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Objectif Fibre accompagne le déploiement de la fibre optique en publiant le Guide Pratique 2016 sur l’installation de la fibre optique jusqu’à l’abonné dans les constructions neuves à usage d’habitation ou à usage mixte.

La présentation s’est tenue ce mardi 29 novembre 2016 en présence d’une centaine de personnes. 

Animée par Éric Jourde, délégué général de la FIEEC, la conférence Objectif Fibre 2016 fut l’occasion d’assister au :

Discours d’ouverture de Jean-Pierre Bonicel, Président d’Objectif Fibre ;

Présentation du Guide Pratique 2016 par Didier Cazes, Rapporteur du groupe de travail « Bonnes Pratiques professionnelles » d’Objectif Fibre ;

Table ronde avec Michel Combot, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms ; François Delhaye, membre du Bureau et Président de la commission Formation de la FFIE ; David Dray, Président de Casanova, IGNES, FIEEC ; Philip Gibon, Directeur Technique, Fédération des Promoteurs Immobiliers ; Ghislain Heude, Directeur de la Mission THD, Agence du numérique et Anne Valachs, Directeur Général du SERCE ;

Intervention de Gabrielle Gauthey, Directrice des investissements et du développement local de la Caisse des Dépôts et de Consignation ;

Discours de clôture de Ghislain Heude, Directeur de la mission THD, Agence du numérique.

Retrouvez l’étude 2015 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.

L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2015 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.

Document | Étude Arthur D. Little 2015 sur l’économie des télécoms :

Document | Synthèse de l’étude Arthur D. Little 2015 sur l’économie des télécoms :

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) vient de présenter la 5ème édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.

Après la vague télécoms il y a 20 ans favorable au leadership européen, puis la vague de l’internet depuis la décennie 2000 qui a installé la suprématie des acteurs américains en Europe, la vague numérique qui déferle sur l’ensemble de l’économie offre à nouveau de formidables opportunités de croissance et d’emplois en Europe et en France, à condition de mettre fin au déséquilibre entre l’offre et la demande. En effet, si les citoyens européens se montrent friands de services et de terminaux numériques, l’industrie européenne du numérique est en panne. La consommation numérique est donc très majoritairement « importée ». Encouragée par des réseaux d’excellente qualité et, en France par des prix particulièrement bas, la demande de services et de terminaux numériques n’a jamais été aussi dynamique, ainsi qu’en témoigne l’appétence du public pour les nouveaux services comme la vidéo à la demande, le e-commerce, ou bien la domotique, ou encore les objets connectés.

Pourtant, l’économie européenne ne profite pas de cette demande. Ces cinq dernières années, les revenus de l’écosystème numérique y ont baissé de 4% par an (en moyenne) alors qu’ils augmentaient dans le monde en moyenne de 5% par an. L’ensemble des acteurs est concerné par ce phénomène: non seulement aucun géant de l’internet n’a émergé en Europe, mais les opérateurs, qui constituent pourtant le socle de l’économie numérique, ont connu une érosion de leurs revenus, tout particulièrement en France (-17% de 2010 à 1014). Or, dans le reste du monde on observe clairement une corrélation entre la croissance de l’écosystème global et la croissance du secteur télécoms.

Si les opérateurs français ont maintenu et même augmenté leurs efforts d’investissements, ces derniers commencent à fléchir, ce qui, si cela devait perdurer, ne serait pas sans conséquence sur l’ensemble de l’écosystème numérique et les services du futur.

En dépit d’initiatives récentes comme le programme « French Tech » ou la conférence numérique franco-allemande, visant à  encourager le développement de l’offre numérique française – initiatives qui, au demeurant, ne concernent pas les opérateurs télécoms – les politiques françaises et européennes sont restées trop exclusivement centrées sur la stimulation de la demande (baisse des prix, augmentation de la pression concurrentielle sur le marché des télécoms…), voire l’augmentation de la fiscalité spécifique qui frappe les opérateurs et obère leur capacité à investir dans les réseaux de nouvelle génération.

C’est pourquoi la FFTélécoms en appelle à un rééquilibrage des politiques publiques du numérique dans le sens de l’offre, et à la mise en œuvre d’un « Digital Act » à la française visant à stimuler l’ensemble des secteurs de l’économie numérique : les opérateurs, qui en sont le support, les industriels des applications et des services internet et, bien entendu, les startups qui contribueront à développer les services numériques de demain.

En observant les politiques menées dans les pays les plus avancées en la matière (Corée, Suède, États-Unis…), l’étude met en évidence cinq leviers clefs qui doivent être actionnés simultanément pour permettre à la France et à l’Europe de prendre pleinement le virage du numérique, en s’appuyant sur les opérateurs.

Selon le cabinet Arthur D. Little, ces mesures devraient donner à la France les moyens de stimuler le développement d’une offre numérique, lui permettant ainsi de rattraper son retard. La part du secteur des TIC dans la valeur ajoutée totale en France est actuellement de l’ordre de 4%.  Si elle atteignait la moyenne observée dans les autres pays de l’Union européenne (5,5%), le potentiel de création de valeur nouvelle atteindrait, selon Arthur D. Little, 25 milliards d’euros par an.

Document | Étude « Économie des Télécoms » 2015 Arthur D. Little :

Vidéo | Interview d’Yves Le Mouël, Directeur Général de la FFTélécoms :

Vidéos | Interview d’Ignacio Garcia Alves, Arthur D. Little :


Chiffres clés de l’étude « Économie des télécoms 2015 » :

  • +15 millions : croissance du nombre de français équipés en smartphones entre 2012 et 2014 ;
  • +63% : croissance des abonnés au Très Haut Débit fixe en France entre mi-2014 et mi-2015 ;
  • 20€ : prix de l’offre « Triple Play » (Internet, TV, téléphone) et prix de l’offre mobile (illimité en voix, et incluant un forfait données) la plus bon marché en France… les prix les plus bas parmi les grands pays occidentaux (France, Italie, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni, États-Unis) ;
  • +5% : évolution des revenus de l’écosystème numérique dans le monde (moyenne annuelle pour la période 2010-2014) ;
  • -4% : évolution des revenus de l’écosystème numérique européen (moyenne annuelle pour la période 2010-2014) ;
  • -17% : évolution des revenus des opérateurs télécoms entre 2010 et 2014 en France ;
  • 129 : valeur de l’indice d’ « effort d’investissement » des opérateurs télécoms en 2014, vs. 100 en 2010 ;
  • 4,5% : part du secteur des TIC dans le PIB en France, soit 1 point de moins que la moyenne de l’OCDE ;
  • 25 milliards d’euros : potentiel création de valeur ajoutée (PIB) si la France dépassait légèrement la moyenne de l’OCDE.

La Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) publie le document de synthèse de l’étude « Transformation Numérique 2008-2020 » réalisée par le cabinet NPA Conseil en novembre 2014.

S’appuyant sur des éléments de contexte de basculement des usages et d’identification de freins au développement économique de la création et de la distribution, cette étude formule plusieurs recommandations visant à renouer avec une dynamique vertueuse pour l’ensemble de la chaîne de valeur de la culture numérique.

Elle propose notamment de renforcer le partenariat entre les opérateurs télécoms et les industries culturelles.

En effet, face aux défis de la transformation numérique, le renforcement du modèle français de la création ne peut que s’appuyer sur un effort concerté entre les Industries Créatives et les opérateurs télécoms qui distribuent et valorisent les œuvres auprès du public.

Cet effort devrait porter sur au moins 3 piliers principaux :

  • L’accès aux œuvres, en encourageant l’attractivité et l’accessibilité de l’offre ;
  • L’expérience utilisateur, en valorisant l’interopérabilité et en renforçant l’innovation ;
  • La création de valeur, en consolidant le partenariat créateurs-éditeurs-distributeurs.

Par le biais de cette publication, la FFTélécoms souhaite apporter sa réflexion aux débats de ces derniers mois et rappeler que les opérateurs télécoms sont prêts à rechercher activement comment refonder ce partenariat historique avec les industries culturelles pour faire prospérer un modèle français renouvelé à l’ère du numérique.

Document :

Retrouvez l’étude 2014 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.

L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2014 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.

Document | Étude Arthur D. Little 2014 sur l’économie des télécoms :

Document | Synthèse de l’étude Arthur D. Little 2014 sur l’économie des télécoms :

Retrouvez l’étude 2013 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.

L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2013 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.

Document | Étude Arthur D. Little 2013 sur l’économie des télécoms :

Document | Synthèse de l’étude Arthur D. Little 2013 sur l’économie des télécoms :

L’évaluation des dispositifs fiscaux imposés aux opérateurs télécoms des six pays de l’étude (France, Espagne, Italie, Allemagne, États-Unis et Royaume-Uni) fait apparaître quatre grands enseignements pour le cas de la France :

  • La France a le niveau le plus élevé de taxes spécifiques au secteur des télécoms, avec 2,98% du chiffre d’affaires total des opérateurs en 2011 (x40 vs Royaume-Uni) ;
  • En France et en Espagne, le secteur des télécoms est un fort contributeur au financement des industries culturelles (cinéma, TV,…) et des collectivités territoriales ;
  • Les taxes télécoms représentent 20% des investissements réalisés par les opérateurs télécoms français en 2011 ;
  • Le taux de fiscalité spécifique et la détérioration des flux de trésorerie des opérateurs français débouchent sur un accroissement de la pression fiscale, critique pour la pérennité des capacités d’investissement des opérateurs et de contribution au financement de la culture.

Document | Étude comparative internationale sur la fiscalité spécifique des opérateurs télécoms et les schémas d’optimisation fiscale des acteurs « Over-The-Top » (étude complète) :

Document | Étude comparative internationale sur la fiscalité spécifique des opérateurs télécoms et les schémas d’optimisation fiscale des acteurs « Over-The-Top » (synthèse en infographies) :

Document | International Comparative Study of telecom operators’ taxation and tax optimization schemes of Over-The-Top players (complete survey):

Retrouvez l’étude 2012 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.

L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2012 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.

Document | Étude Arthur D. Little 2012 sur l’économie des télécoms :

Document | Synthèse de l’étude Arthur D. Little 2012 sur l’économie des télécoms :

Des études sont menées à travers le monde depuis plus de 20 ans. À ce jour, plus de 3 500 publications scientifiques (études, rapports, avis…) sont recensées sur les ondes radio.

On entend parfois tout et son contraire. Certains scientifiques disent qu’il y a danger et d’autres qu’il n’y a pas danger. Que disent les autorités sanitaires ?

Thèmes :

  • Ondes radio & Santé : fiches 1.1 et 1.2.
  • Exposition aux ondes radio : fiches 2.1, 2.2 et 2.3.
  • Avancées du Grenelle des Ondes : fiches 3.1 et 3.2.
  • Des réseaux mobiles de qualité : fiches 4.1 et 4.2.
  • Installation des antennes-relais : fiches 5.1 et 5.2.

Fiches :