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Il y a 2 ans, le 8 octobre 2018, les opérateurs membres de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) – Bouygues Telecom, Euro-Information Telecom, La Poste Mobile, Orange et SFR – lançaient, en partenariat avec Rogervoice, une solution innovante et unique au monde pour assurer l’accessibilité de leurs services aux personnes sourdes et malentendantes.

Ce projet s’inscrit dans la ligne de conduite que se sont fixée les opérateurs de la FFTélécoms lors de leur engagement à offrir l’accessibilité téléphonique à tous leurs abonnés. Ils s’investissent ainsi de façon continue pour que tous les français puissent bénéficier de leurs services.

Il fait aussi suite à la Loi pour une République Numérique du 7 octobre 2016 suivie de son décret d’application du 9 mai 2017 qui instaurent, en France, l’obligation d’accessibilité téléphonique aux personnes sourdes et malentendantes.

Les opérateurs de réseau mobile se doivent notamment de fournir un service gratuit de relais téléphonique pour l’ensemble de leurs souscripteurs sourds et malentendants, depuis le 8 octobre 2018 : 1 heure par mois, du lundi au vendredi de 8h30 à 19h.

Il s’agit d’une avancée historique, pour les cinq millions de français qui sont sourds ou malentendants et pour les 500 000 personnes ne pouvant téléphoner en toute autonomie en France (source : rapport de Corinne Ehrel de 2014). Aujourd’hui, en France, on estime que la surdité touche une personne sur dix. Il existe différents degrés de surdité et donc des modes de communication adaptés.

Depuis le lancement du CRT, le partenariat entre la FFTélécoms et Rogervoice a permis de rendre accessibles plus de 230 000 appels pour près d’1 million de minutes gérées. Sur la 2ème année du service, le volume de minutes a augmenté de 36% par rapport à la 1ère année. Une augmentation constante qui démontre une demande forte au sein de la communauté sourde et malentendante, et un développement important de la société Rogervoice. La FFTélécoms et Rogervoice se mobilisent depuis plusieurs mois pour permettre aux personnes aphasiques et sourdaveugles d’accéder à ces services.

À la suite de l’annonce du confinement par le Gouvernement, les opérateurs de la FFTélécoms ont doublé leur offre en ajoutant 1h supplémentaire à cette première heure offerte, soit 2 heures de télécommunications gratuites par mois via l’application Rogervoice afin de répondre aux demandes des associations et des utilisateurs dans cette période inédite (de mars à mai). Toute l’équipe de Rogervoice s’est mobilisée durant cette crise sanitaire pour répondre à l’augmentation de l’offre de la FFTélécoms. Ainsi l’ensemble des interprètes est resté mobilisé pour permettre à chaque utilisateur de profiter de ses 2 heures de communications dans les meilleures conditions. En complément de l’offre faite par les opérateurs membres de la FFTélécoms, Rogervoice a offert à tous ses abonnés une heure d’appel en transcription texte automatique pour limiter au maximum l’isolement de chacun.

Le CRT de Rogervoice a enregistré une très nette augmentation des appels pour la FFTélécoms pendant le confinement : +15% en termes de nombre de minutes. On dénombre plus de 300 heures d’appels grâce au doublement d’heures sur mars, avril et mai.

À propos de la Fédération Française des Télécoms :

Créée le 24 septembre 2007, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) réunit les opérateurs de communications électroniques en France. Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international. Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la régulation ouverte.

Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.

À propos de Rogervoice :

Rogervoice est un opérateur de téléphonie dédié à l’accessibilité pour les personnes sourdes et malentendantes. Au total sur l’ensemble de ses services, Rogervoice a rendu accessible plus d’un million d’appels à ses utilisateurs dans le monde.

Aujourd’hui, Rogervoice c’est :

  • Une présence dans 52 pays et 200 langues disponibles ;
  • Plus de 40 000 utilisateurs ;
  • +1 million d’appels depuis 2015 ;
  • Environ 2 500 appels quotidiens ;
  • 3 modes de communication : Langue de Signes Française (LSF), Langue française Parlée Complétée (LPC) et transcription écrite.

Rogervoice continue son développement et travaille chaque jour à la création de nouvelles fonctionnalités pour améliorer l’accessibilité des appels téléphoniques en France et dans le monde :

  • Le mode de lecture horizontal et vertical pour faciliter la lecture des appels en visio ;
  • La possibilité de caster la vidéo sur un écran plus grand pour améliorer la visibilité ;
  • La transcription des visioconférences en direct pour le travail ;
  • Une nouvelle plateforme pour les interprètes et codeuses ;
  • Le développement du mode Braille ;
  • Des travaux sur l’accompagnement des personnes aphasiques ;
  • L’ajout des éléments de contexte en transcription (voix, bruits de fond) ;
  • Le mode nuit pour faciliter la lisibilité.

Site internet rogervoice

Media Kit Rogervoice


Note : Communiqué de presse mis à jour le 19 novembre 2020.

Les opérateurs de téléphonie mobile, qui se sont engagés dans l’accord du New Deal Mobile, ont déployé 340 nouveaux pylônes sur les 449 prévus au 27 juin, date du premier point d’étape de l’accord. Avec 75% de l’objectif atteint à fin juin, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) évalue que l’objectif sera atteint à fin septembre 2020. Les trois mois de décalage étant dus au retard pris en raison de la crise sanitaire.

Depuis la signature de l’accord New Deal Mobile, les opérateurs ont basculé plus de 75 000 sites mobiles en 4G sur les 84 500 sites mobiles présents, tous opérateurs confondus en France. 89% des sites des opérateurs ont donc été convertis en 4G. Les opérateurs ont construit ou passé près de 19 700 sites en 4G depuis le début du New Deal Mobile.

Le New Deal Mobile est une réalité et les opérateurs sont tous mobilisés pour atteindre cet objectif. Il a certes été ralenti pendant la crise sanitaire mondiale mais les opérateurs et leurs techniciens ont continué, dans la mesure du possible, à déployer notamment durant le confinement. Des sites mobiles ont ainsi été construits et contrairement à d’autres secteurs économiques qui étaient complètement à l’arrêt, l’industrie des télécoms a démontré pendant la crise sanitaire et encore plus ces dernières semaines sa capacité à maintenir l’activité pour atteindre les objectifs fixés.

La FFTélécoms souligne cette mobilisation inédite des opérateurs de téléphonie mobile et rappelle le rôle fondamental de l’industrie des télécoms dans la relance économique de notre pays. La mobilisation exceptionnelle des opérateurs s’est faite aussi en solidarité avec la filière industrielle, les sous-traitants et fournisseurs.

Les réseaux mobiles se sont révélés indispensables au bon fonctionnement de la nation pendant le confinement. C’est en effet grâce aux réseaux télécoms que les Français ont pu communiquer, télétravailler, poursuivre l’éducation à la maison et s’informer.

La FFTélécoms est partenaire des pouvoirs publics dans la mise en œuvre du New Deal Mobile. À ce titre elle a organisé plusieurs inaugurations de sites mobiles 4G ces dernières semaines dans les départements du Calvados, Haute-Loire, Vaucluse, Jura qui illustrent la réalité des déploiements.

Ces inaugurations se poursuivront à la rentrée, l’implication des collectivités et des élus locaux en lien avec l’ensemble des acteurs est une des clés de la réussite des déploiements.
La Fédération Française des Télécoms, dans un souci de transparence et de pédagogie, a mis en ligne sur son site internet :

  • Un compteur national pour suivre l’évolution des déploiements mobiles ;
  • Une plaquette pédagogique sur les grandes étapes de déploiement d’un site mobile depuis la loi ELAN (Évolution du Logement de l’Aménagement et du Numérique) à destination des élus locaux et parlementaires.

Pour rappel, la 4G sera généralisée sur le réseau actuel des opérateurs d’ici 2020 et d’ici fin 2022 pour les zones blanches actuelles – dont 75% d’ici fin 2020. Par ailleurs, la couverture sera complétée pour les axes routiers prioritaires en plus de la construction de nouveaux pylônes mutualisés au travers du dispositif de couverture ciblée qui permet aux élus locaux d’identifier les zones prioritaires.

Nomination | Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) a élu à l’unanimité, le 14 mai 2020, Nicolas Guérin, en tant que Président de la FFTélécoms. Sa prise de fonction a eu lieu le 15 juin 2020, pour un mandat jusqu’en mai 2021. Il succède à Arthur Dreyfuss, Secrétaire Général d’Altice France / SFR, désormais Vice-président de la FFTélécoms.

Copyright photo : FFTélécoms.

Biographie :

Entré dans le Groupe Orange en 1998 au sein de la direction juridique concurrence et réglementation, après un passage chez SFR, Nicolas Guérin arrive au moment de la dérégulation du secteur.

Il prend la tête de la direction en 2003, et devient Directeur Juridique et secrétaire du Conseil d’Administration du groupe en 2009. À ce poste, il est un contributeur de premier plan à de nombreux dossiers structurants pour le groupe, que ce soit les opérations de M&A portant sur l’élargissement du footprint en Afrique ou en Europe avec l’acquisition de Jazztel ou de diversification que ce soit les contenus ou Orange Bank. Son support aura également été essentiel dans la mise en œuvre des obligations réglementaires sur le marché Entreprises, ou plus récemment avec les suites de l’accord mobile signé entre les opérateurs et l’État.

Depuis le 1er mars 2018, Nicolas Guérin est Secrétaire général du Groupe Orange et conserve sa fonction de Secrétaire du Conseil d’Administration.

Tweet :

Lire son interview au Figaro

*Mis à jour du 6 avril 2020 : Les opérateurs télécoms prolongent leur initiative : 1 heure de communication offerte du 15 au 30 avril 2020.

*

Face à une crise sanitaire sans précédent et soucieux de permettre à tous leurs clients de communiquer facilement avec leurs proches ou les professionnels de santé, les opérateurs télécoms de la Fédération Française des Télécoms (Altice-SFR, Bouygues Telecom, Euro-Information Telecom, La Poste Mobile et Orange) ont décidé de doubler le nombre d’heures de communication qu’ils proposent à leurs clients sourds ou malentendants au travers de leur centre relais téléphonique pour les deux prochaines semaines.

Concrètement, ils bénéficieront ainsi, gratuitement, de 2 heures de communication adaptée du 15 au 30 avril (les opérateurs offrent déjà une heure de communication depuis la mise en place du centre relais téléphonique), soit via une traduction en Langue des Signes Française (LSF), soit via un codage en Langage Parlé Complété (LPC) soit en utilisant des technologies de sous-titrage des appels. Cette initiative, entièrement financée par les opérateurs de la FFTélécoms, est rendue possible par la mobilisation exceptionnelle des collaborateurs de la société Rogervoice, qui gère pour leur compte le centre relais téléphonique. Le service étant très sollicité, il est essentiel que les usagers réservent au maximum l’utilisation de la plateforme aux appels les plus importants afin de maintenir une bonne qualité de service.

Arthur Dreyfuss, Président de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), a rappelé :

« Communiquer est un besoin vital, et c’est encore plus vrai dans cette période de crise inédite. Les équipes des opérateurs se mobilisent chaque jour pour assurer le bon fonctionnement des réseaux et il était hors de question que certains de nos clients, en raison de leur situation de handicap, ne puissent pas pleinement bénéficier de nos services. Toutefois, je tiens à rappeler qu’il est impératif d’utiliser les réseaux numériques de manière responsable. Des réflexes simples peuvent être adoptés par chacun de nous, comme par exemple de se mettre en Wi-Fi à la maison plutôt qu’en 4G ou décaler les appels les moins urgents. Nous faisons appel à la responsabilité de tous pour que chacun puisse profiter de ces appels ».

Pour plus d’informations nous vous invitons à consulter le site internet de Rogervoice : rogervoice.com/fr ainsi que sa page Facebook : facebook.com/rogervoiceapp – bien entendu en vous connectant en Wi-Fi !

La Feuille de Route pour l’Économie Circulaire (FREC) a fixé en avril 2018 le cap visant à mieux produire, mieux consommer et mieux gérer les déchets en mobilisant tous les acteurs. L’une des 50 mesures présentées vise à favoriser en particulier la reprise des anciens téléphones mobiles, afin qu’ils soient réemployés ou recyclés.

Dans ce contexte, les constructeurs de l’Alliance Française des Industries du Numérique (AFNUM) et les éco-organismes ecosystem et Ecologic ont pris une initiative jusqu’alors inédite: celle de rassembler tous les acteurs de la filière concernée et plus spécifiquement les opérateurs de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), les acteurs du réemploi dont la Fédération du Réemploi et de la Réparation (RCube), les entreprises Remade et Cordon Electronics, avec la participation de l’ADEME, afin de déterminer quels leviers d’action permettraient de répondre à cet enjeu national.

Comprendre pour mieux agir.

La première étape définie par ce collectif a été de réaliser une cartographie de la filière française des téléphones usagés tenant notamment compte du développement du marché de l’occasion, pour mieux appréhender les comportements des Français face au recyclage de leurs téléphones mobiles et pour identifier les stratégies de collecte mises en place dans d’autres pays.

Les principaux constats qui découlent de l’étude sont les suivants :

  • Le gisement de téléphones dormants est important : entre 54 et 113 millions, selon les acteurs et les flux pris en considération ;
  • Le réemploi des téléphones monte en puissance : 5 à 9 millions d’appareils d’occasion sont reconditionnés et revendus chaque année ;
  • Les filières agréées de recyclage réalisent une collecte faible, entre 0,3 et 0,5 million d’appareils par an uniquement ;
  • Il n’existe pas de système unique et efficace de collecte qui permettrait d’atteindre un taux de collecte significatif des téléphones usagés. À ce titre, l’analyse des dispositifs mis en place dans d’autres pays montre qu’un système de consigne, qui a notamment été déployé puis suspendu en Corée du Sud et en Autriche, se révélerait très onéreux et non adapté aux enjeux du déstockage des téléphones dormant dans les tiroirs.

Le parc en hibernation dans les tiroirs des Français constitue donc un gisement important de téléphones à récupérer tant pour le réemploi que pour le recyclage. Ce parc serait composé pour plus de deux tiers d’appareils encore fonctionnels (gardés essentiellement comme solution de rechange, pour soi ou pour ses proches). Le potentiel de réemploi et la valeur marchande associée de ce parc en hibernation sur le marché de 2ème main est donc très variable et difficile à estimer. Les mesures proposées par le collectif visent en priorité à « vider les tiroirs » mais également à mieux structurer la filière du réemploi.

Un système de mesures complémentaires pour favoriser la reprise et la collecte.

Pour atteindre les objectifs définis par la FREC, la mise en place de mécanismes incitatifs ne peut suffire. Seule une approche intégrée et systémique permettra d’accroître le taux de collecte à l’échelle nationale, en actionnant simultanément les leviers suivants :

  • Sensibiliser le grand public à l’enjeu environnemental : les téléphones mobiles doivent être collectés pour être mieux réemployés ou recyclés afin de faire re-circuler au maximum les équipements et les matériaux contenus, et ainsi s’inscrire dans un schéma d’économie circulaire.
  • Mieux communiquer sur les dispositifs de collecte : les Français souhaitent être davantage informés des dispositifs de collecte mis à leur disposition pour donner une seconde vie à leur(s) téléphone(s) mobile(s) ou les recycler. Deux actions sont d’ores et déjà à l’étude pour répondre à cette attente :
    • Mise en ligne d’un annuaire national des lieux et acteurs de la collecte et de la reprise des mobiles pour regrouper et centraliser l’ensemble des informations pertinentes pour les consommateurs ;
    • Campagne de communication à l’occasion des Jeux Olympiques Paris 2024, valorisant la fabrication des médailles olympiques à partir des matériaux recyclés issus des équipements collectés. Cette campagne s’inscrit dans la continuité des initiatives menées pour les JO de Rio en 2016 et de Tokyo en 2020.
  • Créer une meilleure confiance dans les différents acteurs de l’écosystème, et rassurer les consommateurs sur le devenir de leur équipement et notamment sur le traitement des données stockées dans leurs téléphones : il subsiste notamment aujourd’hui une crainte du consommateur quant à l’accès potentiel aux données stockées dans un téléphone après sa prise en charge par les filières de réemploi ou de recyclage. Une plus grande transparence et une standardisation de la filière devraient lever ce frein à la collecte à travers par exemple la mise en place d’un label volontaire.
  • Afin d’actualiser la cartographie des acteurs et des flux, de mesurer la performance des mesures proposées et d’être force de propositions sur d’éventuels ajustements, le collectif propose la création d’un Observatoire français de la téléphonie mobile qui pourrait – entre autres – mesurer le taux de circularité des téléphones mobiles. Ce nouvel indicateur rapporterait le nombre de téléphones réemployés et recyclés au nombre de téléphones neufs mis sur le marché chaque année. Il est estimé aujourd’hui entre 22 et 40%.

Consulter le rapport de l’étude

Contact presse principal : Caroline Marcouyoux – cmarcouyoux[at]afnum[.]fr.


À propos de l’AFNUM

L’AFNUM (Alliance Française des industries du Numérique) est le syndicat professionnel qui regroupe, en France, les industriels des réseaux, du traitement de l’information, des terminaux, du traitement du document, de l’électronique grand public, de la photographie, des systèmes d’impression et des objets connectés. Il regroupe une soixantaine d’entreprises et représente un secteur d’activité employant 80 000 personnes générant un chiffre d’affaires de 15 milliards d’euros en France.
www.afnum.fr Contact presse : Caroline Marcouyoux – cmarcouyoux[at]afnum[.]fr.

À propos d’Ecologic

Ecologic est un éco-organisme, entreprise à but non lucratif investie par l’Etat d’une mission d’intérêt général consistant à prévenir, collecter, dépolluer et valoriser les Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques, ménagers et professionnels (filière DEEE). Depuis 2006, il accompagne ses producteurs-adhérents, dont une part importante du secteur des technologies de l’information, dans la mise en oeuvre de leur responsabilité élargie (REP), contribuant ainsi au développement d’une économie circulaire.
Contact presse : Elisabeth Steffann – esteffann[at]ecologic-france[.]com.

À propos d’ecosystem

ecosystem est un éco-organisme c’est-à-dire une entreprise à but non lucratif d’intérêt général, agréée par les pouvoirs publics pour gérer les appareils ménagers et professionnels complexes usagés et prolonger leur durée de vie sous forme d’appareils rénovés ou réutilisés ou sous forme de nouvelles matières premières recyclées et dépolluées.
Contact presse : Mélissa Bire – mbire[at]ecosystem[.]eco.

À propos de la Fédération Française des Télécoms

La Fédération Française des Télécoms réunit les opérateurs de communications électroniques en France. Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.

À propos de Rcube

RCube.org est la Fédération des Acteurs Professionnels du Réemploi et de la Réparation, avec pour but de prolonger la durée de vie des équipements. RCube.org anime des événements et construit des projets pour contribuer au développement du Réemploi de tous types de produits et professionnaliser les pratiques des acteurs. Plus de 100 membres sont membres de la Fédération allant de ressourceries, de reconditionneurs, d’artistes, d’acteurs spécialisés dans la réduction des déchets, d’acteurs faisant de l’éducation, de l’autoréparation, du don, de la réparation, de la formation de réparateurs, etc… – www.rcube.org. Contact presse : Benoit Varin – benoit.varin[at]rcube[.]org.

Nomination | Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) a élu à l’unanimité, le 14 mai 2019, Arthur Dreyfuss en tant que Président de la FFTélécoms jusqu’en mai 2020. Il succède à Didier Casas, Directeur général adjoint et Secrétaire général de Bouygues Telecom, désormais Vice-président de la FFTélécoms.

Biographie :

Arthur Dreyfuss, 33 ans, est Secrétaire Général d’Altice France – SFR et Directeur de la communication d’Altice Europe. Il a rejoint le groupe Altice en 2014 en tant que Directeur de la Communication. Il a été auparavant Directeur Conseil chez Havas. Arthur Dreyfuss a occupé diverses fonctions en cabinet ministériel (Justice, Affaires Étrangères, Transports) entre 2006 et 2011, et a également été Porte-parole adjoint de la Chancellerie.

Il est titulaire d’un Master de Droit Public de l’Université Paris 2- Panthéon Assas et d’un Master de Droit Public des Affaires de l’Université Paris 1- Panthéon Sorbonne.

Copyright photo : Abaca Press.

 

LIRE SON Interview AU Figaro (22 MAI 2019)

Objectif fibre, dont la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est membre, a présenté le 12 novembre 2018 son nouveau guide pratique dédié au raccordement des services généraux des immeubles neufs à un réseau en fibre optique mutualisé.

Une fois encore, le travail de nombreux acteurs permettra d’accélérer et de faciliter le déploiement du Très Haut Débit (THD) fixe.

En savoir plus sur Objectif-fibre.fr

Document | Objectif Fibre | Fascicule complémentaire 2018 (8ème guide) :

Document | Objectif Fibre | Communiqué de presse 8ème guide pratique (2018) :

Bouygues Telecom, Euro-Information Télécom, Orange et SFR ont sélectionné au terme d’une procédure d’appel d’offres, la start-up Rogervoice pour assurer l’accessibilité de leurs services de téléphonie de communications interpersonnelles aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques.

Grâce à ce nouveau partenariat, ces publics seront en mesure de passer des appels téléphoniques traduits de manière adaptée à leur handicap vers leurs correspondants. Cette décision des opérateurs de la FFTélécoms s’inscrit dans leur tradition qui allie l’humain à l’innovation. Elle propose un service qui associe les services de traduction classiques en Langue des Signes Française (LSF) et en Langage Parlé-Complété (LPC) via un interprète diplômé, à un service principalement fondé sur un usage adapté des nouvelles technologies d’intelligence artificielle*, permettant de transcrire quasi-automatiquement la parole en texte. Ainsi, l’utilisateur aura une solution globale pour communiquer.

Ce choix des opérateurs traduit une volonté de proposer une solution inédite pour les communications interpersonnelles. L’obligation d’accessibilité posée par la Loi pour une République Numérique est tout d’abord unique au monde en raison de son ambition affichée de bénéficier à tous ces publics. Mais la solution retenue est également remarquable par son choix de mettre en oeuvre une solution d’Intelligence Artificielle à l’échelle nationale.

Cette ambition, impulsée par les opérateurs membres de la FFTélécoms, ne pourra cependant être concrétisée qu’à raison d’un effort coordonné avec la société civile d’une part, porteuse de connaissances et d’expériences, mais également avec les services publics et les entreprises qui doivent aussi rendre accessibles leurs services d’accueil au public ou de relation client, d’autre part. En effet, le succès de l’opération dépend notamment de la bonne coordination entre les services des opérateurs, et celui de l’ensemble des acteurs concernés. La Fédération Française des Télécoms s’engage en ce sens à poursuivre ses travaux de dialogue et d’échange de bonnes pratiques avec tous les acteurs de l’écosystème, dans le but de favoriser les meilleures conditions possibles au lancement du service, prévu pour le 8 octobre 2018.

Pour rappel, ce nouveau projet s’inscrit dans la continuité du suivi par la FFTélécoms dès 2015 de l’expérimentation mise en place par l’État du centre relais téléphonique de communications interpersonnelles. Les opérateurs se sont engagés de longue date, et avant toute obligation légale, dans une démarche de mise en accessibilité de leurs services clients. La Loi pour une République Numérique inscrit désormais cette obligation de rendre leurs services de téléphonie et de service client accessibles à tous, pour les opérateurs de communications électroniques, mais également aux services publics et grandes entreprises.

Site officiel de Rogervoice

Document | Communiqué de presse FFTélécoms :


* la visio interprétation avec des interprètes diplômés, supervisés et formés via une interface intuitive et multi-devices texte en temps réel.

Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms), proposent chaque année un appel à projets innovants sur des thématiques sociétales majeures, comme l’accessibilité en 2016, et les jeunes et l’accès aux contenus en ligne en 2017.

Conscients des nombreux enjeux qui se jouent autour du numérique, les opérateurs s’engagent et remplissent leur mission d’acteur numérique responsable en soutenant des projets innovants et variés.

Vidéo | Appel à projets – Prix Télécoms Innovations 2018 :

Pour cette troisième édition, la Fédération a choisi le thème de « l’initiation responsable au numérique », en partenariat avec l’ANSA, Google et TECH IN France.

C’est autour de ce sujet, devenu essentiel pour notre société, que l’ensemble des acteurs du numérique souhaite cette année mobiliser le plus grand nombre pour faire émerger de nouvelles solutions.

Les candidats – entreprises, associations, chercheurs ou laboratoires – devront présenter un projet qui met en valeur des applications et services numériques ou des actions pédagogiques visant à accompagner les publics et les intervenants qui les aident, par exemple les travailleurs sociaux, à l’occasion de leur transition vers le numérique.

Les lauréats bénéficieront non seulement d’une dotation financière pour poursuivre le développement de leur projet innovant et aussi d’une visibilité accrue auprès de l’ensemble des acteurs de leur écosystème.

Quels types de projets sont attendus ?

Le projet peut :

  • Être destiné à l’ensemble des publics et leurs accompagnants ou ne s’adresser qu’à un public défini ;
  • Introduire un nouvel outil numérique ou, au contraire, proposer une approche innovante en matière d’accompagnement des publics.

Le projet doit :

  • Apporter une solution pédagogique à la problématique de l’initiation responsable au numérique ;
  • Être structuré, clair et innovant ;
  • Être reproductible ou diffusable au travers d’une démarche d’essaimage dans plusieurs territoires.

Sur quels critères seront jugés les projets ?

Sur 5 critères, qui comptent chacun pour 20% de la note finale :

  • Adéquation aux objectifs ;
  • Pertinence technologique et industrielle ;
  • Adéquation aux attentes, usages et goûts du public visé ;
  • Impact social ;
  • Pérennité du projet.

Comment s’effectue la sélection ?

Elle s’effectuera sur dossier par un jury composé de professionnels des télécoms, du numérique, des médias spécialisés et des milieux solidaires. La démonstration d’un prototype ou d’un concept défini est l’un des points clefs de la sélection.

Comment participer ?

Les éditions précédentes :

 En 2017, trois projets innovants sur le thème des jeunes et de l’accès aux contenus en ligne :

  • Une solution de codage en ligne avec le projet COOD pour LES PETITS CODEURS ;
  • Une solution de médiation avec le projet OPEN LINE ;
  • Une ressource pédagogique de lutte contre les fausses informations avec le projet INFO HUNTER pour TRALALERE.

En 2016, trois projets innovants sur le thème de l’accessibilité des personnes sourdes et malentendantes :

  • Une application « speech-to-text » avec le projet ROGERVOICE ;
  • Une solution d’aide auditive basée sur la reconnaissance vocale avec le projet IVES ;
  • Une solution de détecteur de mouvements 2D/3D pour la traduction de la langue des signes avec le projet SEQUERIS.

Présentation des partenaires :

L’Ansa est une association sans but lucratif dont l’objet social est la lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion, par l’incitation, la promotion et l’accompagnement de l’innovation et l’expérimentation sociale. Depuis douze ans, l’Ansa travaille sur des projets impliquant des acteurs publics et privés. Elle accompagne l’amélioration des conditions de vie des personnes les plus fragiles au travers de projets visant à l’autonomie et l’insertion économique et sociale, l’hébergement et le logement des personnes défavorisées, la lutte contre les précarités alimentaire, énergétique et financière, l’accès aux soins, l’inclusion numérique de
tous… www.solidarites-actives.com

 

La mission de Google est d’organiser les informations à l’échelle mondiale pour les rendre accessibles et utiles à tous. Avec des produits et des plateformes tels que le moteur de recherche, Google Maps, Gmail, Android, Google Play, le navigateur Chrome ou YouTube, Google joue un rôle dans le quotidien de milliards de personnes et est devenue l’une des entreprises les plus connues au monde. Google est une filiale d’Alphabet Inc. Google opère en France depuis plus de quatorze ans. www.google.com/intl/fr/about

 

TECH IN France, une association professionnelle créée en 2005 qui a pour but de rassembler et de représenter les éditeurs de logiciels et solutions internet en France. Porte-parole de l’industrie numérique, TECH IN France compte 400 entreprises adhérentes, de la startup à la multinationale en passant par la PME et les grands groupes français et contribue par ses travaux à leur développement. www.techinfrance.fr