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Michel Combot, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms, est intervenu le 11 octobre 2018 à la table ronde « Construire ensemble les réponses aux défis de la route » au Congrès de l’Institut des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité (IDRRIM) à Lille.

En savoir plus : congres-idrrim.com

Les autres invités de la table ronde :

  • Pascal Berteaud, Directeur Général du Cerema ;
  • Pierre Calvin, Président de Routes de France ;
  • Michel Combot, Directeur Général de la Fédération Française des Télécoms ;
  • Nicolas Jachiet, Président de Syntec-Ingénierie ;
  • Nicolas Patin, sous-directeur de la gestion du réseau routier national non concédé (MTES/DGITM) ;
  • Lydie Toison, Vice-Présidente, et Thierry Cayret, DGA Investissements et Territoires, du Département du Gers.

 

Michel Combot, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), est intervenu le 10 octobre 2018 à la table ronde « Big Data, IA, Télécoms, quel projet numérique pour nos TPE et PME ? » à l’Université francilienne des entreprises, un événement de la CPME Paris Île-de-France.

Il a notamment rappelé l’engagement des opérateurs membres de la FFTélécoms pour accompagner les PME et TPE dans leur transformation numérique et clarifier leurs offres fixes et mobiles à destination des entreprises.

En savoir plus : cpmeparisiledefrance.fr/universite-francilienne-des-entreprises-2018

 

Vidéo diffusée lors de la table ronde :

  • 00:05 : Wu Qin, Président de Hipotel ;
  • 00:30 : Claire Marcadet, Directrice du CRH-PREV ;
  • 00:43 : Laurent Bocquet, CEO de Synovia ;
  • 01:05 : Marc Faidherbe, Agent général, Generali.

 

 

Les autres invités de la table ronde :

  • Cécile Barrio, Présidente et Fondatrice d’IP Stream ;
  • Éric Bothorel, Député des Côtes-d’Armor ;
  • Jean-Lou Blachier, Président de la CPME Seine-Saint-Denis ;
  • Grégoire Gambatto, Co-fondateur de Germinal ;
  • Frédéric Havret, Directeur du développement de la Banque Populaire Rives de Paris ;
  • Marie Leprêtre, Présidente de la Commission Emploi CESER Île-de-France ;
  • Juliette Pollet, Responsable Pédagogique d’Open Classrooms.

CPME = Confédération des petites et moyennes entreprises.

Les opérateurs de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) ont lancé le 8 octobre 2018 le premier service de télécommunications interpersonnelles dédié aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques en présence de Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’État chargé du Numérique et de Sophie Cluzel, Secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées.

Vidéo | 1er appel avec l’appli RogerVoice par Mounir Mahjoubi, Sophie Cluzel et Didier Casas :

Bouygues Telecom, Euro-Information Telecom, La Poste Mobile, Orange et SFR, assureront l’accessibilité de leurs services de téléphonie de communications interpersonnelles aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques *, à partir du lundi 8 octobre 2018.

Les opérateurs se sont engagés de longue date en faveur de l’accessibilité. Cet engagement s’est traduit par de nombreuses initiatives dont la mise en œuvre d’une charte d’engagements volontaires pour l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques (publiée en 2010). Cliquez ici pour consulter la dernière version.

Par ailleurs, les opérateurs ont participé aux différentes expérimentations mises en place par l’État du Centre Relais Téléphonique (CRT) de communications interpersonnelles.

La Loi pour une République Numérique rend obligatoire à compter du 8 octobre 2018, d’une part la mise en accessibilité du service client pour toutes les grandes entreprises et les services publics et d’autre part la mise en place par les opérateurs de communications électroniques d’une solution de téléphonie accessible.

Il s’agit d’une avancée historique, pour les cinq millions de français qui sont sourds ou malentendants et pour les 500 000 personnes ne pouvant téléphoner en toute autonomie (source : rapport de Corinne Ehrel de 2014).

Les opérateurs ont sélectionné la start-up française RogerVoice en juillet dernier, en partenariat avec Ava Scribe, dans le cadre de la mise en place d’une solution de téléphonie accessible. Ils ont accompagné et encouragé le développement du projet pendant plusieurs mois, jusqu’à sa mise en service. Ce projet représente un investissement financier et humain important pour les opérateurs. Il démontre, une nouvelle fois, leur engagement pour l’accès au numérique pour tous.

Vidéo | Lancement du nouveau service de téléphonie avec l’appli Rogervoice :

Une application qui allie humain et innovation

Rogervoice permet un service de traduction en Langue des Signes Française et en langue française parlée complétée via des interprètes et des codeurs diplômés. **

Parallèlement, cette application permet de transcrire quasi-automatiquement la parole en texte, via un service principalement fondé sur un usage adapté des nouvelles technologies d’intelligence artificielle. Cette transcription de la voix vers le texte peut s’effectuer de manière automatique, ou peut bénéficier de l’assistance d’un transcripteur professionnel.

Tweet :

Comment fonctionne le service proposé par les opérateurs ?

Les clients des opérateurs de la FFTélécoms, bénéficieront d’un crédit d’une heure de communication par mois via l’application Rogervoice, téléchargeable gratuitement sur mobiles et tablettes équipés d’une carte SIM 3G/4G.

Liens pour télécharger l’application mobile :

Télécharger Rogervoice sur iOS

Télécharger rogervoice sur Android

Il suffit aux usagers de s’inscrire gratuitement pour bénéficier de l’offre. Le crédit d’une heure de communication se renouvelle chaque mois.

Le service sera inauguré le 8 octobre à 11h, et est accessible du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.

Tweet :

Et la suite ?

La Fédération Française des Télécoms et ses membres feront un premier bilan dans quelques semaines et s’engagent à poursuivre leurs travaux de dialogue et d’échange de bonnes pratiques avec tous les acteurs concernés.

Les efforts de la société civile, des services publics et des grandes entreprises contribueront au succès collectif de l’inclusion numérique.

 

* Les personnes aphasiques communiquent par différents moyens, dont certaine déjà présents dans l’application. Elles bénéficieront progressivement d’une évolution du service.

** La visio-interprétation est assurée en temps réel, par des interprètes diplômés français/Langue des Signes française (LSF) et des visio-codeurs diplômés en langue française parlée complétée (LPC).

Document | Communiqué de presse :

Document | Dossier de presse :

Didier Casas, Président de la Fédération Française des Télécoms, est intervenu au salon RuraliTIC qui s’est tenu du 28 au 30 août 2018 à Aurillac.

Lors de la table ronde sur le thème « New Deal mobile, et maintenant ? », le Président a rappelé les engagements forts des opérateurs en faveur de l’accélération du déploiement de la 4G sur l’ensemble du territoire.

Retrouvez ci-dessous ses impressions en vidéo :

Liens utiles :

Les numéros d’appel d’urgence permettent de joindre gratuitement les secours 24h/24. Il en existe plusieurs et il n’est pas rare de les confondre. Pourtant, trop d’appels mal orientés surchargent encore inutilement les lignes téléphoniques. Être mieux informé aide les secours à intervenir dans de meilleures conditions et le plus rapidement possible. Tour d’horizon rappelant qui joindre et dans quel cas :

Visuel | Récapitulatif des numéros d’urgence :

Les numéros d’urgences en détail :

Un problème en Europe ? Composez le 112

Accessible partout en Europe et dans 80 pays, le 112 permet de joindre les services d’urgence de tout type que vous soyez impliqué dans un accident ou témoin. En France, le 112 redirige vers le 15 (SAMU), le 17 (polices-secours) ou le 18 (sapeurs-pompiers). En Europe, une dizaine de pays ont abandonné leurs anciens numéros d’urgence nationaux au profit du 112, comme l’Espagne, les Pays-Bas et la Suède. À noter qu’une carte SIM dans votre smartphone est indispensable, en effet, c’est elle qui permet de repérer l’origine de l’appel. Il est en général possible de composer le 112 sans déverrouiller le téléphone.

Une urgence médicale ? Composez le 15

Pour obtenir l’intervention d’une équipe médicale lors d’une situation de détresse vitale, contactez le SAMU, en tapant le 15. Ce numéro permet également d’être redirigé vers un organisme de permanence de soins (médecine générale, transport ambulancier, …). Appelez le 15 notamment en cas de malaise, coma, hémorragie, douleur thoracique, difficultés respiratoires ou intoxication.

Un trouble à l’ordre public ? Composez le 17

En cas de violences, agression, vol à l’arraché, cambriolage… appelez le 17 pour obtenir une intervention immédiate de la police secours ou de la gendarmerie nationale, et ce si vous êtes en gagner ou si vous constatez que quelqu’un est en danger. Si la situation ne relève pas d’une urgence, composez le numéro du commissariat ou de la brigade de gendarmerie le plus proche de vous.

Une situation de péril avéré ou potentiel ? Composez le 18

Le 18 est le numéro des sapeurs-pompiers. Cette ligne est uniquement dédiée aux appels d’urgence, pour signaler une situation de péril ou un accident concernant des personnes (accident de la route ou domestiques) ou des biens (incendie, risque d’effondrement, ensevelissement, fuite de gaz, inondation, …).

Vous êtes sourd ou malentendant ? Composez le 114

Les agents du 114 vous répondent et contactent les services d’urgences adaptés les plus proches de chez vous (SAMU, police-gendarmerie ou pompiers). Disponible 24h/24 et 7j/7, ce numéro gratuit est accessible par visioconférence, tchat, SMS ou fax. Les appels vocaux téléphoniques ne sont pas pris en compte. Vous pouvez également contacter le 114 via l’application « Urgence 114 » disponible sur iOS et Android et depuis un ordinateur sur le site www.urgence114.fr.

Un problème dans les transports en commun ? Composez le 3117

Bus, métro, RER, en gare ou à bord d’un train, si vous êtes victime ou témoin d’une situation suspecte, dangereuse ou d’une agression, composez soit le 3117 par téléphone (numéro gratuit depuis un mobile), soit le 31 177 par SMS (coût opérateur d’un SMS normal). Ces numéros ne se substituent pas aux numéros des services de secours publics compétents. La problématique terroriste est également prise en compte depuis 2015.

Il existe également une application à télécharger sur téléphone portable : « Alerte 31 17 ». Il est possible de créer un profil avec son numéro de portable, son âge, son trajet habituel et le numéro d’une personne à prévenir en cas d’urgence.

Femme victime de violence, composez le 3919

Chantage, humiliation, injures, coups… Les femmes victimes de violences peuvent contacter le 3919. Gratuit et anonyme, ce numéro de téléphone est, en raison des circonstances exceptionnelles dues à l’épidémie du coronavirus et jusqu’à nouvel ordre, accessible de 9h à 19h du lundi au samedi.

En savoir plus

Une situation de détresse en mer ? Composez le 196

Le 196 est destiné aux personnes témoins ou victimes d’une situation de détresse en mer, proche du littoral. Il permet de joindre directement, le centre opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer (CROSS).

Les numéros d’urgences sociales

Il en existe plusieurs :

  • Le 115 : SAMU Social, vient en aide aux personnes sans abri et en grande difficulté sociale ;
  • Le 119 : numéro d’urgence dédié aux enfants en danger, victimes de violences physiques ou psychologique ;
  • Le 116000 : numéro d’urgence en cas de disparition d’enfants, il a pour mission d’écouter et soutenir les familles d’enfants disparus.

Dans tous les cas, pour faciliter et accélérer le traitement de votre appel, exprimez-vous clairement auprès de votre interlocuteur. Répondez à toutes les questions en précisant, qui vous êtes, où vous êtes et les raisons de votre appel. Le temps que vous passez au téléphone n’est jamais inutile, ne retarde jamais l’intervention et permet la meilleure réponse à l’urgence pour laquelle vous l’appelez.

Enfin, ne raccrochez jamais le premier. La personne qui a pris en charge votre appel vous dira quand elle a toutes les informations nécessaires. Donnez votre numéro de téléphone et si possible, restez sur place, en sécurité, pour guider les secours.

Sac à dos bouclés, valises fermées, tongs aux pieds et casquette sur la tête : ça y est, ce sont enfin les vacances ! Avant de vous aventurer dans les gares, les aéroports ou sur les routes des vacances, suivez nos 12 conseils pour partir connecté en toute sérénité !

1. Profitez sans frais de l’itinérance mobile partout en Europe

Depuis le 15 juin 2017, les frais supplémentaires d’itinérance mobile (roaming) dans les 27 pays européens sont supprimés et les tarifs sont désormais égaux aux forfaits nationaux, dans la limite autorisée par votre abonnement et d’un usage qualifié de « raisonnable ». Concernant les appels et les SMS, le principe est simple : votre forfait s’applique à l’identique dans les 26 autres pays. Si vous avez un forfait appel et SMS illimité, vous pouvez effectuer des appels illimités ailleurs en Europe, idem pour les forfaits limités.

Concernant la consommation de données mobiles (data), la majorité de votre forfait peut être consommé en dehors de la France. En effet, les opérateurs ne sont pas autorisés à restreindre l’usage des données. Il est tout de même préconisé de vous renseigner auprès de votre opérateur pour connaître les modalités qui s’appliquent sur votre contrat mobile. Cette nouvelle législation n’inclut pas les appels vers d’autres pays d’Europe depuis la France avec un forfait français et les pays en dehors de l’Union Européenne, sauf indication contraire dans votre contrat.

Cependant, les opérateurs sont en droit de définir une limite d’utilisation à l’accès Internet en dehors du territoire national dans trois cas bien précis :

  • Pour les forfaits illimités ;
  • Pour les forfaits jugés particulièrement généreux sur l’Internet mobile (lorsque le prix hors taxes du forfait est inférieur à 7,70 €/Go) ;
  • Pour les offres prépayées.

2. Les cambrioleurs ne prennent pas de vacances, restez discrets sur les réseaux sociaux

Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat… évitez de diffuser des informations sur vos dates de départ en congé. Sur les réseaux sociaux, la première chose à faire est de définir votre vie privée de façon à ce que seuls vos amis y aient accès. Vous éviterez ainsi qu’un grand nombre puisse y avoir accès. Malgré ces précautions prises, il est plus prudent de poster vos photos de vacances une fois de retour à votre domicile. Évitez également les outils de vidéo en direct (Periscope, Facebook Live…) car ils sont de formidables moyens d’indiquer en temps réel où vous êtes à n’importe qui dans le monde.

Ne permettez pas que l’on vous identifie dans des publications sans votre autorisation, vous pouvez également désactiver la fonction de partage de vos publications. Dans tous les cas, vérifiez vos paramètres de sécurité sur vos réseaux avant de partir. Pensez également à désactiver la géolocalisation durant votre voyage, pour que votre smartphone ne donne pas l’information sans que vous vous en rendiez compte. Pour les parents, n’hésitez pas à rappeler ces principes à vos enfants et adolescents, souvent plus enthousiastes à partager ces informations.

3. Pickpockets : soyez vigilants dans les lieux publics

Métro, plage, hôtel, véhicule, terrasse de restaurant… où que vous soyez, tenez votre appareil discrètement et ne le posez pas à la vue de tous. Avant de partir, renforcez la sécurité du déverrouillage de votre smartphone en activant le code PIN ou un mot de passe complet à l’allumage du téléphone, ainsi que le code de verrouillage de l’écran, qui s’enclenche à chaque mise en veille du téléphone.

Conservez bien le numéro IMEI du téléphone, c’est le numéro d’identification de votre téléphone : il servira à le bloquer en cas de vol. Pour connaître votre n°IMEI, il vous suffit de taper sur le clavier de votre téléphone le code suivant : *#06#. Vous pouvez retrouver tous nos conseils pratiques sur le vol des mobiles dans notre article dédié.

4. Les réseaux internet publics

Dans les gares, les aéroports ou les cafés, la présence de réseaux Wi-Fi gratuits est très appréciée des voyageurs, mais l’utilisation de ces réseaux en libre accès comporte des risques. Faciles à infecter, ils sont une proie facile pour les hackeurs qui peuvent accéder à toutes vos données, car celles-ci ne sont pas chiffrées. Évitez d’effectuer des opérations sensibles, comme la consultation de votre compte bancaire, les achats en ligne, ou la connexion à tout site auquel on accède avec un mot de passe, comme vos réseaux sociaux.

Vous avez la possibilité de passer par un VPN, (Virtual Private Network), ces programmes sont téléchargeables sous forme d’applications mobiles et permettent de protéger, un minimum, vos données.

5. En avion : Wi-Fi ou mode « Hors-ligne »

De plus en plus de compagnies aériennes proposent le Wi-Fi à bord de l’avion et vous permettent de rester connecté au-delà des nuages. Néanmoins, l’accès est soumis à certaines conditions qu’il convient de respecter pour éviter toute facturation. Il est aussi utile de rappeler que certaines compagnies se réservent le droit d’interdire certains usages à bord (appels vocaux ou vidéos) pour des raisons de sécurité. Si vous pouvez donc en bénéficier, c’est une bonne nouvelle pour vous ! Sinon, mettez votre smartphone en mode « hors-ligne » ou « mode avion » pour éviter des interférences avec les appareils de vol. Ce mode permet de désactiver simultanément les connexions cellulaires, radio FM, Wi-Fi et Bluetooth. Dans tous les cas, respectez toujours les consignes de sécurité de la compagnie aérienne.

6. Au volant : soyez vigilants en toutes circonstances

Conduire est une activité à part entière, déroger à cette règle en téléphonant au volant multiplie par 3 le risque d’accident et par 23 si vous rédigez un SMS ! Près d’un accident sur 10 est lié à l’usage du téléphone ! Laissez la messagerie répondre ou demandez à votre passager de répondre à votre place reste donc la meilleure solution. Ainsi, vous resterez parfaitement concentré sur la route et vous ne représenterez pas un danger pour autrui.

Depuis le 1er juillet 2015, écouteurs, oreillettes, kits mains libres et casques audio sont aussi interdits. Ces infractions au code de la route sont passibles d’une amende forfaitaire de 135 € et d’un retrait de 3 points sur le permis de conduire.

Bon à savoir : lors du Comité Interministériel de la Sécurité Routière (CISR) 2018, le Gouvernement a annoncé qu’à partir de 2019, les forces de l’ordre pourront procéder à une suspension de permis si une infraction est commise en même temps que l’usage du téléphone au volant, des écouteurs kit mains libres ou encore d’une oreillette Bluetooth.

7. La batterie externe, le meilleur ami de votre smartphone

Pas toujours facile de trouver une prise électrique en vacances. La solution ? Une batterie externe ! Vous pourrez ainsi recharger vos appareils où vous voulez. De très nombreux modèles existent sur le marché, le choix reste toujours un compromis entre prix, encombrement et puissance de l’accumulateur. Par exemple : une batterie externe de 5 000 mAh (milliampère-heure) peut recharger environ 2,5 fois un iPhone 7 (1 900 mAh) et 1,5 fois le Galaxy 7 (3 000 mAh). N’hésitez pas à comparer les différents modèles qui vous intéressent sur les sites spécialisés.

8. Chocs, projections d’eau… Protégez vos appareils

Les accidents sont fréquents en déplacement et arrivent plus souvent que ce que l’on ne le croit. Les coques en polycarbonate ou en silicone protège l’arrière et les angles de l’appareil, vous pouvez en trouver à partir de 10 € environ. Nous vous conseillons d’investir dans un étui à rabat aimanté pour smartphones, qui a l’avantage de protéger aussi l’écran. Possesseurs d’iPhone, vous pouvez opter pour une protection en verre trempé (comptez 40 € environ).

9. Dopez le stockage de votre smartphone

Si vous prenez toutes vos photos avec votre smartphone en voyage, prévoyez un espace de stockage suffisant. Plusieurs solutions existent : investissez dans une carte micro SD d’au moins 16 Go de stockage (si votre smartphone peut en loger une). Autre solution : le Cloud. « Picasa » et « Drive » pour Google, iCloud pour les iPhones, cloud des opérateurs télécoms… de nombreuses solutions existent pour tous les budgets. Avec « Drive » par exemple, vous pouvez profiter de 15 Go gratuits, de quoi sauvegarder environ 5 000 photos de bonne qualité.

10. Faites un geste pour l’environnement : débranchez vos appareils électriques

Chaque geste compte et contribue au respect de l’environnement. Par exemple, pensez, si cela est possible, à débrancher votre box et l’ensemble de vos appareils électriques avant de partir plutôt que de les laisser en veille : un appareil en veille non utilisé mais qui reste connecté au réseau électrique continue de consommer de l’énergie et peut représenter jusqu’à 10% de la facture d’électricité hors-chauffage. De plus, les débrancher vous permettra d’éviter les risques d’incendie.

11. Veuillez à respecter le droit à l’image d’autrui

Cultiver sa créativité en faisant des clichés de ses proches ou des magnifiques paysages qui vous entourent est un usage tout à fait plaisant du mobile et qui ne pose pas de problème. Mais veillez à ne pas prendre, sans leur autorisation, des photos de personnes sans leur consentement préalable et à les diffuser sur Internet, en particulier sur les réseaux sociaux. Cette demande d’autorisation est exigée au nom du respect de la vie privée dont le droit à l’image constitue un outil de protection.

12. Débarrassez-vous des appels et spams non désirables

D’une manière générale, ces messages vous incitent à composer un numéro de téléphone fortement surtaxé (numéro à 10 chiffres commençant par 08), ou à envoyer un SMS vers un numéro court à 5 chiffres également surtaxé. Nous vous recommandons de ne pas composer le numéro de téléphone surtaxé ou de ne pas envoyer de SMS au numéro court surtaxé. Plusieurs moyens sont mis à votre disposition pour agir en cas de spam. La solution la plus courante est de bloquer le contact, soit en mettant en place des listes noires si le smartphone le permet, soit en bloquant manuellement chaque contact.

Liens utiles :

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est intervenue le 1er juin 2018 au DigiWorld Spring Session de l’IDATE à Montpellier sur la cybersécurité et le RGPD (Règlement général sur la protection des données).

Un des principes fondateurs des télécommunications – consacré dans le code des postes et communications électroniques (CPCE) – est le respect du secret des correspondances par l’opérateur.

La loi de programmation militaire 2014-2019 avait en outre déjà obligé les opérateurs d’importance vitale (OIV) – dont font partie les principaux opérateurs télécoms – à mettre en place de nouvelles règles de sécurité indispensables à la protection de leurs systèmes d’information, à se soumettre à des contrôles destinés à s’assurer du respect de ces règles et à déclarer les incidents affectant le fonctionnement de leurs systèmes. Acteurs incontournables de la sécurité de la nation, les opérateurs télécoms ont donc depuis plusieurs années, intégré les exigences de sécurité indispensables à la protection des données et étaient ainsi relativement mieux préparés aux nouvelles obligations de protection des données exigées par le RGPD.

Néanmoins, avec la mise en place du RGPD, les opérateurs ont dû effectuer d’importants travaux internes de mise en conformité à tous les échelons de l’entreprise, par exemple pour la tenue d’un registre de traitement des données. De même, la mise en œuvre du « privacy by design », c’est-à-dire la prise en compte de la notion de respect de la vie privée et de la sécurité informatique dès la conception d’un système d’information ou d’une base de données, est désormais une obligation.

Enfin, le droit à la portabilité des données prévu par le RGPD, qui offre aux personnes la possibilité de récupérer une partie de leurs données dans un format ouvert et lisible et de les stocker ou les transmettre facilement d’un système d’information à un autre, a conduit la Fédération à instituer un groupe de travail et d’échanges entre opérateurs pour une mise en œuvre optimale.

Mais toutes les nouvelles exigences du RGPD pour les entreprises peuvent également – et doivent même – susciter de nouvelles opportunités de développement et d’innovation pour le secteur des télécoms. Le besoin croissant de sécurité et de protection des données dans le cyberespace conduit ainsi les opérateurs télécoms à développer de nouvelles activités de cyberdéfense.

L’article 19 de la loi de programmation militaire 2019-2024 en cours d’adoption – en autorisant les opérateurs à détecter les attaques informatiques grâce à des marqueurs fournis par l’ANSSI – marquera à cet égard un tournant majeur de leur rôle au service de la transformation numérique de l’économie. L’opérateur télécom du futur ne sera plus seulement un transporteur de flux pour ses clients, mais fera de la distribution sécurisée de données et proposera des solutions sécurisées.

Tweets :

La Fédération Française des Télécoms a participé le 18 mai 2018 à la réunion avec les associations d’élus et des collectivités pour une coordination efficace entre tous les acteurs concernant l’accélération de la couverture numérique dans les territoires.

L’objectif de cette réunion était double : réaffirmer la volonté des opérateurs de travailler de concert avec les élus locaux pour faciliter et accélérer les déploiements sur le territoire et penser l’introduction d’un protocole de coopération entre les collectivités et les opérateurs pour une réussite opérationnelle et technique des déploiements mobiles dans le cadre du « New Deal ».

C’est en ce sens que la Fédération s’engage, avec l’ensemble des acteurs concernés.

Didier Casas, Président de la Fédération Française des Télécoms, est intervenu le 14 mai 2018 à l’occasion de la présentation publique du rapport « Développement des véhicules autonomes : orientations stratégiques pour l’action publique ».


[INTERVIEW] Retour sur les grands enjeux à venir, l’apport de la 5G, le positionnement des opérateurs télécoms par rapport à la filière des véhicules autonomes, quelles sont les attentes ?

Tous les nouveaux véhicules commercialisés depuis le 1er mai 2018 doivent être connectés via le dispositif « eCall ». S’agit-il d’une première étape vers le véhicule autonome ?

Didier Casas : ce système permet d’envoyer automatiquement un message d’urgence en cas d’accident, par exemple quand les airbags se déclenchent. Des informations sur le véhicule (type, carburant…), ainsi que sa localisation sont alors transmises aux services de secours. « eCall » peut également être déclenché manuellement, en cas de panne ou de problème moins grave1.

Même si l’émission des messages est automatique, ce qui est un vrai plus en matière de sécurité, on est encore loin d’un véhicule autonome, mais c’est une première brique intéressante. C’est surtout un projet collaboratif, qui a été mené au niveau européen en associant plusieurs acteurs (constructeurs, pouvoirs publics, opérateurs, assureurs…).

Concrètement, qu’apporte la connexion des véhicules ?

Didier Casas : aujourd’hui, les véhicules sont largement connectés… et d’abord parce que l’usage des smartphones s’est répandu à bord, comme en témoigne le succès de l’application « Waze ». Cela me permet, au passage, de rappeler les conseils de prudence : pas d’appels ou d’activité susceptible de distraire le conducteur au volant !

Les véhicules récents disposent également de systèmes embarqués largement connectés, tant pour les loisirs numériques que pour l’information du conducteur ou la cartographie. Ils sont de plus en plus présents, au point qu’on a pu comparer les voitures modernes à des « smartphones roulants », qui se mettent à jour régulièrement en apportant de nouvelles fonctionnalités.

On voit également apparaître de nouveaux services, liés à l’utilisation des données produites par le véhicule lui-même (localisation, vitesse, utilisation du moteur…), à l’initiative des constructeurs (maintenance prédictive, gestion de flotte…), des gestionnaires d’infrastructure ou des assureurs (personnalisation des contrats en fonction du type de conduite).

Quels sont les enjeux en termes de cyber-sécurité ?

Didier Casas : le premier enjeu tient à la sécurisation des données émises par le véhicule, puisque certaines d’entre elles relèvent de la catégorie des données personnelles. Le cadre réglementaire actuel, issu du RGPD, leur est pleinement applicable, ce qui constitue une excellente garantie compte tenu du fait que :

  • les conducteurs devront consentir, de manière éclairée, au traitement de leurs données, ce qui est un élément essentiel du développement de la confiance dans ces écosystèmes ;
  • les entreprises impliquées devront renforcer la sécurisation de leurs systèmes informatiques pour prévenir toute fuite de données.

Le deuxième enjeu tient à la prévention du piratage des véhicules2, avec les conséquences dramatiques qu’on peut facilement imaginer. Le cadre reste à construire même si les opérateurs télécoms sont déjà tenus à de nombreuses obligations de sécurité, compte tenu de leur statut d’opérateur d’importance vitale. La loi de programmation militaire3 viendra d’ailleurs renforcer la prévention des cyber-attaques.

Dans l’attente, nous sommes favorables aux conclusions d’un rapport parlementaire récent, qui prévoit de s’opposer à l’homologation d’un véhicule dépourvu de volant et de pédales tant que leur cyber-sécurité ne sera pas pleinement assurée.

Comment le véhicule se connecte-t-il aux autres véhicules et à son environnement ?

Didier Casas : le véhicule peut d’abord se connecter aux réseaux cellulaires classiques, c’est-à-dire en 2G, 3G ou 4G. Mais on a également développé des technologies spécifiques qui lui permettent de se connecter à d’autres véhicules (on parle alors de « Vehicle to Vehicle », V2V), aux infrastructures (V2I), voire aux piétons (V2P). Deux technologies, dites globalement « V2x », sont actuellement testées :

  • ITS G5, qui utilise des fréquences libres de droit (non protégées) dans la bande des 5,8 GHz et fonctionne un peu comme du Wi-Fi (faible portée, qui nécessite donc de multiplier les émetteurs pour connecter un véhicule en circulation) ;
  • Cellular V2x (ou, aujourd’hui, LTE V2x), qui utilise la même bande de fréquence mais dans le cadre de licences. Il est d’ores et déjà prévu que cette technologie évolue pour utiliser la 5G, dont le déploiement est attendu à partir de 2020.

Il est trop tôt pour savoir comment ces technologies s’articuleront. Mais il faut d’ores et déjà comprendre qu’elles seront complémentaires. Le V2x actuel, par exemple, ne fonctionne qu’à proximité immédiate des infrastructures et un relai par des technologies cellulaires classiques sera nécessaire en dehors des voies principales.

Par ailleurs, si les deux technologies V2x ont des performances intrinsèquement comparables (même si elles ne sont pas interopérables…), le Cellular V2x pourra bénéficier des déploiements des opérateurs, avec lequel il est compatible.

Que va apporter la 5G aux véhicules autonomes ?

Didier Casas : les performances de la 4G sont déjà très largement suffisantes, cette technologie permet déjà, par exemple, de télécharger des cartes de plusieurs Go en quelques minutes. Grâce à l’accord historique que les opérateurs viennent de signer avec les pouvoirs publics sur l’accélération du déploiement, les zones couvertes en 4G vont largement s’étendre.

Mais il est vrai que la 5G, qui proposera des performances très supérieures en termes de débits et de latence, va apporter de nouvelles fonctionnalités qui permettront de franchir de nouveaux paliers vers le véhicule véritablement autonome.

Concrètement, la 5G permettra par exemple :

  • de télécharger des cartes à haute densité et de les mettre à jour en temps réel (état du trafic, de la chaussée). Des cartes 3D seront également disponibles, ce qui va permettre aux conducteurs de bénéficier de la réalité augmentée dans certaines situations… avant que les algorithmes ne prennent définitivement le volant ;
  • d’améliorer la connexion de véhicule à véhicule. Grâce à la faible latence de la 5G, une voiture pourra bénéficier des capteurs des véhicules situés devant lui pour anticiper un ralentissement ou, littéralement, « voir » au-delà d’un virage4 ;
  • de permettre le développement de ce que les spécialistes appellent les « manœuvres collaboratives». En communiquant entre elles et avec les infrastructures, les véhicules pourront adapter automatiquement leurs itinéraires pour fluidifier et sécuriser la circulation, surtout en ville.

Les opérateurs télécoms travaillent-ils déjà sur le véhicule autonome ?

Didier Casas : nous sommes très attentifs au développement du véhicule autonome, tant sur le plan technologique qu’économique. Des membres de la Fédération contribuent déjà à des projets innovants, comme :

  • le projet « Scoop» qui, à l’initiative de Renault et PSA, a permis d’équiper près de 3 000 véhicules de la technologie ITS G5 afin d’améliorer l’information des conducteurs (V2V et V2I) et de mieux comprendre leurs attentes en matière de conduite autonome5 ;
  • le développement par l’UTAC-CERAM, à proximité de Paris, du premier centre de test de véhicules autonomes dans un milieu urbain simulé, qui bénéficiera rapidement des meilleures technologies de communication6.

Encore une fois, ce sont des projets collaboratifs, car c’est la clef pour avancer dans un domaine où de multiples acteurs interviennent. Sans oublier la dimension européenne, qui est nécessaire au développement d’acteurs de premier plan face aux géants américains ou chinois. De ce point de vue, on ne peut qu’être rassuré par le rachat de « HERE » des constructeurs européens7.

Comment est-ce que les opérateurs se positionnent-ils vis-à-vis de la filière des véhicules autonomes ? Quelles sont leurs attentes ?

Didier Casas : les membres de la FFTelecoms souhaitent soutenir le développement de cette filière, qui constitue une chance historique pour notre industrie automobile et devrait permettre, plus généralement, d’améliorer notre sécurité, notre confort et notre cadre de vie tout en limitant l’impact de nos activités sur l’environnement.

Nous y contribuons d’abord en déployant très loin sur le territoire des réseaux capables d’absorber un trafic data en forte croissance. En ce sens, nous construisons le substrat de l’écosystème à venir du véhicule connecté puisque, d’ici quelques années, une voiture devrait utiliser beaucoup plus de données qu’un client « normal »8.

Il est trop tôt pour évoquer des projets concrets, car les technologies (5G et V2x) ne sont pas stabilisées. Mais on peut déjà dire que l’engagement des opérateurs tiendra à leur capacité à valoriser leurs investissements dans les réseaux pour, justement, absorber cette croissance des usages… On a parfois tendance à l’oublier, mais la connectivité ne peut être gratuite !

Dans ce cadre, et en dehors des discussions que nos membres auront avec les autres acteurs de l’écosystème (constructeurs, gestionnaires d’infrastructures…), nous serons attentifs à la régulation qui devra préserver les intérêts des opérateurs en veillant :

  • à ce que les éventuelles obligations de couverture restent proportionnées à la valeur que les opérateurs pourront tirer de ces nouveaux écosystèmes9 ;
  • à ce qu’ils disposent de blocs de fréquences leur permettant de déployer la 5G dans de bonnes conditions et, surtout, sans interférences ( le précédent fâcheux du GSM-R), ce qui constitue, s’agissant d’applications critiques comme le véhicule autonome, un impératif.

À ce titre (et même si les opérateurs n’ont pas toujours été associés à ces réflexions…) on ne peut que saluer la stratégie nationale, qui insiste, de manière pragmatique, sur la nécessité de normaliser rapidement les technologies de connexion du véhicule (en garantissant a priori une interopérabilité européenne) et de déterminer très précisément les besoins de couverture des voies secondaires.


1. Les nouveaux véhicules sont équipés d’une carte SIM et, dès qu’un accident est détecté, un message est automatiquement émis à destination des services d’urgence (112). Des appels manuels sont également possibles en cas d’immobilisation du véhicule qui, en fonction des besoins, sont routés vers les secours ou des plateformes comme « Mondial Assistance ».

2. Le problème n’est pas propre aux voitures, puisqu’il concerne également le secteur aérien ou ferroviaire. La multiplication des véhicules autonomes, qui seront diffusés à des millions d’exemplaires, pose néanmoins le problème à une autre échelle.

3. Le futur article 19 de la loi de programmation militaire prévoit, en lien avec les opérateurs, de renforcer les compétences de l’ANSSI en matière de prévention des cyber-attaques (détection des attaques par un système de « sondes », amélioration de l’information…).

4. Des tests, actuellement menés au Japon par Nissan, NTT Docomo et Qualcomm, ont montré que la technologie Cellular V2x, permettrait de détecter des obstacles qui ne sont pas encore visibles en raison de la circulation ou de la topographie, par exemple à une intersection sans visibilité, sur une route de montagne ou par mauvais temps (détection dite « Not Line of Sight», NLoS).

5. Orange, partenaire de ce projet depuis 2014, a participé à l’équipement de plusieurs milliers de Km de routes en ITS G5, notamment en Île-de-France (A86), en Bretagne (axe Nantes-Rennes-Saint-Malo) et dans l’est de la France.

6. Spécialisé dans le contrôle technique et la normalisation, l’UTAC-CERAM dispose de deux centres en Île-de-France, à Mortefontaine et Linas-Montlhéry, qui accueillera la structure d’essai des véhicules autonomes.

7. Ex-filiale de Nokia, « HERE » développe des logiciels de cartographie et de planification d’itinéraires. En 2015, l’entreprise a été rachetée, pour près de 3 milliards d’euros, par un consortium regroupant 3 constructeurs allemands : Daimler, Audi et BMW.

8. On estime que, dans les années à venir, un véhicule connecté devrait consommer (hors loisirs numériques) 30 à 40 Go de données par mois tant pour télécharger des informations (la carte HD d’une ville pèse déjà plusieurs Go, et beaucoup plus en 3D) que pour en émettre vers son environnement (régime moteur, données techniques…). Par comparaison, nos clients utilisent, en moyenne, 5 à 6 Go de data par mois.

9. Une des annexes de la stratégie nationale estime nécessaire de viser « la connexion performante et totale des infrastructures routières ». Le texte lui-même est plus modéré puisqu’il évoque simplement la réalisation d’une enquête visant à « évaluer la pertinence socio-économique de la couverture des différentes sections-types du réseau routier ». Par ailleurs, la stratégie nationale est neutre au regard des technologies.