Catégorie : Contenus et usages
La Fédération Française des Télécoms continue d’agir sur le terrain contre le cyberharcèlement en organisant le 22 mars 2019 un atelier de sensibilisation avec des jeunes de 10 à 15 ans au centre social d’Ostricourt (5 367 habitants) dans le département du Nord en région Hauts de France.
Cet atelier autour d’un serious game a permis de sensibiliser ces jeunes au cyberharcèlement et plus généralement aux bonnes conduites à respecter sur Internet, notamment sur les réseaux sociaux Snapchat, Twitter, Facebook…
Cet atelier, en partenariat avec l’association deci-dela.org, est le résultat d’un engagement de longue date de la Fédération auprès des jeunes publics, afin de les initier à la citoyenneté numérique dès le plus jeune âge.
Retrouvez ci-dessous un résumé de cet atelier et l’avis des jeunes :
Vidéo | Atelier de sensibilisation au cyberharcèlement à Ostricourt (Nord) :
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La Fédération Française des Télécoms est intervenue le 21 novembre 2018 à l’EspaceLudo dans le 19ème arrondissement de Paris auprès de jeunes de 10 à 12 ans en partenariat avec deci-dela.org.
Les opérateurs télécoms agissent concrètement pour accompagner les adolescents aux bons usages d’internet en organisant des ateliers pédagogiques. La FFTélécoms a pu rappeler lors de cette rencontre, la démarche d’accompagnement à l’éducation numérique des opérateurs membres de la Fédération.
Il s’agissait à partir d’une photo postée sur les réseaux sociaux de comprendre comment décrypter le vrai du faux et d’inciter les ados à exercer leur esprit critique. Les élèves, tous très actifs lors de cet atelier, ont fait part de leur satisfaction à apprendre les bons réflexes grâce à cette ressource adaptée à leur âge.
Vidéo | Atelier de sensibilisation aux « fake news » à l’EspaceLudo Paris 19e :
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Consultez ci-dessous le guide pratique « Internet : comment accompagner & protéger votre enfant » (version 2018) :
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L’équipe de la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) est intervenu le 24 novembre 2017 au débat du Conseil de la Confédération Syndicale des Familles (CSF) autour du sujet suivant : « les familles et le numérique ».
À cette occasion, la Fédération a présenté ses actions concrètes qu’elle mène depuis plusieurs mois :
- Organisation d’ateliers de sensibilisation au cyberharcèlement dans des collèges à Evreux, Nice et Sens
- Publication de l’étude « Les parents d’enfants et adolescents et l’accès à internet » (voir notre article)
- Publication d’un guide « Internet : comment protéger et accompagner votre enfant » (voir notre article)
- Appel à projets « Jeunes et accès aux contenus en ligne » (voir notre article)
Site de la CSF : la-csf.org
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La Fédération Française des Télécoms, a répondu à la consultation publique « Préparer la révolution de l’internet des objets », lancée le 19 juillet 2016 par l’Arcep, l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes.
L’internet des objets représente une nouvelle étape dans la transition numérique de la société et de l’économie. Les entreprises, les pouvoirs publics et les citoyens français doivent se saisir de ce sujet afin de peser dans le dialogue international portant sur les orientations du marché. L’enjeu de taille est bien de renforcer la stratégie industrielle et de rayonnement de notre pays. Et pour y parvenir la Fédération, acteur majeur du secteur, est force de proposition : découvrez le résultat de la consultation dans le document ci-dessous.
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À compter du 30 avril 2016, les surcoûts dus à l’usage d’un forfait de téléphone mobile hors de France, dits « frais de roaming » ou d’itinérance, vont à nouveau fortement baisser.
Les utilisateurs ne paieront plus que 5 centimes d’euros supplémentaires la minute par appel passé depuis l’étranger (contre 19 centimes auparavant depuis le 1er juillet 2014) et un centime pour chaque appel reçu (contre 5 centimes). Pour les SMS, il faudra compter 2 centimes par envoi (contre 6 centimes). Et pour les données Internet, ce sera 5 centimes par mégaoctet utilisé (contre 20 centimes).
De surcroit, dès le 15 juin 2017, les suppléments tarifaires de roaming disparaîtront totalement dans l’Union Européenne. Il n’y aura plus de frais d’itinérance, pour autant que l’abonné utilise son téléphone à l’étranger de manière temporaire. Les opérateurs prestataires pourront toujours facturer des frais en cas d’utilisation permanente de la carte SIM dans un autre pays que celui où l’abonnement a été souscrit.
Par ailleurs, rappelons que l’opérateur doit d’ores et déjà envoyer un message à son abonné lorsque celui-ci franchit une frontière au sein de l’UE, afin de l’informer du prix pour effectuer et recevoir des appels, surfer sur Internet (téléchargement de données) ou envoyer et recevoir des messages.
Enfin, pour protéger l’abonné contre des factures astronomiques par accident, le volume de données téléchargées sur son appareil portable est de même d’ores et déjà plafonné, dans le monde entier, à 50 euros (ou un montant équivalent dans une autre devise), sauf s’il a été convenu autrement par l’abonné avec son opérateur. L’abonné recevra également un avertissement lorsqu’il atteindra 80 % de la limite convenue.
Les tarifs maximum au sein de l’Union européenne
1er juillet 2014 | 30 avril 2016 | 15 juin 2017 | |
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Appels passés (par minute) | 0,19 € | tarif national + 0,05 € maximum | pas de frais d’itinérance supplémentaire, application du tarif national
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Appels reçus (par minute) | 0,05 € | tarif national + 0,01 € maximum | |
Messages envoyés (par SMS) | 0,06 € | tarif national + 0,02 € maximum | |
Internet (téléchargement de données, par Mo*) | 0,20 € | tarif national + 0,05 € maximum |
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En 2015, comme dans les quatre années précédentes, la facture mensuelle moyenne a encore baissé dans les télécoms, sur le fixe comme sur le mobile, pour s’établir à la fin du 4ième trimestre 2015, respectivement à 31,8€ et 16,3€, soit des montants parmi les plus faibles de tous les pays développés.
Cette baisse des prix s’est accompagnée d’une nouvelle hausse spectaculaire des usages matérialisée en particulier par un bond de 68,6% en un an du volume de données consommé sur le mobile, grâce au déploiement de la 4G et à la multiplication par 2 en un an des cartes SIM 4G qui concernent désormais 22 millions d’utilisateurs.
Conséquence de la baisse des factures, les revenus des opérateurs ont poursuivi leur chute avec une diminution de 2,7%, hors revenus annexes.
Même si cette décélération des revenus s’est ralentie en 2015 par rapport aux années précédentes, elle reste un indicateur de vigilance pour des opérateurs confrontés à des enjeux d’investissements colossaux dans les réseaux de nouvelle génération, en fibre pour le fixe et en 4G pour le mobile, ainsi qu’aux problématiques de couverture des zones les moins densément peuplées.
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L’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (Arcep) a publié les résultats de son observatoire du marché des services mobiles pour l’année 2015. Au-delà de la progression du parc de clients (+0,6% sur un an) et des cartes Machine-to-Machine (+28%), l’Autorité retient la fluidité et le dynamisme indéniables du marché.
Chiffres record de numéros portés et de forfaits sans engagement
Avec 2 millions de numéros mobiles portés, le 4ème trimestre 2015 constitue un record depuis le 1er trimestre 2012 (2,6 millions) ; en parallèle, 60,6% des 58 millions de forfaits souscrits sont libres d’engagement soit une progression de 8,3 points du parc libre d’engagement sur un an.
Source : ARCEP
Près de 1,1 cartes SIM par habitant
Fin 2015, la France a atteint un taux de pénétration de la téléphonie mobile de 109,2% soit 72,132 millions de lignes décomposées en :
- 59,547 millions de forfaits (post payé) en progression de 0,6% sur un an ;
- 12,585 millions de cartes prépayées (-13,1%).
Le nombre de cartes SIM internet métropolitaines hors M2M atteignait 3,586 millions dont 2,779 millions de SIM Internet post-payées.
Enfin, le marché français comptait 10,549 millions de cartes M2M, en progression de 27,8% sur un an.
Source : Arcep.
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Grâce aux prix particulièrement abordables des offres mobiles postpayées, internet mobile et triple play fixe, les opérateurs français sont parmi les moins chers d’Europe. Les consommateurs français peuvent souscrire à une offre triple play Très Haut Débit (30 à 100 Mb/s) pour 35€ TTC/mois en moyenne contre 43 € au Royaume-Uni ou 53 € en Allemagne.
Le régulateur belge des télécoms (IBPT) a publié la 4e édition de son étude comparative des prix des produits télécoms dans 6 pays européens (Belgique, France, Pays-Bas, Allemagne, Luxembourg, Royaume-Uni). En se basant sur différents profils de consommations et les tarifs proposés en août 2015 (en TTC et parité de pouvoir d’achat), l’étude de l’IBPT vient confirmer les conclusions de l’étude de l’OFCOM publiée quelques semaines plus tôt.
Des prix particulièrement attractifs pour les forfaits et l’internet mobiles
Sur le segment postpayé mobile (forfaits), la France propose les prix les plus bas des 6 pays étudiés pour 4 des 6 profils de consommation envisagés et n’est devancée que par le Royaume-Uni pour les 2 derniers profils. Par exemple, un forfait comprenant 100 minutes d’appel, 100 SMS et 50 MB de données coûte, selon l’IBPT, 6,89 €TTC/ mois en moyenne en France contre 11,60 € au R.U., 12,77€ en Belgique et 25,13€ en Allemagne. Pour un forfait de 400 minutes d’appel, SMS illimités et 2 GB de données, il en coûtera 20,21 €/mois en moyenne au consommateur français contre 20,34 € pour son homologue britannique, 34,35 € pour un belge et 50,51 € pour un allemand.
Source : IBPT
Sur le segment mobile prépayé, la France se situe parmi les plus chers pour tous les profils de consommation envisagés. En revanche, le marché français propose une fois de plus parmi les prix les plus attractifs pour l’internet mobile.
Source : IBPT
Les offres les plus attractives pour le double et triple play fixe
Concernant les offres fixes haut débit « double play » (internet de 30 à 100 Mbps + téléphonie fixe), les consommateurs français bénéficient des offres les plus compétitives pour les 3 profils de consommation étudiés.
Il en va de même pour les offres « triple play » (Internet + téléphonie + TV) et « quadruple play » (intégrant une offre mobile) : le coût moyen mensuel d’une offre triple play haut débit (30 à 100 Mbps) intégrant 70 appels fixes est en moyenne de 37 € TTC pour un consommateur français, 60,50€ TTC pour un britannique, 59,70 € TTC pour un allemand et 81,6 € TTC pour un luxembourgeois. Et les écarts de coûts au bénéfice du consommateur français se creusent à mesure de l’enrichissement des offres !
Source : IBPT
Source : IBPT
Source : IBPT
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Cet engagement volontaire des opérateurs fait écho au discours du 20 février 2014 du Premier ministre qui avait souhaité « le lancement d’une initiative forte et simple : que les offres nationales de messagerie électronique soient chiffrées par leur fournisseurs et que les messages soient traités par des infrastructures situées sur le territoire national. »
Sous le pilotage de l’ANSSI, un groupe de travail s’était dès lors constitué, réunissant les opérateurs de la FFTélécoms, Bouygues Telecom, La Poste, Orange et Numericable-SFR, ainsi que Free, avec la participation de la Fédération Française des Télécoms, afin de définir les mesures techniques et organisationnelles permettant de protéger les flux échangés, d’une part entre les serveurs de messagerie des opérateurs et d’autre part, entre ces mêmes serveurs et les utilisateurs finaux.
Ces mesures, qui ont pour objectif de garantir le secret des correspondances par voie électronique et de lutter contre les interceptions massives de communications, ont été réunies au sein d’une Charte. Au-delà des cinq signataires de la Charte au 16 octobre 2015, celle-ci pourra être à l’avenir signée par tout fournisseur de service de courrier électronique grand public qui souhaite s’engager publiquement à les mettre en œuvre.
Par cette initiative, les opérateurs français de communications électroniques, avec le soutien de la Fédération, témoignent de l’intérêt qu’ils portent à la protection des données personnelles de leurs utilisateurs. La nécessité de répondre à cet enjeu de sécurité et de confiance avait pu être notamment mesurée par un sondage effectué par l’INC et l’IPSOS à la demande de la FFTélécoms. A l’interrogation : « La question de la sécurisation de vos données personnelles vous inquiète-t-elle ? », 78,5 % des personnes interrogées répondent Oui (dont 46,5% «beaucoup » et 32% « un peu »). Seuls 7% répondent « Non, pas du tout ». (Sondage IPSOS d’octobre 2014, à partir de 900 interviews téléphoniques sur quotas représentatifs de la population âgée de plus de 18 ans). Le même sondage cherchait également à hiérarchiser la responsabilité des acteurs dans la défiance des consommateurs en matière de protection des données personnelles : A la question : « En qui faites-vous le moins confiance pour protéger vos données personnelles ? », les sondés répondent en premier « aux géants de l’internet (à 67%), en second aux gouvernements européens (18%) et en troisième à leur opérateur télécom (4,5%), ce qui montre a contrario, le rôle de tiers de confiance que peuvent jouer les opérateurs télécoms et justifie leur volonté d’être exemplaires dans la protection des données personnelles de leurs clients.
Pour approfondir le sujet :
- La Charte sur le site de l’ANSSI : http://www.ssi.gouv.fr/particulier/precautions-elementaires/charte-pour-la-securite-des-courriers-electroniques/ );
- La stratégie nationale pour la sécurité du numérique dévoilée par le Premier ministre à la même occasion le 16 octobre, destinée à accompagner la transition numérique de la société française: http : //www.ssi.gouv.fr/actualite/la-strategie-nationale-pour-la-securite-du-numerique-une-reponse-aux-nouveaux-enjeux-des-usages-numeriques/
- Les temps forts de la conférence du Premier ministre du 16/10/2015: http://www.gouvernement.fr/strategie-nationale-pour-la-securite-du-numerique-un-bon-equilibre-entre-prise-en-compte-de-la-3075