programmes de recherche, d’enseignement et d’encouragement de l’innovation concernant ses attributions.

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À l’ADEME – l’Agence de la transition écologique -, nous sommes résolument engagés dans la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation des ressources. Sur tous les fronts, nous mobilisons les citoyens, les acteurs économiques et les territoires, leur donnons les moyens de progresser vers une société économe en ressources, plus sobre en carbone, plus juste et harmonieuse. Dans tous les domaines – énergie, air, économie circulaire, gaspillage alimentaire, déchets, sols… – nous conseillons, facilitons et aidons au financement de nombreux projets, de la recherche jusqu’au partage des solutions.

À tous les niveaux, nous mettons nos capacités d’expertise et de prospective au service des politiques publiques. L’ADEME est un établissement public sous la tutelle conjointe du ministère de la Transition écologique et solidaire et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. L’ADEME se doit d’accompagner l’essor du numérique vers la mutualisation, le partage et l’optimisation des ressources et ainsi favoriser une croissance durable et finalement respectueuse de l’environnement. Et ainsi, faire coïncider avec les différents acteurs transition numérique et transition écologique.

Notre participation à l’édition 2020 du Prix Télécoms Innovations de la Fédération Française des Télécoms illustre notre souhait de soutenir et de récompenser les solutions et innovations concourant à accélérer la transition écologique et énergétique.

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L’AFNUM (Alliance Française des Industries du Numérique) représente en France les industriels des réseaux, de l’IT (Technologies de l’Information), des terminaux mobiles, de l’électronique grand public, de la photographie et des objets connectés, avec un poids économique de 20 milliards d’euros.

Nos adhérents sont engagés depuis plusieurs années dans des démarches d’écoconception de leurs produits, d’amélioration en continu de l’efficacité énergétique de ceux-ci, de stratégie d’économie circulaire, et de recyclage au sein de filières performantes. Certains de nos membres ont déjà publiquement annoncé des objectifs de neutralité carbone à horizon 2030 et tous sont activement impliqués dans la réduction de l’empreinte environnementale de leurs activités.

À l’AFNUM, nous sommes persuadés que le numérique offre un potentiel unique de réduction des émissions carbone dans de très nombreux secteurs de l’économie (la Commission européenne estime à 15% la réduction des émissions mondiales potentiellement induite par le numérique). C’est pourquoi, il nous a paru important et parfaitement cohérent avec nos ambitions et nos valeurs de nous associer au Prix Télécoms Innovations 2020, afin d’identifier des projets qui contribuent à limiter les impacts environnementaux en développant de nouveaux usages numériques pour ainsi faire converger encore d’avantage les transitions écologiques et numériques.

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France Active, le mouvement des entrepreneurs engagés.

France Active permet à chaque entrepreneur de s’investir dans un projet porteur d’impact positif. Créer son activité et s’engager sur son territoire, donner du sens à son projet et transformer la société : c’est le pari des entrepreneurs engagés. Au plus près de leurs besoins, France Active et ses 40 associations territoriales les conseillent sur leur projet de financement et leur donnent accès à un réseau unique d’acteurs économiques et sociaux. Avec ses 3 sociétés financières, France Active garantit et finance chaque année les projets de près de 8 000 entrepreneurs.

Le mouvement a mobilisé 367 millions d’euros en 2019 pour plus de 40 000 entreprises en portefeuille. Chaque jour, France Active travaille à développer une économie plus inclusive et plus durable. Les entreprises soutenues par France Active depuis 30 ans créent ou préservent, chaque année, près de 45 000 emplois.

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Organisation professionnelle regroupant les fabricants et importateurs des secteurs de l’électronique grand public et des biens de consommation durable, le SECIMAVI (Syndicat des Entreprises de Commerce International de Matériel Audio, Vidéo et Informatique) rassemble plus de trente entreprises – filiales ou succursales de grands groupes internationaux, importateurs de matériel électronique, ou PME françaises- commercialisant des marques à forte notoriété. Les secteurs d’activité de nos adhérents couvrent l’ensemble des familles de produits de l’électronique grand public : produits informatiques (PCs, tablettes, disques durs), imprimantes, smartphones et téléphones résidentiels, téléviseurs, Home Cinéma, HiFi, audio portable, casques, autoradios, ampoules LED communicantes et électroménager.

Le SECIMAVI représente un chiffre d’affaires de 12 milliards d’euros et 16 300 emplois directs. Il est affilié à la FICIME (Fédération des Entreprises Internationales de l’Électronique et de la Mécanique).

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Sofies est une société internationale de conseil et de gestion de projet en économie circulaire, créée en 2008 à la suite de la combinaison de l’expérience, des compétences techniques et des réseaux de ses partenaires fondateurs.

Fournissant ses services tant aux organisations publiques que privées, Sofies accompagne ses clients et partenaires dans leur chemin vers un développement économique durable. Parmi ses domaines de compétences, Sofies possède une expertise spécifique dans le secteur des équipements électriques et électroniques, et collabore ainsi avec de nombreuses collectivités et pouvoirs publiques à travers le monde pour la mise en place de systèmes de gestion des équipements en fin de vie, des organisations professionnels et diverses multinationales pour les assister à relever les défis de l’économie circulaire, ou encore le secteur du recyclage afin de constamment améliorer ses performances.

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Créée en 2005, TECH IN France est une association professionnelle de loi 1901 qui a pour but de rassembler et de représenter les éditeurs de logiciels, de services internet et de plateformes en France. Porte-parole de l’industrie numérique, TECH IN France compte 400 entreprises adhérentes : de la startup à la multinationale en passant par la PME et les grands groupes français ; soit 8 milliards d’euros et 90 000 emplois. TECH IN France s’est donnée pour mission de mener une réflexion permanente sur l’évolution de l’industrie numérique et de promouvoir l’attractivité du secteur.

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La révolution numérique a profondément modifié les modes d’écoute de la radio et les usages de nos publics. Dans cet univers en pleine mutation, Radio France, en tant qu’acteur majeur de l’audiovisuel public, a pour enjeu de toucher tous les publics, sur l’ensemble du territoire. Avec ses 7 antennes et ses formations musicales, Radio France est pionnière dans le développement de formats innovants et audacieux qui participent de rendre la radio hyper-accessible. Radio France est fière de s’associer à la Fédération Française des Télécoms autour du Prix Télécoms Innovations 2020, appel à projets numériques innovants dans les territoires, qui favorisent la transition écologique et répondent aux enjeux environnementaux.

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01TV est la 1ère chaîne de TV dédiée à 100% aux nouvelles technologies. Disponible sur tous les écrans (smartphone, PC et box opérateurs), 01TV c’est l’actualité de la tech en direct (salons, keynotes, évènements), des tests produit, des tutos, des décryptages. 01TV s’appuie sur l’expertise de la rédaction de 01net.com composée d’une vingtaine de journalistes spécialisés.

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L’opérateur Tofane a rejoint la Fédération Française des Télécoms le 15 avril 2020. Le Conseil d’administration FFTélécoms a statué favorablement sur leur demande d’adhésion.

Il rejoint ainsi les autres membres : Altice-SFR ; Arteria ; Bouygues Telecom ; Colt Technology Services ; Euro-Information Telecom ; Hub One ; IP Directions ; La Poste Mobile ; Legos ; Manifone ; Odigo ; Orange ; Prixtel ; RATP Connect ; Syma ; Verizon et Worldline.

EN SAVOIR PLUS

Y-a-t -il un lien entre le coronavirus et la 5G ?

Non, il n’y a aucun lien entre le coronavirus et la technologie 5G.

Certaines rumeurs liant la 5G au COVID-19 circulent depuis quelques mois sur les réseaux sociaux en liant le déploiement de la 5G en Chine avec l’émergence du COVID-19. Les lanceurs de cette information ne fournissent aucun élément rationnel permettant de justifier leurs allégations. Nous rappelons que les ondes utilisées par la 5G sont de même nature que la 2G, 3G et 4G et celles de TV et radio.

Aucun élément scientifique ne permet d’expliquer pourquoi une maladie biologique pourrait être favorisée par une exposition aux radiofréquences qui existent depuis des décennies.

La survenue du COVID 19 et l’installation de la 5G en Chine est évidemment fortuite et d’ailleurs les maladies virales émergent et se développent depuis des millénaires. Les dernières en date sont le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) en 2003 en Chine, le MERS-CoV (Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient) en 2012 en Arabie saoudite et Ebola (fièvre hémorragiques) en Afrique de l’Ouest en 2013 qui ont affecté diverses populations et se sont développés bien avant l’arrivée de la 5G.

Nous pouvons noter également que la propagation de cette épidémie s’est faite de façon totalement indépendante du développement des réseaux 5G existants et s’est largement répandue dans le monde entier via le développement des transports internationaux, même dans des pays qui ne déploient pas la 5G.

Il est certes compréhensible qu’avec une nouvelle technologie, bien qu’utilisant des ondes connues et étudiées sur le plan sanitaire, une certaine anxiété puisse se faire jour dans la population, cependant cette inquiétude est sans fondement, la totalité des organisations internationales ayant récemment confirmé l’innocuité de la 5G.

Parmi celles-ci citons notamment :

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS)

Dans un Questions / Réponses du 27 février 2020 sur les antennes 5G et la santé, rappelle :

« À ce jour, et après de nombreuses recherches, aucun effet néfaste sur la santé n’a été lié à l’exposition aux technologies sans fil. Les conclusions relatives à la santé sont tirées d’études réalisées sur l’ensemble du spectre radioélectrique mais, jusqu’à présent, seules quelques études ont été réalisées sur les fréquences à utiliser par la 5G… Pour autant que l’exposition globale reste inférieure aux directives internationales, aucune conséquence pour la santé publique n’est attendue ».

Dans sa rubrique « En finir avec les idées reçues », l’OMS a réfuté tout lien entre le COVID-19 et la 5G :

« Les réseaux de téléphonie 5G ne propagent pas le COVID-19 : les virus ne circulent pas sur les ondes radio ou par les réseaux mobiles. Le COVID-19 se propage dans de nombreux pays qui n’ont pas de réseau mobile 5G. »

L’ICNIRP

L’ICNIRP, la Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants, dans son communiqué de presse de mars 2020 sur ses nouvelles lignes directrices sur l’exposition.

La Commission européenne

La Commission européenne a mis en place une plateforme « Fighting desinformation » et répond directement à la question posée :

« L’Union Européenne (UE) a les normes de sécurité les plus élevées au monde. C’est la raison pour laquelle nous pouvons entrer dans un magasin et avoir confiance dans les produits que nous achetons. La 5G est tenue de respecter ces normes incroyablement élevées. En fait, nos normes sont bien supérieures à celles indiquées par les preuves scientifiques internationales – parce que dans l’UE, les gens passent avant tout. Il n’y a aucun lien entre la 5G et la COVID-19. Le coronavirus est un virus qui se transmet d’une personne à l’autre par des gouttelettes que les gens éternuent, toussent ou expirent. La 5G est la nouvelle génération de technologie de réseau mobile qui se transmet par des ondes radio non ionisantes. Rien ne prouve que la 5G est nocive pour la santé des personnes. L’épidémie de coronavirus dans la ville chinoise de Wuhan n’est pas liée à la 5G, et on pense qu’elle a son origine dans un marché de gros de fruits de mer. »

Le Science Media Center

Le « Science Media Center » de Grande-Bretagne cite les experts déclarant que les théories reliant la 5G et le COVID-19 montraient un « manque total de compréhension de la différence entre la cause et la coïncidence »

Ainsi, le professeur Malcolm Sperrin, Directeur du Département de physique médicale et d’ingénierie clinique, de l’Oxford University Hospitals NHS Trust, a déclaré :

“…The supposed correlation between 5G and its development in China reveals a complete lack of understanding of the difference between cause and coincidence.  In the simplest terms there might have been a train leaving Wuhan station during 5G development, but the train departure was not caused by 5G.”

Traduction : « La corrélation supposée entre la 5G et son développement en Chine révèle une incompréhension totale de la différence entre cause et coïncidence.  Dans des termes plus simples, il se peut qu’un train ait quitté la gare de Wuhan pendant le développement de la 5G, mais le départ du train n’a pas été causé par la 5G. »

Le Dr Simon Clarke, professeur associé en microbiologie cellulaire à l’université de Reading, a déclaré :

“The idea that COVID19 is caused by 5G mobile phone signals is complete rubbish. This is a disease which numerous doctors and scientists around the world have said is caused by a virus, something completely different to a mobile phone signal… 5G radio signals are electromagnetic waves, very similar to those already used by mobile phones. Electromagnetic waves are one thing, viruses are another, and you can’t get a virus off a phone mast.”

Traduction : « L’idée que le COVID19 soit causé par les signaux de téléphones mobiles 5G est complètement absurde. C’est une maladie qui, selon de nombreux médecins et scientifiques du monde entier, est causée par un virus, quelque chose de complètement différent d’un signal de téléphone portable… Les signaux radio 5G sont des ondes électromagnétiques, très similaires à celles déjà utilisées par les téléphones portables.  Les ondes électromagnétiques sont une chose, les virus en sont une autre, et vous ne pouvez pas attraper un virus à partir d’un mât de téléphone. »

Adam Finn, professeur de pédiatrie à l’université de Bristol, a déclaré :

“The present epidemic is caused by a virus that is passed from one infected person to another. We know this is true. We even have the virus growing in our lab, obtained from a person with the illness. Viruses and electromagnetic waves that make mobile phones and internet connections work are different things. As different as chalk and cheese. The internet connections these networks give us are one of the most important tools we are using to coordinate our response to the epidemic and efforts to do research to overcome it. Damaging phone masts is like knocking holes in your lifeboats while your ship sinks.”

Traduction : « L’épidémie actuelle est causée par un virus qui se transmet d’une personne infectée à une autre. Nous savons que c’est vrai. Nous avons même le virus qui se développe dans notre laboratoire, obtenu à partir d’une personne atteinte de la maladie. Les virus et les ondes électromagnétiques qui font fonctionner les téléphones portables et les connexions Internet sont deux choses différentes. Aussi différentes que la craie et le fromage. Les connexions internet que ces réseaux nous donnent sont l’un des outils les plus importants que nous utilisons pour coordonner notre réponse à l’épidémie et les efforts de recherche pour la vaincre. Endommager les pylônes téléphoniques, c’est comme faire des trous dans vos canots de sauvetage pendant que votre bateau coule. »

Arthur Dreyfuss, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), est intervenu sur France Info le 1er avril 2020 pour répondre aux questions du journaliste et des auditeurs relatives aux zones blanches.

Extraits :

« Il y a une mobilisation exceptionnelle pendant que l’on se parle : des milliers de techniciens et d’ingénieurs des opérateurs télécoms pour régler les situations compliquées. (…) Que ce soit les équipes techniques ou des services clients d’SFR, Orange ou Bouygues Telecom, nous sommes mobilisés 24h/24 et nous travaillons d’arrache-pied pour s’assurer que les réseaux fonctionnent (…) Nous sommes confrontés parfois à de la lourdeur administrative qui ne nous permettent pas nécessairement de circuler librement. (…) Jamais nous n’avons autant déployé de fibre optique. Jamais nous n’avons autant installé de sites 4G sur le territoire. Cette période nous conforte dans l’idée qu’il faut continuer et qu’il faut accélérer. »

Arthur Dreyfuss, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), est intervenu sur France Inter le 29 mars 2020 dans l’émission « Le Téléphone sonne » avec Cédric O, Secrétaire d’État chargé du Numérique.

Sur les déploiements de la fibre :

« Les opérateurs ont un programme de déploiement sans précédent dans la fibre : 19 000 prises par jour avant le confinement. Aujourd’hui, les difficultés sur le terrain sont nombreuses, notre priorité est de s’assurer que le réseau fonctionne. »

Sur la fracture numérique :

« Il faut déployer les infrastructures numériques, ce que font les opérateurs, mais il faut accompagner l’ensemble des publics dans cette vie numérique pour qu’il n’y ait plus d’exclus du numérique. (…) Les opérateurs proposent des offres 4G fixes éligibles au guichet « Cohésion numérique des territoires » du Gouvernement, dans les zones très mal desservies en internet fixe avec une subvention pour s’équiper. »

Sur la crise actuelle :

« Les opérateurs Orange, Bouygues Telecom, SFR ont adapté certains forfaits et ont tous des initiatives solidaires : par exemple, envoi de plus de 75.000 recharges, 20.000 téléphones et 700.000 Go de data à des publics démunis. »

Sur l’environnement :

« Le voyage, le transport… Le numérique permet des économies d’énergies fondamentales durant cette crise exceptionnelle. Les opérateurs sont extrêmement précautionneux sur ces questions-là. »

Replay de l’émission

Face à la crise sanitaire sans précédent que connaît notre pays, des millions de Français sont contraints à rester chez eux pour une durée indéterminée.

Le télétravail a été multiplié par 7 ces derniers jours. Le trafic voix par 2 et par 3 à certains moments de la journée. Avec le confinement, nous pouvons communiquer avec l’extérieur, nos collègues, nos professeurs, nos proches grâce aux outils numériques, smartphone, téléphone, ordinateur… Les opérateurs télécoms qui installent, maintiennent, nos infrastructures ont un rôle essentiel au bon fonctionnement du pays et de l’économie.

Le Ministre en charge du Numérique Cédric O l’a souligné lors d’un message sur Twitter le 18 mars :

« En ces heures où nous suivons avec une grande vigilance la situation des réseaux télécoms, je veux dire ma reconnaissance à l’ensemble des équipes des opérateurs qui en assurent la maintenance dans des conditions difficiles. Grâce à eux cette infrastructure essentielle fonctionne. »

Arthur Dreyfuss, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), rappelle que :

« Plus de 15 000 techniciens et ingénieurs s’activent durant cette période inédite pour veiller au bon fonctionnement des réseaux (…) L’ensemble des opérateurs français restent en permanence en lien avec les pouvoirs publics pour nous assurer que tout cela fonctionne bien. »

Mais dans cette période exceptionnelle, chaque Français doit faire preuve de civisme numérique.

Adoptons ensemble les bons réflexes sur Internet pour permettre à tous de continuer à communiquer, travailler, étudier et s’informer, notamment en suivant nos recommandations suivantes :

  • Privilégiez les réseaux fixes et le Wi-Fi, pour la voix et la data – #TousEnWifi ;
  • Optez pour la qualité « SD » pour tous les contenus vidéos (par exemple : sur YouTube, dans les paramètres, passez de la qualité 1080p à 480p) ;
  • Choisissez les heures creuses de la nuit pour les téléchargements volumineux (films, mises à jour).

Vidéo | #SolidaritéNumérique · Adoptons les bons réflexes sur Internet :

Transcription de la vidéo (MS Word, 139 KB)

Document | Mon mobile Ma santé – Brochure 2020 :

https://www.slideshare.net/fftelecoms/mon-mobile-masantefftelecoms2020/fftelecoms/mon-mobile-masantefftelecoms2020

Principaux faits :

L’usage du téléphone portable est généralisé et on estime à 7,7 milliards le nombre des abonnés dans le monde.

Les champs électromagnétiques produits par les téléphones portables sont classés par le Centre international de Recherche sur le Cancer dans la catégorie des cancérogènes possibles pour l’Homme.

Des études visant à évaluer plus complètement les effets potentiels à long terme de l’utilisation des téléphones portables sont toujours en cours.

L’OMS procède régulièrement à une évaluation formelle du risque pour tous les effets sur la santé dus à une exposition à des champs de radiofréquences.

Que dit l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ? Y-a-t-il des effets sur la santé ?

Un grand nombre d’études a été mené au cours des deux dernières décennies pour déterminer si les téléphones portables représentent un risque potentiel pour la santé. À ce jour, il n’a jamais été établi que le téléphone portable puisse être à l’origine d’un effet nocif pour la santé.

Aide-mémoire n°193 de l’OMS sur le téléphone mobile, octobre 2014 dont sont extraites ces citations.

En France, que disent l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES) et le ministère de la Santé ?

« L’ANSES souligne dans un avis du 21 octobre 2019 que certains éléments d’expertise, bien que limités, mettent en évidence des effets biologiques sur l’activité cérébrale en cas d’exposition à un niveau de DAS [Débit d’Absorption Spécifique] supérieur à 2 W/kg. Ils ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets sur d’autres fonctions biologiques spécifiquement associées à de telles expositions au niveau du tronc. »

Communiqué du ministère de la Santé du 19 novembre 2019.

« Les travaux d’expertise menés par l’Agence sur la base des données actuelles issues de la littérature scientifique internationale ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets des radiofréquences chez l’enfant sur le comportement, les fonctions auditives, le développement, le système reproducteur mâle et femelle, le système immunitaire et la toxicité systémique, ni d’effets cancérogènes ou tératogènes. En revanche, l’Agence conclut à un effet possible de l’exposition aux radiofréquences sur le bien-être des enfants et leurs fonctions cognitives (mémoire, fonctions exécutives, attention). Les effets observés sur le bien-être pourraient toutefois davantage être liés à l’usage des téléphones mobiles plutôt qu’aux radiofréquences qu’ils émettent. »

Communiqué de l’ANSES du 8 juillet 2016 sur l’exposition des enfants aux radiofréquences.

« L’évaluation des risques liés à l’exposition aux radiofréquences ne met pas en évidence d’effet sanitaire avéré et ne conduit pas à proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition de la population. Elle pointe toutefois, avec des niveaux de preuve limités, différents effets biologiques chez l’Homme ou chez l’animal. Par ailleurs, certaines publications évoquent une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables. Compte tenu de ces éléments, dans un contexte de développement rapide des technologies et des usages, l’ANSES recommande de limiter les expositions de la population aux radiofréquences en particulier des téléphones mobiles, notamment pour les enfants et les utilisateurs intensifs, et de maîtriser l’exposition générale résultant des antennes-relais. »

Communiqué de l’ANSES relatif à son avis du 15 octobre 2013 sur les radiofréquences.

Réglementation – Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique).

Il quantifie le niveau d’exposition maximal aux ondes radio quand l’appareil fonctionne à puissance maximale et s’exprime en watts par kg. Trois types de DAS sont définis :

  • le « DAS tête » qui reflète l’usage du téléphone à l’oreille, en conversation ;
  • le « DAS tronc » associé aux usages d’un téléphone, d’une tablette … qui sont portés près du tronc ;
  • le « DAS membre » qui correspond à un usage d’un téléphone, d’une tablette, d’une montre connectée plaqués contre un membre, comme par exemple lorsqu’ils sont tenus à la main, portés dans un brassard, sur le bras ou dans la poche d’un pantalon.

En Europe, 2 W/kg est la limite de DAS qui ne doit jamais être dépassée pour l’exposition aux ondes radio de la tête et du tronc et 4W/kg pour les membres.

En France, tous les mobiles commercialisés ont ainsi l’obligation réglementaire d’avoir des DAS inférieurs à 2 W/kg pour la tête et tronc et 4W/kg (arrêté du 8 octobre 2003 tel que modifié par l’arrêté du 15 novembre 2019 « fixant les spécifications techniques applicables aux équipements radioélectriques »).

Ces limites de 2 W/kg et 4W/kg, recommandées par l’OMS, ont été confirmées par l’ANSES dans son avis d’octobre 2013 sur les radiofréquences.

Ces DAS figurent sur différents supports et en boutique (notice du fabricant, catalogue commercial, sur toutes publicités de ces équipements, sites web…), ainsi que sur l’application Open Barres de l’ANFR pour les mobiles Android.

En termes d’exposition aux ondes radio, les terminaux pour la 5G sont soumis aux mêmes limites réglementaires de DAS que les terminaux pour les précédentes technologies (2G, 3G et 4G).

Mise à jour 02/07/2020 | Équipements radioélectriques : à partir du 1er juillet 2020, l’affichage du DAS est renforcé pour une meilleure information du public.

En savoir plus sur le site de l’ANFR

Recommandations – Ce que vous pouvez faire pour limiter l’exposition aux ondes radio émises par le téléphone mobile.

Utilisez un kit oreillette (ou kit piéton) pendant les appels téléphoniques.

Vous réduisez votre exposition dès que vous éloignez le mobile de votre corps (tête et tronc). Téléphoner avec un kit oreillette permet ainsi de diviser l’exposition au téléphone mobile d’un facteur allant jusqu’à 400. Ce conseil vaut particulièrement pour les utilisateurs les plus intensifs. Il est conseillé aux femmes enceintes qui utilisent un kit oreillette d’éloigner le mobile du ventre et aux adolescents de l’éloigner du bas ventre. Il convient également de respecter les conditions d’usage qui sont fixées par le fabricant dans la notice de l’appareil. Celle-ci peut indiquer une distance à maintenir entre le tronc et le mobile en communication.

Téléphonez de préférence dans les zones où la réception radio est de bonne qualité.

Votre mobile ajuste automatiquement sa puissance d’émission en fonction des signaux radio qu’il reçoit du réseau de votre opérateur. Quand la réception radio est de bonne qualité (4 ou 5 barrettes sur l’écran de votre téléphone), votre mobile émet plus faiblement – ce qui réduit d’autant votre exposition aux ondes radio.

Incitez vos enfants et adolescents à faire une utilisation modérée et raisonnée du téléphone mobile si vous décidez de les équiper

Veillez également à les informer des moyens permettant de réduire l’exposition quand ils communiquent avec leur mobile. Si des effets sanitaires étaient mis en évidence, les enfants et adolescents pourraient être plus sensibles, étant donné que leur organisme est en cours de développement. Les inciter à un usage raisonné du téléphone mobile, par exemple, en évitant les communications nocturnes et en limitant la fréquence et la durée des appels.

À savoir en plus sur l’exposition aux ondes radio.

Lors du choix de votre terminal, consultez la valeur et les mentions relatives au DAS mises à disposition. L’ANSES recommande, de « privilégier l’acquisition de téléphones affichant les DAS les plus faibles » (communiqué du 15 octobre 2013).

Quand j’envoie un SMS, un e-mail ou surfe sur Internet, mon exposition aux ondes radio est bien plus faible qu’avec le téléphone à l’oreille. En effet, ces usages nécessitent que l’on regarde l’écran du téléphone mobile et par conséquent que l’on tienne le mobile éloigné de sa tête et de son tronc – ce qui réduit l’exposition par rapport à un téléphone tenu contre l’oreille.

Quelle efficacité pour les dispositifs « anti-ondes » ? Dans son rapport 2013, l’ANSES indique que l’étude « conduite sur 13 dispositifs et 3 téléphones mobiles GSM900 et 1800 MHz ne montre aucun effet probant de ces dispositifs sans une altération des performances du téléphone mobile. » La Direction Générale de la Concurrence, de la consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) à la suite de son enquête de 2015 sur les conditions de commercialisation des dispositifs « anti-ondes » pour les téléphones mobiles, précise que la plupart des argumentaires pour vendre ces produits sont sans fondement, basés sur des études « non reconnues officiellement » et usent d’un vocabulaire « fantaisiste ou entièrement inventé ».

Sécurité et restrictions d’usage.

Comme tous les appareils électriques, n’utilisez pas votre smartphone branché au secteur dans votre bain, ou dans un milieu humide.

Respectez les restrictions d’usage spécifiques à certains lieux (hôpital, avion, station- service, établissements scolaires …). Respectez les consignes de sécurité propres à certains lieux et éteigniez votre téléphone mobile chaque fois que cela vous est demandé.

N’utilisez pas votre mobile en conduisant. Utiliser un mobile en conduisant, avec ou sans kit mains-libres, constitue un réel facteur d’accident grave et est passible de sanctions pénales.

N’écoutez pas de la musique avec votre téléphone mobile à un niveau sonore élevé pendant une longue durée. Cela peut dégrader l’audition de façon irrémédiable.

Si vous portez un implant électronique (pacemaker, pompe à insuline, neuro-stimulateur…), éloignez le téléphone mobile d’au moins 15 cm de cet implant et utilisez le téléphone mobile uniquement du côté opposé à celui de l’implant. Il vous est recommandé de parler de ce sujet avec votre médecin car celui-ci connaît les caractéristiques de votre appareil médical.

Consultez la notice d’emploi élaborée par le fabricant.

Pour en savoir plus :

La Fédération Française des Télécoms est une association, régie par la loi de 1901, qui a pour objet de promouvoir le développement durable et responsable du secteur des communications électroniques et des entreprises qui le composent, en favorisant l’innovation, l’emploi et la qualité du service rendue aux utilisateurs.

Fédération Française des Télécoms
11-17 rue de l’Amiral Hamelin
75116 Paris

Membres de la FFTélécoms : Altice-SFR ; Arteria ; Bouygues Telecom ; Colt Technology Services ; Euro-Information Telecom ; Hub One ; IP Directions ; La Poste Mobile ; Legos ; Manifone ; Odigo ; Orange ; Prixtel ; RATP Connect ; Syma ; Verizon France ; Worldline.

Conception, réalisation : Cithéa. – www.cithea.com.

Délivré par l’association BrailleNet et valable pour une durée de deux ans (jusqu’en février 2022), ce label atteste que notre site est conforme aux critères d’accessibilité.

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) s’est mobilisée pour concevoir un site internet accessible et responsive. L’ambition est d’offrir un maximum de confort de consultation à tous les publics et dans toutes les situations. Le label Argent compte 102 critères dans 13 thématiques (navigation, structuration, images, liens…). Il s’agit d’une étape supplémentaire dans l’ambition portée par la Fédération de rendre les contenus numériques accessibles au plus grand nombre. Cette démarche avait été initiée avec le sous-titrage des vidéos de la Fédération et s’est poursuivie avec la production de fiches pratiques sur les télécoms en FALC (Facile À Lire et à Comprendre).

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