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Pierre Louette, Président de la Fédération Française des Télécoms, est intervenu mercredi 22 novembre 2017 au 100e Congrès de l’Association des Maires des France (AMF) lors de l’atelier « Très Haut débit fixe et mobile : un déploiement urgent pour tous les territoires »

Il est intervenu aux côtés de Julien Denormandie, Secrétaire d’État auprès du Ministre de la Cohésion des territoires, Didier Casas, Directeur général adjoint de Bouygues Telecom, Lionel Recorbet, Président directeur général de SFR Collectivités et Maxime Lombardini, directeur général d’Illiad.

Il a rappelé les enjeux cruciaux des opérateurs lors de l’atelier consacré à la transition numérique et sur le « devenir de l’aménagement numérique du territoire ».

Pierre Louette, Président de la Fédération Français des Télécoms, est intervenu jeudi 19 octobre dernier au 87e congrès de l’Assemblée des départements de France (ADF). Il a rappelé les enjeux cruciaux des opérateurs lors de l’atelier consacré à la transition numérique et sur le « devenir de l’aménagement numérique du territoire ».

 

 

À l’occasion du 33ème congrès de l’Association Nationale des Élus de la Montagne (ANEM) à Forcalquier, Michel Combot, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), a dressé le bilan d’un an de déploiement en montagne.

Les engagements ambitieux de couverture pris, fin 2016, par les opérateurs en faveur des territoires de montagne ont été honorés dans un esprit de responsabilité et de transparence vis-à-vis des élus. Ainsi, au 30 septembre 2017, 3 291 communes du programme  »Zones blanches – centres-bourgs » bénéficiaient de la 3G mutualisée dont 1 257 communes de montagne.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE (PDF)

Vidéo | Bilan 1 an de déploiement en montagne :

Vidéo | Paroles d’élus :

Vidéo | Paroles de citoyens :

Vidéo | Paroles d’opérateurs :

Appel à projets « Jeunes publics et accès aux contenus en ligne » par la Fédération, l’AFNUM, Google, l’Etudiant et TECH IN France. Découvrez également notre sondage Harris Interactive !

Vidéo :

C’est au Hasard Ludique, dans le 17e arrondissement de Paris, que les six projets retenus dans le cadre de l’appel à projets ont été présentés devant le jury de professionnels.

Après les présentations orales des candidats, trois lauréats ont été sélectionnés par le jury : Cood, Tralalere et l’Observatoire de la Parentalité & de l’Éducation Numérique.

Ces lauréats ont reçu un trophée et une dotation d’une valeur de 10 000 euros chacun.

Document | Communiqué de presse :

Les six projets retenus sont : 

  • Cood
  • Génération Numérique
  • Kiibox, par Kiiway
  • OPEN, par l’Observatoire de la Parentalité & de l’Éducation Numérique
  • Picpurify
  • Stop l’intox, par Tralalere

Le jury est composé de professionnels des télécoms, du numérique et de médias spécialisés.

Quels sont les dossiers attendus dans le cadre de cet appel à projets ?

  • une solution innovante de gestion du contrôle d’accès ou de la consommation.
  • une initiative, un projet d’accompagnement ou d’éducation des mineurs ou de leurs parents aux contenus en ligne.
  • une action favorisant une consommation numérique responsable.

Quels sont les critères de sélection ?

L’adéquation aux objectifs, la pertinence technologique et industrielle, l’adéquation aux attentes, usages et goûts du public jeune, l’impact social et la pérennité du projet. Les candidats – entreprises, associations, chercheurs ou laboratoires – devaient présenter un projet lié à l’usage responsable et raisonné des communications électroniques pour les publics jeunes (moins de 18 ans).

Que fait la Fédération Française des Télécoms sur cette thématique ?

La Fédération travaille sur la thématique des « jeunes et l’accès aux contenus sur internet » au sein de plusieurs groupes de travail. Elle mène des actions de sensibilisation sur la thématique du cyberharcèlement et de la protection des jeunes publics sur le terrain, dans des collèges : à Évreux, avec le département des Alpes-Maritimes, dans l’Yonne…

En 2017, elle a publié un guide à destination des parents et du monde éducatif, associatif « Internet : comment protéger et accompagner votre enfant », disponible également gratuitement en ligne.

En 2016, la Fédération Française des Télécoms et ses partenaires avaient récompensé trois sociétés RogerVoice, Ivès et Sequeris sur le thème de l’accessibilité des communications électroniques pour les personnes sourdes et malentendantes.

  • Rogervoice, application « speech-to-text », a conclu des partenariats de distribution et commerciaux avec plusieurs opérateurs, procédé à une levée de fonds et recruté des salariés.
  • Ivès, fournisseur de solutions d’aide auditive basées sur la reconnaissance vocale, a ouvert un centre au Canada en septembre 2016.
  • Sequeris, développeur de technologies de détection de mouvements 2D/3D pour la traduction de la langue des signes, a étendu son offre, avec notamment une solution de contrôle gestuel des box TV

Document | Dossier de presse :

La Fédération Française des Télécoms vous propose un guide complet pour mieux recycler votre mobile :

Document | Guide « Rapporter son mobile » :


Trop de mobiles dans les tiroirs

Nous avons tous des mobiles usagés qui traînent dans nos tiroirs !

Chaque année, environ 20 millions de mobiles neufs sont vendus, dont moins de la moitié par les opérateurs télécoms. Or, plus d’un million et demi de mobiles seulement (1 524 463 en 2017) ont pu être collectés par les trois grands opérateurs membres de la Fédération en 2017. Pour faire augmenter ce chiffre, chacun de nous peut agir.

On a presque tous un mobile dans notre poche…

92% des français de plus de 12 ans sont désormais équipés d’un téléphone mobile, selon l’Arcep.

Les Français remplacent en moyenne leur téléphone mobile tous les trois ans. 84% des téléphones vendus étant désormais des smartphones, plus coûteux et moins subventionnés, on observe une tendance à l’allongement de la durée de vie des téléphones mobiles.

…mais aussi dans nos tiroirs !

Mais que faisons-nous de notre ancien mobile lorsque nous en changeons ? Nous sommes près de la moitié (41 %) à garder des mobiles inutilisés à la maison. Seul 9 % déclarent l’avoir trié ou recyclé et 22% l’ont donné à un proche.

Il y a pourtant des solutions

Le nombre de mobiles collectés par les opérateurs membres de la Fédération continue d’augmenter chaque année. Cette augmentation s’explique par une communication renforcée sur le sujet, mais aussi par la généralisation des contreparties financières accordées aux consommateurs, qui sont les véritables avancées de ces deux dernières années.

Pour continuer à augmenter cette collecte, nous avons tous un rôle à jouer. Parce que rapporter son mobile, c’est un geste qui rapporte à tous et à chacun.

Rapporter son mobile, un geste pour l’environnement

Votre mobile est au fond du tiroir parce qu’il est hors d’usage

Vous avez quelque part chez vous un mobile qui ne fonctionne pas, une batterie hors d’usage, des accessoires qui ne sont plus compatibles avec votre nouveau mobile, … Bref, comme beaucoup d’entre nous, vous avez du matériel de téléphonie dont vous ne savez que faire.
Rapportez-le à votre opérateur car ce matériel peut encore servir, même en fin de vie, s’il est recyclé !

Votre mobile est une mine de matières premières car il est recyclable à 85%

Un mobile et ses accessoires sont constitués de 500 à 1000 pièces plastiques et métalliques différentes. Toutes proviennent de ressources non renouvelables comme par exemple le pétrole, le nickel, le zinc, le cuivre. On y trouve également d’infimes quantités de platine, d’or ou d’argent. En recyclant un mobile qui ne fonctionne plus, on préserve des ressources naturelles de la planète.

Si vous rapportez votre mobile, quels que soient les matériaux qu’il contient, ils sont réutilisés après une phase coûteuse de tri, de démantèlement et de traitement : soit par une valorisation énergétique sous forme de combustible, soit par une valorisation des matières premières (fer, cuivre, or, nickel…) qui sont remis sur le marché des matériaux.

Rapporter son mobile chez son opérateur, une garantie pour le traitement des déchets

Les opérateurs récupèrent et garantissent la fin de vie des mobiles et de leurs accessoires. Lorsque les mobiles ne sont plus en état de fonctionnement, ils sont transmis aux éco-organismes qui gèrent leur fin de vie en garantissant  leur recyclage et leur valorisation dans le respect de la réglementation environnementale. Même si tous les opérateurs engagés dans ce dispositif ne sont pas signataires de la Charte de la Fédération de Réemploi des téléphones mobiles, établie en 2010 en partenariat avec ecosystem et le ministère de la Transition écologique, ils en respectent tous les conditions.

  • Plastique, principalement dans son boitier ;
  • Verre pour l’écran ;
  • Argent et or ;
  • Plomb ;
  • Mercure et cadmium, qui entrent dans la composition  des circuits électroniques ;
  • Cuivre, cobalt, dérivés du fer, nickel, des métaux communs que l’on trouve dans les câbles, les circuits électroniques et les batteries.

Rapporter son mobile, un geste pour tous

Votre mobile est au fond d’un tiroir alors qu’il fonctionne encore

Vous ne savez pas quoi faire de votre ancien mobile, vous ne saviez pas qu’il pouvait valoir de l’argent, vous comptiez le revendre ? Dans tous les cas, ayez le réflexe de rapporter vos mobiles usagés chez votre opérateur via les différents canaux qu’il vous propose (point de vente, site internet…). Dans certains cas, votre mobile inutilisé peut vous rapporter ou servir à quelqu’un qui en a besoin en France ou dans un pays en voie de développement.

Revendre son mobile, un geste pour vous

Vous ne le saviez peut-être pas mais les opérateurs membres de la Fédération Française des Télécoms proposent de reprendre vos anciens mobiles (en fonction du modèle et de l’état du mobile) avec une contrepartie financière. Vous pourrez trouver sur leurs sites Internet toutes les informations sur les offres de reprise.

Le saviez-vous ?

Certains opérateurs proposent également de reverser tout ou partie du montant correspondant à la valeur de votre ancien mobile à une ou plusieurs associations.

Donner son mobile, un geste pour tous

En rapportant votre mobile (et ses accessoires) chez votre opérateur avec ou sans contrepartie financière, vous favorisez également la création d’emplois dans le secteur protégé. En effet, les opérateurs membres de la Fédération Française des Télécoms collectent puis dirigent les mobiles vers des acteurs issus de l’économie sociale et solidaire : ESAT (Établissement et Services d’Aide par le Travail) ou entreprises d’insertion comme les Ateliers du Bocage (réseau solidaire d’Emmaüs France).

Rapporter son mobile chez un opérateur membre de la Fédération permet de maintenir ou de créer des emplois dans le secteur protégé ou celui de l’insertion. Ce sont ces organismes qui trient, réparent, reconditionnent les appareils. Ils effacent également toutes les données personnelles et changent les batteries. Les mobiles sont ensuite revendus sur le marché de l’occasion en France ou dans les pays où la téléphonie mobile peut être un accélérateur de développement ou bien donnés à des associations caritatives.

Où rapporter son mobile

Rapporter son mobile chez son opérateur, c’est la garantie…

  • D’une démarche solidaire, car les mobiles usagés rapportés sans contrepartie financière sont traités par des entreprises du secteur protégé ou d’insertion.
  • D’un geste généreux, si vous décidez de reverser le montant de votre mobile à une association comme le proposent certains des opérateurs.
  • De faire bénéficier d’un reversement systématique des associations, comme le proposent certains opérateurs.
  • D’un recyclage respectueux, du traitement des déchets, en accord avec la réglementation en vigueur, qui composent votre mobile.

Mais c’est aussi l’assurance…

  • Que vos données personnelles soient effacées, toutes les données des mobiles collectés sont systématiquement effacées. Aussi, avant de le rendre, n’hésitez pas à demander à votre opérateur de vous aider à faire la sauvegarde de vos données personnelles ainsi que leur transfert vers votre nouveau mobile.
  • D’un service assuré, les opérateurs ont pris des engagements pour collecter vos anciens mobiles quel que soit le modèle ou la date d’achat.

J’utilise les antivols de mon mobile

L’antivol » de votre mobile : c’est le numéro IMEI de votre mobile

Pour connaître votre n° IMEI, il vous suffit de taper sur le clavier de votre téléphone le code suivant :  *#06#

Le numéro IMEI est également inscrit sous la batterie et sur l’étiquette du coffret d’emballage et sur la facture d’achat de votre téléphone.

Notez-le et conservez-le dans vos affaires personnelles ou dans votre boîte mail personnelle. En cas de vol, ce numéro vous permettra de faire bloquer votre mobile volé.

« L’antivol  » de votre ligne : c’est le code PIN

Personnalisez le code de votre mobile (code PIN) dès sa première utilisation.

Laissez toujours active la protection par le code PIN. Il vous sera demandé chaque fois que vous allumerez votre mobile.

J’évite de tenter les voleurs

  • Au café ou au restaurant, ne posez pas votre mobile sur la table ou sur le siège ;
  • En voiture, ne laissez pas votre mobile à la vue de tous sur un siège ou sur le tableau de bord ;
  • Dans la rue ou dans un lieu public, utilisez votre mobile discrètement et ne le tenez pas à la main lorsque vous ne l’utilisez pas. Ne mettez pas votre mobile dans la poche extérieure d’un vêtement ou d’un sac. N’accrochez pas non plus votre mobile à l’arrière de votre ceinture ;
  • Ne prêtez pas votre mobile à un inconnu. En cas d’urgence, composez vous-même le numéro des secours : le 112 ;
  • Méfiez-vous des pickpockets dans les transports en commun, les files d’attente, les magasins, particulièrement lors de bousculades et de mouvements de foule.

En cas de vol

Appelez immédiatement le service client de votre opérateur. Il suspendra votre ligne et bloquera votre téléphone volé après réception du PV police.

Portez plainte au service de police ou de gendarmerie le plus proche en indiquant à celui-ci le numéro IMEI (disponible en tapant *#06# sur votre clavier) de votre mobile volé. Les forces de l’ordre se chargeront d’envoyer une copie du procès-verbal de la plainte au service client de votre opérateur afin de procéder au blocage de votre mobile. Celui-ci sera effectif sur l’ensemble du territoire français quelque soit votre opérateur.

Si vous avez souscrit à une assurance, faites le plus rapidement possible une déclaration de vol à votre assureur.

Que faire de mon ancien mobile

Il existe plusieurs solutions pour recycler votre ancien mobile, cliquez sur le lien suivant pour les découvrir :

Voir les solutions pour recycler mon ancien mobile

SPAM, SMS publicitaires, harcèlement téléphonique, hameçonnage… nous pouvons tous être confrontés à ces techniques nuisibles. Des solutions existent, suivez les conseils de la Fédération Française des Télécoms.

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Le SPAM, c’est quoi ?

Le spam consiste en l’envoi, généralement en grandes quantités, de courriers électroniques vers des destinataires choisis au hasard. Souvent généré par des robots, le spam a généralement un objectif publicitaire. Il n’est pas rare que ces messages publicitaires soient à caractère pornographique et / ou fasse la promotion de services de prostitution.

Il se peut que l’adresse figurant dans le champ « A : » (destinataire) du mail que vous avez reçu ne soit pas la vôtre.

Ce que vous pouvez faire

▪ Utilisez le filtre anti-spam proposé par la majorité des outils de gestion de mail mis à disposition par votre opérateur,

▪ Signalez ces spams sur la plateforme dédiée signal-spam.fr.

 

 
*Autres cas possibles : avis de non remise, filtrages d’antivirus ou mailer-daemon

De quoi s’agit-il ?

Votre adresse e-mail est certainement usurpée, c’est-à-dire qu’une machine se fait passer pour votre boîte mail. Cela ne signifie pas pour autant que votre mail a été piraté mais simplement qu’une machine cache sa véritable adresse e-mail en utilisant la vôtre.

Ce que vous pouvez faire

▪ Utilisez un antivirus fiable et reconnu pour nettoyer votre ordinateur,

▪ N’ouvrez pas les pièces jointes à un mail dont vous ne connaissez pas l’expéditeur,

▪ Par sécurité, vous pouvez modifier le mot de passe de votre messagerie (pensez aussi aux messageries que vous avez éventuellement indiquées pour récupération lors de votre inscription),

▪ Connectez-vous sur le site ripe.net : saisissez l’adresse IP que vous avez trouvé dans l’en-tête du message usurpant votre adresse e-mail dans le champ « Search for » puis cliquez sur « Search » ; une adresse e-mail vous sera fournie correspondant au service « Abuse » compétent auquel vous pourrez adresser votre demande (voir exemple ci-dessous).

Exemple d’e-mail à adresser au service « Abuse » concerné

1. Faites un copier-coller du texte complet du message usurpant votre adresse e-mail avec ses en-têtes,

2. Attention : ne faites pas de transfert du mail original, n’envoyez pas le message en pièce jointe, ne mettez pas d’images ni de HTML,

3. Le service « Abuse » concerné est celui de l’expéditeur du message, pas celui du destinataire qui a refusé la réception.

Français : « À l’attention du service « Abuse » : vous trouverez ci-dessous la copie d’un mail et son en-tête complet reçu à mon adresse, qui ne semble pas respecter les principes de la Nétiquette. Je vous remercie d’entreprendre les démarches nécessaires vis à vis de votre client, afin que je ne reçoive plus de sa part de mails non-sollicités. Cordialement, [Signature] »

Anglais : « To whom it may concern : following is a copy of an e-mail (with complete routing headers) sent to one of my e-mail address that I believe is in direct violation of internet acceptable use policy. I would therefore request that you either inform your user/customer to stop sending me unsollicited email and that you take whatever measures are necessary to prevent its reoccurrence, or else terminate the account in question for reasons of « Abuse ». Thank you for your kind attention in this matter. Sincerely, [Signature] « 

 

De quoi s’agit-il ?

Ces messages qui usurpent l’identité visuelle d’entreprises connues (banque, opérateur, fournisseur d’énergie…) ou d’administrations (Caisse d’Assurance Maladie, Impôts…) vous demandent généralement de confirmer un mot de passe, un identifiant, des coordonnées postales ou bancaires. Ces escroqueries sont appelées phishing ou hameçonage. Elles vous promettent en général un remboursement de trop perçu ou vous menacent d’interruption de service si vous ne répondez pas.

Ce que vous devez faire

▪ En règle générale, vous référer aux 5 conseils de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI),

▪ Ne répondez jamais directement à des demandes d’informations confidentielles,

▪ Signalez l’e-mail sur le site signal-spam.fr.

Si vous avez été victime d’un hameçonnage et avez communiqué vos informations personnelles

▪ Contactez au plus vite votre organisme bancaire pour leur signaler la fraude,

▪ N’hésitez pas à porter plainte auprès des autorités compétentes (Police ou Gendarmerie).

 

 

De quoi s’agit-il ?

Il s’agit de spam téléphonique (spam vocal / spam SMS) qui vise à vous faire rappeler des services payants. Les opérateurs sont, avec l’Association Française du Multimédia Mobile (AFMM), engagés dans la lutte contre ces pratiques frauduleuses.

Ce que vous pouvez faire

▪ Ne jamais rappeler un correspondant ou un numéro que vous ne connaissez pas, qui ne laisse pas de message sur votre répondeur ou qui n’a pas exposé clairement l’objet de son appel,

▪ Signalez le numéro sur la plateforme dédiée 33700.fr.

 

 

Messages malveillants, menaces, propos obscènes, insultes de la part de personnes que vous connaissez ou non… pas de doute : il s’agit de harcèlement.

Ce que vous pouvez faire

Signalez les messages incriminés sur les plateformes par lesquelles les messages ont été émis ou rendez-vous au commissariat ou en gendarmerie pour porter plainte contre le ou les auteurs s’ils sont connus ou « contre X » si vous ne le(s) connaissez pas.

 

 

De quoi s’agit-il ?

Vous êtes ici victime d’un ransomware ou rançongiciel en français. L’objectif est de vous extorquer une somme d’argent, à payer de plus en plus souvent par monnaie virtuelle. En général, un ransomware s’infiltre dans votre ordinateur au travers d’une pièce jointe à un mail et vous ne pouvez plus accéder à votre ordinateur.

Ce que vous devez faire

▪ Ne surtout rien payer et ne communiquer vos coordonnées bancaires à personne,

▪ N’ouvrez pas les pièces jointes à des mails dont vous ne connaissez par l’expéditeur ou dont l’objet ou le contenu vous semblent étranges ou suspects,

▪ Maintenez le système d’exploitation de votre ordinateur à jour,

▪ Utilisez un antivirus pour nettoyer régulièrement votre ordinateur,

▪ Utilisez le filtre anti-spam proposé par la majorité des outils de gestion de mail mis à disposition par votre opérateur,

▪ Faites des sauvegardes régulières de votre ordinateur afin de pouvoir le restaurer en cas de problème,

▪ Vérifiez sur la base de données nomoreransom.org mise en place par Europol et des acteurs privés de la sécurité si la clé de déchiffrement est disponible.

 

 

La sécurité numérique est un sujet d’importance majeure, du fait de la numérisation croissante des échanges et des usages. Le numérique touche désormais tous les aspects de la vie quotidienne et des personnes mal intentionnées peuvent tenter d’en tirer profit. De nombreux acteurs, dont la Fédération Française des Télécoms, sont là pour vous aider.

▪ Consultez les fiches pédagogiques de la Fédération sur le spam, les spambots, le phishing, les appels et SMS non sollicités, le cyberharcèlement ou les rançongiciels,

▪ Consultez le site cybermalveillance.gouv.fr**, programme gouvernemental assumant un rôle de sensibilisation, de prévention et de soutien en matière de sécurité du numérique auprès de la population française ; il vous accompagnera pour établir un diagnostic, vous donnera des conseils pratiques et vous orientera vers des spécialistes,

▪ Tenez-vous au courant de l’actualité de la cybersécurité via le site de l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information).

**Cybermalveillance.gouv.fr est animé par le groupement d’intérêt public (GIP) Action contre la cybermalveillance (ACYMA) dont la Fédération Française des Télécoms est membre.

La Ville de Paris et les opérateurs Bouygues Telecom, Free Mobile, Orange et SFR ont signé le 30 mars 2017 une nouvelle charte d’engagements réciproques relative à la téléphonie mobile.

Fruit d’un travail de concertation de plusieurs mois coordonné par la Fédération, cette charte concilie la maîtrise de l’exposition aux champs électromagnétiques avec le renforcement nécessaire des réseaux mobiles sur Paris, qui s’explique par l’augmentation exponentielle des usages en mobilité.

Les opérateurs s‘engagent à limiter le niveau maximum de l’exposition de la téléphonie mobile dans les lieux de vie fermés à 5 V/m, calculés en équivalent 900 MHz.

De son côté, la Ville s’engage à faciliter l’implantation des antennes-relais sur les bâtiments de son patrimoine et à sensibiliser à l’accueil des installations d’antennes-relais les sociétés d’économie mixte où la ville est représentée, ainsi que tout propriétaire de bâtiment.

Le 16 mars 2017, en présence de Madame Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social, les branches professionnelles représentant la filière du déploiement du Très Haut Débit – équipementiers, installateurs et opérateurs – ont signé avec l’État un accord cadre national d’engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC) pour le déploiement de la fibre optique.

L’EDEC Fibre Optique s’inscrit dans le cadre de la politique sociale du Gouvernement d’accompagner les entreprises dans l’anticipation de la transformation digitale des emplois, des métiers et des compétences professionnelles.


Communiqué de presse | Les branches professionnelles de la filière du Très Haut Débit signent avec l’État un EDEC1.

Le 16 mars 2017, en présence de Madame Myriam EL KHOMRI, Ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social, les branches professionnelles représentant la filière du déploiement du très haut débit – équipementiers, installateurs et opérateurs – ont signé avec l’État un accord cadre national d’engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC) pour le déploiement de la fibre optique.

L’EDEC Fibre Optique s’inscrit dans le cadre de la politique sociale du Gouvernement d’accompagner les entreprises dans l’anticipation de la transformation digitale des emplois, des métiers et des compétences professionnelles.

Dans le cadre du Plan France Très Haut Débit, la construction des réseaux privés et publics va générer de forts besoins de formation sur l’ensemble du territoire national.

L’EDEC couvrira 7 500 entreprises employant 656 000 salariés s’inscrivant dans la chaîne d’intervention du déploiement du THD.

Le dispositif a pour finalité de favoriser le développement des ressources humaines au sein des entreprises, il constitue un levier de développement de la formation professionnelle, initiale et
continue, de l’insertion et de sécurisation des parcours professionnels.

Il s’agit d’un EDEC de filière interprofessionnelle qui sera piloté par la Direction Générale de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (DGEFP) et dont le portage administratif et financier sera assuré par les OPCA des trois branches professionnelles : OPCAIM pour l’UIMM (métallurgie), OPCALIA pour l’UNETEL (opérateurs télécom) et CONSTRUCTYS pour la FNTP et la FFB (installateurs).

Le montant global de l’EDEC s’élève à 2 667 600 €. L’État participe à hauteur de 800 000 €, les trois OPCA de la filière seront co-financeurs du dispositif.

Les signataires de l’accord-cadre sont :

  • Les acteurs de la filière fibre optique représentés par les branches professionnelles2 et les fédérations associées3
  • Le Ministère du Travail représenté par la DGEFP.

En complémentarité avec l’EDEC, Objectif fibre a réalisé un dossier de presse présentant les métiers de la fibre optique.


1.
Engagement de développement de l’emploi et des compétences (EDEC)

2.
Union des Industries et des métiers de la métallurgie – UIMM
Fédération française du bâtiment – FFB
Fédération nationale des travaux publics – FNTP
Union nationale des entreprises de télécommunications, de réseaux et de services en télécommunication – UNETEL

3.
Fédération française des entreprises de génie électrique et énergétique – FFIE

Fédération française des Télécoms – FFTelecoms
Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication – FIEEC
Fédération des Industriels des Réseaux d’Initiative Publique – FIRIP
Syndicat des entreprises de génie électrique et climatique – SERCE